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ment repandue, mφme parant les elasses les mollis instruitos des dis rentes nations dia monde , que son nom est devenu popula ire , et lanature de Aes quali os , vrates Ou satisses, te sui et δ' uti grand Dcimbre de proverbes ; mais si l 'on a, d uti coth, observe avec soin se propriet/,.on est, de l'autre. restg long-temps ineeriain fur la plaee w'on de vallitii assignor dans la vasto classe des φtres animos. I in mus a range la torpille datis son gratid genre des rates, Aous lade nomination de rara torpedo, qui a ete ad pioe genhralement Par tes
Paris. sciit dans sa ZOOlogie nnalytique. te proses eur Dum rit a separgies eorpi tis des rates , pDur en Dire un genre particulier scius te nomde Torpedo , Dom qui se presente a plusleura reprises dans les cruvres d. Pline te naturalisle. Ce genre, qui reti ferme plus leura es phees. a adopth par M. G. Cu-vier. Comme eelui des rates , ii appartient a la tamille dea plagiostomes . de rordre des Dematopnes, parmi leg poissona chondropterygiens gela ciens, et Mut ἡtre nitisi rarae eri se :
Il devient , d aprhs cela , iacile de separer lea torpilies des rates, des rhina . des rhinobates, des 'lio res , des pastena es , des cis Glvtὸres. qui ont la queue longue ; et dea sqtitit nes. des rotissettes . des requiris . dea iam es . des mari ratiae, des miseis . des emis soles. des peterias , de ιaodons , des cestractous , des vii illati , qui Ont les trous des Branchi es ou veris fur les cotes. vo3eE ces divera noma de genres , ainst que pM-
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plissis et comme dentelle; une grande quantite de porea muta parea te long du trajet de la colonne vertebrale ; denis tres-COurte . La torpille femelle est un peu dis recite du male, et, dans les deuxaexea, l'age Parait na voir 4'innuenee que aur lex dimensions et leateintes. Ce Poloon ne parvient pas a un volume eonsiderabie, bien disserent en cela de la rate batis et des cephalopteres. Bien rarement ii phse
plus de sol xante livrea , et i individu , long de quatre pi s et large de deux pieds et demi, que prit datis la bale de Tor . Walati, in embre
On te reneout re aussi dans te solis Persique , dans la iner Pacisique, dans l'Ocean Iudien , au pres du cap de Bonne-Εspεrance et dans heau- coup dati res lieux. Dans la mer de Nice, selon M. Bisso , it habite Ies pro nil eurs vu-seuses. Ailleuis il recberche les endrotis sabloniae ux, et se rache meme , dit-on, dans le gravier ahan donne sur Ie rivage. Il vit de petiis poissons, et i 'ora assure que, Parani ceux-ci, ii pr/Dre les loehes de rivi hre. Les detalla qui prhcedent une sola coniius , it nous reste a notis Ocineuper de la iaculi e partieuliere que la torpille a recue de la nature, faculte en vertu de laquelle elle acetimule dans son corps et nit ja illi ravec rapidite ee meme seu electrique que l'antique poesie . si ingeniense, si seconde. si riche en vhrites, a mis entre les ferres de l'aigle , quel 'art du physicien excite dans nos laboratoires, et qui , condense dansles hautes regions de I'atmosphhre, resplendit dans les Duages et sit
muniquant aveo lui qu a l'aide de corps isolanis, ensin Parce qu'en Iemetiant en rapport avec Ia houteille de Leyde, celle-ci se charge conam ct aveo une machine hiccirique.
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ne ties et plus exaetes que celles des sa vanis qui l'a valent procede. et donna ain si rex emple aux Observateurs. dotat les experiences se soni multiplites avec te temps , et meritoni de notIe part un mometit d alia
tiguhes en cluetque sorte de ses attouehemenis rei terees. Au reste. et notis en cro, Ons cet excellent observa leur, la sensation qu'oia ἡproiive
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it, dans toti te l'etendue dis bras une sorte d elonii ement qu'il est dinscite de hien peindre , mais qui a quotque rapport aveo la douleur que
Apras Bhatimur, la scienco de relectricith, recemment erege, occupatous lesespriis; On eheretia a en a rotire te doma ine. Le docte ur Bah Crosi soti protina que la vertu de la torpillo se raitae linii a la indine cause que les pheia citra senes electri ques , et Walfh , savant Anglais .
