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avant darei ver a l'ex tr mi to de cette esF ee de labyrinthe. Ces diversea parties Ont de noms techniqueg tri' -nomhreux , tr A-singuliere, et qrii disserent dans cliaque departe ment. Ces inarata dolvent Et re exposos auxventa de N. O. , de Ν. ou de Ν. E. Gest en vino que t 'On lail enirer i eau de la mer datis ces hassin olendus. Elle y presente une vaste sursace a l'lvaporaticin. Le reservoir an tori eur est destini a conserver l'eau . asin qu 'elle y depose sps imputetes et quelle F subisse un commencement devaporation ; cet eoati doli remplacer colle dea aut res bassins a mesure qu'Elle Uvapore.
on juge que te fel va bientcit cristalliser, quand l 'eau comnience a rou gir ; elle se coiiure peti apros d'une Pellicule de sel qui se precipite suile scit. Tantist oti tui laisse deposer son set dans lea premiers compartiis me ut . tatilot on la sait passer dans des cases ou elle presente ei coroune plus grande sursace a i'air. Dans tous ira cas on retire te sel sur lex rebor is des casos pOur I'y sa ire uouiter et sectier. On te recueille alia id elix ou trois Mis par sema ine vera la sin de l'opΦration. .e set obtenu par ce mOyen participe de la couleur du sol sur tequelit est depose. et, selon la nature du terrain , ii est hiano, muge ou gris: ti appelle aussi ce deruier sol meri. I e sel de mer a l' inconvellieiit Setre amer, si ora l'einplute tinniedia tement apres sa fabrication. 1l dolice gout au muria te de chaux et au sullate de goude qu'il rensermo. et position a i'air pendant deux ou troia ans te debarrasse en partie de
Les naarais salanis soni presque aussi multipli es que les mines et queles sciurces sale es. Ceux de Portugal passent potir donner te sei de meilleure qualite : il est en gros grains presque transi renis; on te Pr ssere en Irlande Imur Ies Ralaisons de hinus. Lex seis Ies plus estimesa pres celui-ei soni ceux de Sicile, de Sarda ne et d'Ε pagne. Les seis de France soni approPrifis a d aut res usages, notam ment a la salaisonitu potason. It y a des marais salanis fur les horda de la Mediterraia . dans te departement des Bouchesdu-Bhone, et dans celui de l Ηerauit pres d'Aigue mortes. C est dans ce demier lieu que sont les marais de Peccate. La sulte des operations disiare uti peti de celle que nous avoris deerite ; tDais les Principes sont les m lmes. Sur les cotes de l'Oeeanon compte ceux de la bale de Bourgneus, ceux du Croisie, eeux de Brouage, de la Tremidade et de Harenne. departe ment de la Cha
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pulations dispendieuses qu it enlralnait. Οα ne murrait Pas employerte proetasi de la congelation Pour l'eau des fontaines fiathes qui renseris ment du sultate de magulate, paree que ee set decompose . a la tempέ-rature de la glace, te muriate de foude. Il se sorme du sullate de foudo et du muriato de magusisto: sel deliquescent qui gene la erisi allisation duset marin et O althre la qualite. Gaan. Les Romains out employe un auue Proeed. dans leura salines de Cervia et d'ostia. Iis accumulatent te fel eu moncea ux et brutaieni des roseaux a I 'entour; la sursace du sel se durcissa it et serutilait se vitrister, en sorte que l'eau des plutes glisinit dessus satis dissoudre te sel. Llaav
les seis doliquescenta : ce qui rendati te fel plus pur et Plus sec. P. S.- Georgio. En sin , a la saline de Walloe en Normhge, on se fert de batimenta degraduation mur concentrer i eati de la mer. On i amene par moyen,
et par raddition d'- peu de sel de Nomita, au mini de saturation , qui est de xi, degres 8 , Ioraque te fel est pur, et qui monte jusqu a 3s degres loraque te fel est impur, et on l'evapore dans des poetes. Vπει plus has la description de ce genre d'extractiora.
