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de Bochnia , qui eis paraissent une dependanee, sont Chlebres par les relations fouvent trop hrillantes qu'en Ont donnees presque totis tes Oxageurs. Elles soni tr s-anciennes, erant exploilees depuis l'an ra5 a. Elles tilant da illeurs rien de plus rem arqua hie que les auires, si ce i 'est d ossi ir uti e ea plo Ilation it s. elendue dans les masses de sel gemme doti les dimensions soni encore ineOnnues. Ce terra in sali sere . silue dans une plaine. n erant reeouveri que pardes terraios meuhles qui n'os ent auctan earaethre preeis ni geologique ni EOOlogique, D'ayant lam ais etε eni rement traverse, en sorte qu'on ignore fur quelle roelie il est immhdia tement plate, ne petit dire ra ID porte avec certitude 1 aueune epoque gέologique determinee. Le terrain salitare propreitient dii est recouveri par un terrain meutile, comptis S de sal te, de ea illoux r ules et de inarne sabiense. C est datis re terrain, euanger a la formation sali re, qu'on a trotive quelquesolades dἡhris de grandg in ἐν mis res. Au-desso us parati immedia temetit la masse de martis argiletiae sali requi renserme Ie sol mariti en hi ora plus oti molns volumine ux, dissemi-nha dans la marne. On y reconnait trois . hpota principaux e te premier, en descendant , ne renserine que des in asses de sel souilleos flargite et de satile, On Ilappelle set vere; Ie seeotid est compose de massea dg set mariti plus pur, qu nomme spiria; le trois me, qui ti a iam ais traversh eompu- remetit, est composh de masses de sel mariti eneore plus pur, o strue- ture lamina ire : On te nomine sxihi Les marnes argileuses , plaches entro te premiera et deux me demis. renserment en debris Organiques des eoquilles marines hi valves, quiressem hient a des tellines, et des eoquilles microseopiques , analogues aux genres Botalite , Betiui te, etc.
de fraginetits de lignite. Ou bois bitumineux , passant 1 l'έtat de jayet.
La masse de sel sur place, et les echantillotis qu'oti en a ex traiis de-puis peti de temps. repandent tine odeur nauseabonde δ'anima ux moliatusques que M. Beudant compare a celles des trus s. Ce terrain salirare contient peu de minἡraux etra tigera; le g3pse Fest rare, la Lar stentie F est aussi rare et s'y moni re fous une forme partietilire, qui tui a sait donner te Dom ridicule de pierre de eripes; elle
est en plaques minees , a texture compacte et repliae fur elle-mgine en
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distance . et oti assure regine qn'il est combine avee la chauxi a re at des ulla re dissolubie dans rea D. M. Beudant rapporte les grhs des montagnea voisines au grhs hora il-lier, et comme leurs couches para issent plotiger solas te terra in saltiare. ii place eo terrain immἡdia tement a Messias du terra in hoo illier. It consid re te terrain meu ble superieur comme analogue au marigno molassedes terrains de iadiment suphrieor. Les e uilles hi alves, les eoquilles ante roscopiques de la martie argileuse salisere, et les lignites du sel marin, semblent rappeter les dehris organiques dis ealeaire grossier et de Pargite plastique, et ii presume, d'apres ces circonflatices, que te terraiti salis re de Wi aliova apparti tit a tis assises inserieti res du terrainde agili metit superieur. Ces eireotistances sont en esset assor rem arquabies et d'une asseEgrande valeur po ur appuyer ropinion de M. Beudant et rependant je me permetirai de demander si la valeur de ces caraethres est asseE grandepoue donner a cetie immense formation de sel marin uti e position geologique lo ut-a- It disserente de celle qu'on tui a ree nnu dans te reste de rΕurope. D'ah rd, rien ne parali prouuer έ videin ment que les grhs des inoniagnes volsines appartietinent a la forniation de hoo ille si iei sere;
mais, en ad mellant ce rapprochement, en ad metiant m ρ me que ce gresplonge fous la inasse de sel marin , eela De donne a cella masse a Meuntitue ii une aneletinete disserente de eelle des a uires terraitis sali res. Legmarnes argileuses superieures, te gypse et Ia karstέnite qui tes aeeompagnent, te lignite du sel. petivent hire t out aussi hien rapportos auxmarnes bigarrees et aux lignites do lias qu'anx argiles plastiques. Le lias reti serme dans ses sita marneux des lignites en moreeaux ἡpars , commeceux que loti ei te dans te fel mariti de Wielicaa . et rodeor de trusiasa et e retroiivee dans des mehes ealear -eharhonnenses, qui appartientient precisement aux terrains de cette grande epoque ghognos iique,
puisquila soni partie du terrain Oolithique . qui est de Peu superieur
on deseend datis lea mines de Wielicaa par si x puits qui ont qua tre
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toui ea les parties, telles que colonnes, auteis, statues, ete. Qui en sel.