membre dis la Soeiseth royale do Lotid res, demolitra certe identile parde noinhreuses experietices qti it fit dans rite de Rhe. et qu'il reuela a La Bochello, en prefotice dea membres de rΑeadem te de eelle ville.
au plasond de la chamhro ou elle etait pia oo , detix sis de laiti n. araide de cordona de solo. qui de alent les tkoler : aurm de la torpille talent huit perscinnea , is te is titissi par te moFeti de t Dureis montes stir des pie is de cristat. Τοut erant a insi dispoia, uti ut δ' uti des sis de lation siit appli
person nes prosentes communiqudirent riano a se rati tre par te mo3ende reau contentie datis notis has sitis. Alors Walfh plongea dans te dernier hassin uti Mut du second si metallique , et ayant sati toucherra ut re bout uti dos de la torpille, it ei abiit alia si a Pinstant uti conduc-
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teur de Plusteum pieds de contour, et formέ aans interruption par leven re de I 'animal, la serviette mouillee. Ie premier sil de laiton , lepremier bassin , les liuit observateum . te second fit de laiton et Ie dos de la torpille.
Lea portions animees du cercle conducleur, c' t-a-dire Ies huit individus qui a valent eu te eourage de metire les dolgis datas l' u dea bax- sina , ressentirent foudain une commotion , qui ne dis rati de celleque lait eproti ver Ia decharge d'uue halterie electrique, que Par amoindre force, et cependant Walsh, qui ne salsa it piant partie de lachaine conductrice , ne ree ut aucun eoop. quoiquit sat beaucoup plus prhs du centre du danger que Ies huit aul res Person nes. Qui pe ut se relaser a voir tot Ia pariat te Identite de I'el tricite et dei'aelion stupisi ante de la torpille p raque ce meme animal et ait i sol ε. ii Disait eprouver a plusimrs
Les mθmes ex riences Ont deinon ire la satisseth d une opinion emisea utresciis par Esempser. dans ses Amoenitates exoticin 37ra, pag. 524 ὶ , voir que I on POuvait, en retenant son haletne, se garantir de la commotion que donne la torpille. Cette precaution est absolument inutile, et plusierars perscinnes orit consit me en eela les observations saltes par Wuisti.
Ensa. dans te coura des feances experimentales ent reprises par Cesavant Anglais. ou rem arque encore que toutes Ira substances propreaa laisser passer facilement te suide electrique, transmettaient rapidement la commotion produite par la torpille , tandis que totis Ies
aueun esset; mais on eruit sappi violemnient, lorsqu'on employait dan te mline hut une harre de metal ou un corps tres-mouille. Les recherches des physiciens, depuis certe emque, ti'ont sali que eonfirmee les observations interessantes de Walfh. Spallanetani est eti-ithrement d'aecord avec tui. Il a reeonnu que, torsquon place la tor-
qui l'a distinguee a l 'aide du microscope, et qui rapporte ce nit dans
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la torpilis es matres in reuae qui ν Mehent sevlement se rete oti esse est Prisc.croit quo celui qui 1 a touehe en petit mourir. Mais ce Λ'est pol ni traui; un 8tre aussi sitigulier ne Ponvait man quer d 'occuper une Place Pariviles subblances medicamenteuses. Hippocrate en eon se ille la chair rotieaux malades atteints d 'une hydropisie eonsecutive a une a Metion dulate ; Pline Ia recommande comme laxative; Dioscoride la falsait appliquer vir la tote dans les cephaloes chroniques et dans les rhumatismes. Galien et aes auceesse urs . Paul d Egine et Avieenne, sui vent en cela Dioscoride. mais recommandent que 1'animal init vivant. ce que uout aussi Marcellus Empi ιicus. Scribonius Largu dit que t 'as anchi AH teroes sui gueri de la goui te par une semblatile application, et Aetius,l'Amydeen , assure que, torsque Ia lomille est morie, elle ne guerit plus lex dou leurru Ne notis etontions dono poliat de voir, de nos jours, les Abyssin s lier sur u ne table leurs febricitams, et leur appliquer ce poisson . l'etatile vie sur totis lea membres auere ivument. Cetie opera i toti nit eruellement scius te, mais elle est. dil-on . vel ita hiement febrisuge. on sat ait avssi jadis enirer la chair de la torpille dans certaines Pre parations pharmace utiques: e est aliasi que nous troti ons dans Nicolas 'repse et dans Alexandre do Tralles la compositum d' uti cerat auoueissant doni elle sali la base. et que l'on recommandati contre la gouite et les rhumatismes articula ires. Elien dit que Li mdine ebair, maceree datis te vitiaigre, est uia desilaioire. Notis venona de vole la torpillo jovir de saeuites hien extraordina res ;