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la ire, de 7 metres de Iarge au plus, sur 13 . I 4 mei res de long. Letir ius est plat et uni, quoique compose de plusleura pthees ; mais dati plusleurs salinos, ces Pthces de ser ont des reborda replibs h angles droiis
qui sont en gaillie a I 'exterieur de la poete. C'est au moyen de Ces P lu,tias que ces pideos soni reuntes tres-exactement et soli dement par utiriment compose d 'εtoupe, de cha ux-vive et d eari salee satur e , ot pardes ecmus a vis. De sorid des poetes est sujet a se eo urber ἔ on Ie fouintient, ou aveo des pillers, qui soni ou en terre euile ou en fonte . qui. montant dii sner,gdnent et te service et la viae, ouau mOyen de chames
de si is des Poetea. Les toles qui composent ces Poetes sont en ser ou haltu ou lamine. I es premi e res orit se in lite a voir quel ques avant ages fur les secondes. mai Oti ne sali pag g'iis soni rustis, et s'iis ne tiennent pas plui Ot a la qualite
inees augelata: on relire les augelois au moment ou le set commente h
plus sorte. Ces Mailles soni Produites par les seis que l'eau aliandoniae et quelle dδpose au ud de la chaudiere, en Passant dans cet te partiede la poete de l'ctat liquide a l'έtat gazeux. Si I'on ἡ vapora it sans ebulis ilion, cet esset ii aurait Pas lieu. Roninae, I. de Plii l. M. Clei g, inspecteur des salines de Bavibre, a introduit tine methcide de vaporation qui trarait Provenir la Plupari de ces inconvinients. Una telier de vaporation est cornPoia de fix meles disposces fur deux rangs et ayant des usages disserenis. I a Poete du milieu du rang de derriise est la plus petite; elle est echaustae par la rεunion des chemineis des
fovera des aut res poetes. Elle se nomine melon. I 'eau salee . apres Favoir dbpose ses impuretas, passe dana la poete de graduation, plus basse
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m uriale de sotide. Plus ordina trement ora laisse des eaux-mores. nomismees mvires. Ces eaux-mhres contientient principale metit dex seis deliquescenta , qui soni des muriales de charax et de magnMie e ees sel'. et augmentant la masse des ea ux-mhres, alagmen tent nussi l 'emploi deaeonibus ilites, et rendent te gel mariti a mer et doliquescent. M. Gren
pro se de les decomposer en graud par laddition de Ia ehaux et dissultate de foude. Il se precipite dans ce eas detix substanees, doni l 'uno est insolutile, ceat de la magnhsie ; et rautre est peu solutile, e est dusulsate de cha ux. L eau salee petit dire aiora eniterement evaporee ; lesel que l)on obitent est pur ei sec. Ensn, On eherche totiioura datis ces operations a economiser te combusti hie. La forme des urneanx et la diluension des poetes solat eal. culeos potir atteindre ce hut important. . On rem arque u ne Odeur asseε agreabie dans la plupari dos alelier
Ou se Lit revaporation des eaux salsies. It parait qu'elle vient de lapetite partie de bitume qui est presque torioura melee au sel dans
Lorsque l'eati des sontaines ne eontient qu'tine petite quantite de sel. 'ovaporation artiseielle eotiterait trop, s ii salia it y sciti meitre la massed'eau telle qu'ello est donnέε par la nature ἔ il laut done la eoneentre,
On auit que, potir savoriser et accelerer I 'evaporatioti d 'une lique uri
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i eis scint les principes des disiarentes methodes dextracti is Ati selmariti. Ce set est repandia dans te commerce, tantot solis la sor me de gratiis, tantot fous celle de patias. Ou Lit ces paltis en pressant lesel en grain datis un m Oule . et en i agglutinant au moen d'tin petid'eau: on tes sair ensuite sέclier a l et uve : ita se transportent plus Dei- lenient scitis cette forme. C est aingi que t 'on saeonne tine partie dia sel a Mont morot, dans te departem ent du Iura Nous avons deja indi que que ques una des D sages du sel mariti s eo
soni aussi les plus connus de tout te monde. Non seu lement ce set est potir les h mmes uia assaiso menioni agreatile et salia, inais presque totistes animati x herbi Oros rara etit, et ii parciit lesur dire ties-saluinire. L. sel a encore qMelques a uires usages par lieni ters et assin singuliers. Il
cetie opinion. Cependant te fel est aussi regarde eomine ametidement. lorsqu'on ne 'euiploie qu a petites doges. Bea ueOup d'agricultetars enislhvent se satile sale des horus de la mer oti hieti aeherent leg rhsidus degsa lines, potir amender leura terres. PicTAT.)Le ael mariti est empine directem ent dana quelques aris chimi suos. Il seri a d nner un vernis asseet heau a certaines poteries de gres. Onte iei te dans te four au moment ou les poteries soni cuites, et oti te Murest au plus haut degro d'incandeseeneo. On serme tontes les issues. Leset, en se volatili sunt, Lit soti ire la sursace de totites lea pthees , et laeotiure at si d'tin vertiis brillant, solide et inalterable.
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CDI APUD DOCTIORES NOMER NITRATE E POTASSIo.
Ad oa Plinii uerha, lib. XXXI, cap. 46. pag. 443:
Non est differenua et nitri natura, etC.
Composition. rgman. Κirreati. Richter. Wenres Mugier. Berard. Beraelitis.
