Théophile prètre et moine : Essai sur divers arts = Theophili presbyteri et monachi libri III seu Diversarum artium schedula

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fluiths peti en harmonie aveo l'austhrith du cloi-tre . Or, ii n'est pas possibie que la Diuersarum artium schedula, manuel destitisi h la solite destravailleum, ait paru dans uti temps Oh ce lux ehisiratique ti'aurati sitsi qu'une exceptiora. Bieri pluS, quand On compare les textos de I hoophilo

formito pars alte entre la doctrine dia multi e et les productions des oloves. En couragsis par les papes, les prolats, les abbos de Franco, d'Alle-

magne et d'Italie, les peintres, non molns actissque I Ombreux, Se multiplient sensibie metit pendant les detix stocles do ut nous pari Oris; aussi Τhsiophile a-t-il herit uia livre critior fur lapein ture. Guilla ume te Boia, roi de Sicile', con-

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et Thoophile termine te livire III par uri cha-

pitre sur la constructiori des tuyaux d'orgues.

D'Agincoliri, urat. de ilare ρar les monumens, T. II. Petature, P. 39. Sugerii abb. S. Dionysii Lib. de rebus in administrat. stici gestis. Vor. Ree. des his . de France, T. Xli, P. IOI. es vitraux de l'abbaye de S. Denis viennent d'otre publiύs par M. Ferdinand de Lasteyrie , dans son histoire si avaratageusementconnue de la pein iure sur Verre. Pn at. lib. I.

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C'est en va in que les religie ux de Citeaux v Ou- latent revenir h l'antique simplicito des eroix de hois, des cand si labres de ser, des encensOirs de cuivre, des calices d'argent et des cha sublesd 'sitosses grossihi es '; partout te bois, te ser, lecti iure sita lent rem placsis par l'or et les prclcie uxinotaux chargos d'ors vreries ou incrusths de Diellures; et la in eure partie de la Dioersarum

artium schedula est consa rhe h ces splendides Ouvrages. Jamais l'art du petii tre-verrier

ne sui plus florissant , d'une application enquelque Sorte plus vulga ire, et te lives II doΤhclophilo trai te particul threment dii colori age tu verre. Au livre ΙΙΙ, chapitre LIX, te moliae docrit, comme ferait uti architecte d'un vasteodifico h olever, l'on censoir haltu Thuribulum

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Centrale, Sera une petite senotre ronde fenestella rotunda) etc. v Ces fenestrin producim Sera tentelles des senotros en Ogive, et cette fenestella rotunda, lane rosaee p NOus livrons aux antiqua ires cette conjecture tr/s-hasardhe; mais quelle que soli leur dsici Sion star Ce poliat, Plen, dans la Diuersarum artium schedulla, ne trahit, hi Os yeux, une date ant6ricure a celle que noris avoris in liquoe.

Quel sita it ce moine I hsiophile qui se quali fie

lutio dans la chancellerie romat ne par te pape Grogo ire Ι ρ Nous i ignorons entiorement. A la

sitsi, la plume h la main, totas les a tellers ducontinent; il connait hgalement les trauaux des Fran ais, des Allem an is, des Italiens, et ilsinum ore les mothocles de chacuti datis tesplus mirices dotalis; aussi cette auire question

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de savolt si Τhsophile sita it allem and ou ita lien, question vivement dehattiae par Cicognara Morolli Lessing et de Dombreux critiques, ne nou S a petat-htre Pas Paru moriter l'importarice considorabie qu'On y attachail. Les parii satis de l'Allemagne s appuyent Sur quel quesinois de la DPersarum artium schedula, doni Iasorme est allem anile; et fur Rugerus, que lemanuscrit rocent de la hil,liothoque Nani accolo

des mois de racine ii alieniae. Ces ita terpretations soni peti concluantes; Lumbardicus a putomber facilement de la plume d'un copiste; ilen est de monae de Rugerus; en sin, I heophile,

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coite pol simique dii colo de Lessing et de Ses com- Patri tes, en voici les motiss : lo compilatetio duLumen animi rapi'Orte qu'il re ut Ia Dioensarum artium schedula d 'un monastore d'Allemagne de

lion, la premiore qui soli salto du livro de Τheophile, est assuromeni des plus favorabies hi 'origine germanique. Mais , halons-nous de ledire, l'onvrage ri'a pas hio flabore potir l' Alle- magne plutot que pour la France ou l'Italie; et,

hien qu 'incompthte par certains colos, ta Diuem Sarum artium schedula petit passer a boti droit potar une encyclophdie qui rhsumo h elle seu leles aris de tout uti stocle. Cherchons dono h dhfinir sommai rement i 'ari que l'aute ur a enseigno. I heophile a placo trois prosaces en toto des troisi ivres de son trai te. Ces pages, Oli parati uiae Sin-

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guli ore olsivation de pensees et de langage, sontis o ublement in thressantes : ellos metient a docou-vert l'esprit qui animait alors les artistes, et les exigences du public auquel iis cadi essaloni. L'6

exsicution; par ledon de science, ton gonie do- horde et domine, tu en ropands fur te publicles trosors et les persections I 'art omane de Dicu inhme; et, en se livrant a uti la heur assiduet fructuetix. l'hom me accomplit une tache divine; que celui qui aura re u ce nolite h6ritage ne s en

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rot la sona me a tui confisie, sui privsi de tota thhnsifice et fisitri par la bouche de son mattre etC. La patience, cet te grande Vertu du moyen age, et te respect de la traditiora, qui semble a voirclto si persistant depuis la docaden ce dii styleb3gant in jus tu'h la Renaissance, teis sont les

Aia prologiae du liv. Ι, nous lisons : a Not reprem ter pere perdit, potar une faute de doso beissance, te pulvilogo de soti immortali id; maisit transmit h sa postsirito la prorogative de lascience et de l' intelligetice, a tei potnt quequiconque y joindra des so ins et de l'applica

Prorfat. lib. I.

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sichange d'une vie immortelle, les prsi rogatives de l'intelligetice , est uiae image plei ne de

modeste et hien renseignsi, se horne a constatersidolement les rosulta is de ses observations. En Pein ture, SeS preceptes vorat rare ment au dela dela mixture des substances colorantes. a Sachea d'a-hord composer les couleurs, Puis a P PliqueZ vos

ih te de vie illarii ou de jeune homine, une dra- perte , la chevel ure d'un ensant, des a Phres , des anima ux, des flevi's, les colonnes d' uti temple, peu importeῖ Τhdophile volas guidera dans te choix et la proparation des couleurs; il votis dira aussi tes ingrodients nocessat res auxpein tures Sur hOis, Sur mur, ou star parchem in nauis it ne votis apprendra ni les lois de la composition, ni tes rogies de la perspective. Αu cha-

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Vasari en a attribucl l invention a Margaritone'.

de hasse latinitsi hchappes h du Cange et a

Carpentier, em brasse les trauaux les plus divers, h l'exception toutes is de l'architecture.