firmer qu'nistre is, fi plus juxte ti ire ei, e re quo de nos ictura . on avaitraiscin de seerier : O Meetis hominiam mentes Et en esset, aha Ddonna ut la sphere des Lxpotheses. Ies tm decius et les naturalistes de nos joura orat du molns. et 'une mani re t uteration nelle, Oulu ira, uver l'omaue de la tot pille oti s elabora it eette ele
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iriei te partieultare. Ita rotit deerit, iis otii pu expliquer son amion . et iis ont altisi fait sitire quelques pas a la physiologie des anima ux. Cet organo, doutile et symetrique, place de chaque cotέ du crano et des branchies. a et ud deputa te ho ut dis museau juriu'au cartilage
demi-circula ire qui hortie en avant l)ahdoinen . entre les legumenta dela partie superietire de ranimal, eeux de sa taee inseri eure et les nais geoires pectorales. ιUn tissu eellula ire dense et serre. et quelques fibres aponeum liques eo urtes et droites. lo fixont avx parties en viro nantes, et sphcladementau hord dii eartilago doni notis aucius parte. Deux aponor es, I'une a stires longitudinales, rautro a sἰhres transversales. re uvrent fia sacesuperieure. C 'est la der his ds eos apongumses qui semble Consti uer la trame de l'Organe propremetit dit; un νει-grand novitire de Prolongementa membra neux ae separent en esset de sa face inserieure . et soni disposes de mani re a formis dea prismos creux perpendicu
laires a Ia sursaee du imis on et qui oni d'atitant molns de hau tetirqulati lea examine plus Ioin de la ligne inhiliano de lanimal.
hra e mnque u se mince, desiste, transparente et ahon lamment arro e par des vais ea ux sanguin .
Chacuno des loges est rompti ε par nn suide particulier. Dans les torpilles adultes On compte par organe pres de dDure centa
Cliaque orgatae est traverse par des arthres, dos veines et des nersa sigros que letir volume a Paru a Ilunt r atissi extra Mina ire qne lex pti nomenes auxque is iis donnent lieti. Ces norsa se ramisient a rinlitii et dans toti tes sortes de directions , tant enire les tu hos que stir l et i- sons qui en partagent la cavit/, puta semblent a sepa non ir dans te mucus gela ineus qui les rem plit. Ila viennent de la huttihme patre. Fe. Bedi et son diseiple Loronetini. les premiora qui a oecupprent de
ranaioliae de la torpille clune maniere Dii peii a ignee , prirent les iubes mini breux doni notis votions des parier potir alitant clo peti a mu solos
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qti iis appethrent museuli flenti. Nais Iohia Hunter . Walgh, te eonite do Lae phde. et te professene Geo ro3 Sa in t - Η ita ire Ont dotitie de eet appareti selectrique uiae description hie a plus complhte que eelle det oecile ii alienne, et qui ne noua parali laisser que fori peti de otiose α
Oti ne satirati s eniphcher de reconnal tre ici D e sorte dappareit gal- vanique. une πεritable pile de Volta, doni les nerse et la pulpe inu- quoisse et les seu illeis apian evroliques sont les hietnenis. Or, Pon dolieonee v ir l'energie auee laquelle agit ce grand assem blage cretiuiron detix mille quatre renis iubes. Ac sons done ,etilement te peti de progres qu'avait eneore a lora satis la physique experimentale. des erreurs datis tesquelles soni tomia hes Redi et quel ques a uires observat sors , quar id iis out volatu expliquerte mode d'aetion de ees organos. Ainsi Pauleur ita lien d tit notis .enotis de rappeter te nom, sct eonformatit avx principes admis de scin temps, a suppose que des myriades de corpuscules, fortant continuellementdu eo a des la torpille , mais plus ahondam mont dans eorta ines ciriscon tanees que dans d a uires, ong Drdissa lent les membres dans tesqueis ita s'insinvalent, soli paree qu'ils sy preeipitalent en rop grand novi brea la sciis , soli Paree qu 'it sy trotivalent des rout es peu appropriees a leur
qui est refiat de l'aptati Asement, Ia torpille handa it, imur ainst dire,
sus ses res orta. reiadait plus couris totis ses vlindres, et augmenta t
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638 EXCURSUS V AD LIB. XXXII, CAP. u.