Ea . . I 8 4,20Φaration. on mut te Dire en unissant Ilacide nitrique au sous.carbonate de Potasse; mais, ee set existant dan la nature, on ne te prepare janisis en grand par ce moene notis decrirona te procedo qui est sui vi en France, aprhs que nous aurons examini lea Proprietsia du nitrate de Potasse et les circonatanees ou ce stet, ainst que les nitrates de chaux et de magnesie, ae forment dans la nature. giae dia nitrate de potasse dans Ia nature. La nature nous presente d'asam grandes quantites de nitrate de potasse. AIusi, dans plusietars contries de l'Espagne . de lInde . de l'Amerique miridionale. etc. il se montre en petita cristavx hianos a Ia sursacedo sol, auriout Pendant les chaleum qui sucehdent aux pluies. Nous leuouvons dans te sol de nos hergeries, de nos liabies, de nos caves , dans es parties des mura calcaires de nos mai sons, de nos clotures, etc. quisoni constamment impregnεes d eau; wuvent noua te voyons apparaltre eo amor tenera hianehes h la sursaee de ces mura; et parce que , dans
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EXC. IV AD LIB. XXXI, CAP. 46. 6i7
D est fatale de s expliquet Ilarigine des emores nees de nitre , la sur-saeedu sol et . la sui face des mura dans Io temps chauris et sera qui su ehdent aux pluies ou aux temps hamides. En esset, qu'un sol, qu'un mur, plus au molns permeable . t 'eau , contiennent de petites portions de ni ire, dissεminεes dans to ut e leur masse ou elles socii dissoutes dans I'eau, solent exposls a une atmosphere asseZ ahche i,our qu'ils puissent Perdrede I'eau, it arrivera necessatrement que te sel, qui a perdu l'eau qui leten ait en dissolution, se deposera . la sursace du sol. du mur, ou l'evaporation ε'est salte , et que, d'aprha la tendance qu'ont Ies liquides is se distribuer εgalement dans toutea Iea parties d'une masse qui leur est permeatile et qu'iis soni ausceptibies de mouiller, de nouueau liquide plus ou motus chargέ de nitre se portera du centre a la sursace, qui teud continuellement a la se heresset desis lora, tant qu'il viendra dia liquide acet te sursace, it se deposera du nitre. et comme I vaporation se suit 'lentement, les molecules du sel se disposerent de maniere a former des
De la formation dia nitrate de potasse dans la nature. Le nitrate de potasse se reneonire, I ' dans des lieux Presque toujoura incultes Ou il parali, au motus au pre mier a speet, ne Pas y a voir de ma-tistres organiques; a' dans des lieux ou it 7 a certa inement des matteres
bien d6terminἡes Pour que nous wyons ea tat d'aceolsirer la sormationdu nitre, et d'augmenter jusqu'a un certainpoint la quantitedu produit. ii faut eonvenirque la theorie de la nitri sication D'est mini encore Cominplhte: c'est ce qui sera hvident, d'aprhs ce que nous allons dire de la sommation du nitre dans les endroita ou sotrouvent les matthres organiques. Les conditions absolument nicessat res h la production de I'acide nitrique, dans les lieux doni nous venom de parier, sont, I ' la presen ed'une mattere organique aZothe , qui petit siue d'origine animale ou vegetate; a' la presence d'une hase aleatine, telle que la potasse, la Chaux, a magnεsie . qui doli dire a Phiat de fous-ear nate, et si ce foux-car innate, Comme celui de chaux, est a rotat de pierre a halir, ii saut queeette pierre soli Poreuse ; car, si elle et ait compacte comme te martire, elle era it i inpropre, Ia nitrification. Il en est de m/me, sui vant Thou venet,
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grande quantite de liquide assa ibi ira it trop l'influence do 1,ases alcati nesen meme temps qu,lle facilitera it trop Palloration de la matthre organique. surtout si la temperature depassa it 15'. D'apros ce que nous venons de dire , on coi oi t di ' Pourquoi ta nitriscation est luipossitile nux temperatures . Du l 'eu est solide.
Des nitriares artifciems. oti appelle nitriares artificieites, des m langes de matthres propres a produi re du nitre, quand elles serent plaches dans des circonstances convenatiles. Suivant M. Gav-Lussac. il laut, mur prodo ire ioo hilogrammes desalpotre, 7S Lilogrammes de matteres animales Rhehes. ou au mollis 3oo kilogrammes de ces matteres dans leur hiat naturet, en supposantque tout leur agote soli converti en acide nitrique, et en outre une quanitie iraicali representee par reviron 88 Lilogrammes de potasse du com-nterce, de qualite mOyenue.
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Dlan a uire cote . eomine les materia ux sal petres solarnissent au plus O,OS de salpetre, et terme m yen O.Oet, it Ludrait violo par IOO p. dematieres terreuses suscepti hi es de se salpotrer, et humides comme restu ne honne terre de jarditi , 6 p. en viren do matiores animalos Dalebes :