rati cepoisson comine ii attire te ser, et que mur reti dre toute in vertua une torpillo optiisee. ii sum ait de jeter de la limaille de ser datis l' ea udans laquelle elle nagea it. Mus te rapport tiro malologique . Ies Anciens a valent une tout aut re opinion que les Modernes au si jet de la chair de la torpille, et s'aeis eordalent a la regat der eomme uta hora aliment, comme ua element de meis agreable ; e'est du motus te que nous apprenotis datis Platon et datis Allienee. De nos jorars elle passe PDur nialsa ine; elle sent, aureste, la vase et est sori molle. on la vend cependant habituellementdans les marches d'Italis. La torpille Galvant; tomedo Manli, Bisso. Corps roux en des sus , ans aucune tactie, ni traiis, ni potnis, horde de uoir aur les cotes; ventre d 'un blanc ritu fratre ἰ queue fori opai se. Cette tori ille, de la tallte d'un demi-m hire, habite en tou es salsons Ies prosotideurs vaseuses de la plage de Nice, ou on l'appelle vulgai-
Ello dogago plus de fluide blectrique que les aut res es phoes, et aete , par M. Risso, consa cree a perpetuer Ia memoire du oethbra Galis
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Ad ea Plinii verba. lib. XXXII. eap. 24. pag. 49s:
Callio rimi fel cicatrices sanat ... idem Piscis et rara
Similem in mari piscaturam exercet, quem Graeci eosque aequuti scriptores latini ρυραουοσκόπου , e i spectatorem, alii vero propter hoc ipsum, tit videtur, nomen κα uo uincu, quasi pulchri nominis piscem a pellant. Plin. XXX lI, e. x4 : α Callionymi, inquit, fel cicatrices sanat. et carnes oculorum supervacuas Consumit. Nulli hoc Piscium copiosius. ut existimavit Menander quoque in comoediis. Idem piscis et urano-geo pus vocatur ah oculo, quem in capite habet . . Idem, eodem libro, cap. 5 3 : a callionymus . sive urano copus , cinaedi, soli piscium Iutei.
De loco Diphili apud Athenaeum, V Ili, pag. 356, dubitari potest: vulgati enim libri hahent : ουρ οσκοπος δὲ καὶ k αrvo: κολουαευος ἡ καὶ καλ-λιω-μος ναρει quasi de duobus diversis piscibus sermo sit; contra vero Bondeletius legendum putabat L και βαρύζ' ut omnia ista nomina de uno uranoscopo dicantur. Xenocrates de alimento ex Aquat. 3 s, simpliciter uranoscopum. galeos. eaniculas, et similes inter pisces male sanos recenset. Hesychius in Glossario αλεροκοiτης, ὀ καλλiωΜυμος ἐχ fiet' eoque nomine ab oppiano, Halieul. II, vs. xoo seqq. describitur piscis marinorum omnium segnissimus et voracissimus, cuius inexhaustam ethi cupiditatem usque eo procedere poeta ait, quoad cibo onustus in terrain se abjecerit, et quispiam alius Piscis humi stratu in Occiderit. Argumentum ventris insatiabilis hoc esse, quod si quis ei capto cibum edendum objecerit, suam satietatem tamdiu superare conatur, dum cibus exaggeratus in os redundet. Hunc interdiu in arena abditum dormitare . noctu vero surgere et praedam ventri quaerere; atque inde etiam vespertilionem ab aliis appellari. Ex quihus verbis perspieimus ratio. nem nominis ἡμεροκοί ας, quod Qt di, Iatronem ex Hesiodo interis pretatur Hesychius, quoniam latrones de nocte praedandi causa surgim t.