raecumulation des ea ux AOui erraines; ces laca sont asseE granda potir
Α Paralde en Transylvanie , it 3 a uiae vallis doni les Loid, et te sonu soni de sel pur. On y volt des inurs de sel de sol xante mHres et Plus
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Les mines au sud Uues des Carpatiis son gέneralement exploilees pardes putis. It y en a ioujours au molns detix dans chaque mine ; l 'utimur les Ouvriers, i aDire potir l'extrae ion du sel. La masse de sel est exploithe eri gradins montanis ; ce qui produit des eones vides au milieu des eouehes. Les Eebelles se prolongent perpendicula ireinent ius. qu'a la hase de ces cones, en sorte qu'elles soni datis certe partie abs lument isolees. La plus grande partie de la masse a extra it a insi. enlaissant des e paces vides qui soni coni ques, et qui eommuniquent entreetix par des galeries. Le set y est si abondant, quon ne pale aiax mi-Deurs que les masses de sel qui passent quarante hil grammes; legati tr ssoni rejelees comme inutiles s Da Bonn). Quand l'eau incommode te, ouuriers . On lex rest dans des sacs de euir potir la jeler hors la mine. Lea Transy aniena et les Moldaviens retirent te sei des sontaines sale s. eomme te salsa tetit aut res is los Gaulois et les Germains, en ierant i 'eaude eos sontaines sur Aea hrastera ardetii a Townson .
BDssis. I a Bussie d Europe et la Russie d'Asie rensorinent uti grati dii Ombre de soti rees salees, de minos de sol, et principalement de latis sales. Ce dernier gisement est partientior au sei de cepays; On Do l'Observe pas datis les aut res parties de i Europe. Notis ei terons, dans la Russi e d Europe, les salities tres-riches de Ba lactina, sue les horda du Volga; te lac sale de Tor, au . Ord et vers testi mites de la petito Tartarie a les laes sales senibi abies dans la Cr mhe. et qui para issent apparienir au mhme syst PINO. Dana la Bussie d'Asio, lea salines tr -nOmbrenses de Permie. au pie ldes monis P yas; une mine de set gemine, a qualis-vingis Litoinet res en viron qua re-vingis merstes de Yenaaayevina , dans io δέfert qui
sel qui s y forme a sonuent cette coiit eur. II repand alors une Odeur de violet te asseκ rem arquatile. Tel est te lae sale d Elton , sitne au-dessus
d'Astraean , dans l'angle reti trant qtie fait te Volga. Los Talnamilia te Dominent Me dure, parce qu'il parali iout rouge torsque se soleti istippodessus. Le lae de Bogdo silue a peu prha datis te m/me lieti , doniae uti set patia ii ement hiatic, qui De eotitietit potnt de sui sale de magnesie , et que lon presere a celui dis lac d Elion P L 1s . C'est aussi pres
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An Bia. I 'Arabio, comme toti tes les plaines arides, ne man que pas de sel; On te trouve Ddme , dit Pline, en masses si solides. pres de Gerris. qn 'cin en batit des maisons, en humectant ces masses au mobeu d'Hupeu d'eau, asin de les coller ensemhl . Aparon R. Quoique te sel soli tres-ahcindant dans les Mys que nous ventina de citer. On laeut dire qu il est eneore plus repandu en Afrique et ee qui e niri hiae a se ire presumer quo les plaines arides des pays Chaud solit quelque innuense vir la sciri nation de rette substanee.
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Nonis seu lement i utes tes plaines et les deseris sablonneux de l'Afrique soni impregnes de sel marin , ala Ρoint que la Plupari des sontaines peti
AaY si si E. Aia sud de I'Abvssinie. et au pied des montagnes qui separent ce pays de celui des Nδgres Gallas, te fel est en masses solides
FME N et SAMARA. Le somniet des montagnes qui hordent te dEsserta lyciuest dia Caire . pr6sente ian plateau immense couveri d'une masse de sel; les molles de cet te substance soni volum hietiges , dures et euis
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l'Asrique ; et des mines de sel gemme dans te pava de Bamba, au
AMEnr0UR sEPTENTRIONALE. Les mines de sel marin de I'Amorique septentrionale, qui consistent Presque uni quernent en fiources salees , coitimen cent a stre ruieux Connues. Ces fources soni , sui vant M. Vannensellaer, generale inent plus riches en set que colles d'Europe. Elles sortent d'une roche saliaeu se que i'auleur rapporte Ru gres rouge . et qui contient du g3pse et uri combusti hie charhonneux qu'on designescius te nom de houille. On n'indique encore aucun gi sement bien determine de sel marin rupestro. Le major Long a Vu, dans SOn VOJage aux montagnes rotheus , deg masses de sel de dix a quinZe kilogrammes; inals les fources saleesse montrent eu grand n Ombre dans diverses parties de ce continent. Ainxi dans le Kentucky, entre Limes tone et Lexington , derrthre Iesmonis Alleghanys. des fources salces coulent natu rellement a lasursacedia sol, nia is Plus ordina trement on a 6te Ies cliercher en perςant despuits dans cos terrains, et furtout dans ces lieux marecageux nomanta Licha, ou les hi sons et les hians venalent autre is par centaines Iocherle sol argileux imprWgnsi de sel marin : en pereant ces putis au traverades eouches , ii se dἡgage quel quelais, et avec violente, tine telle quan
En Virginie. sur te grand Eenhaina, a cin quante milles au aud de
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On te reneonire encore, via is en naoindro quatilii g, dans des soniai nosd'eanx miti rat s qui senserment en m/me temps A ati res sela. Nous don- Demos mur exemple les s urces de Balaruo, de Botirhonne, de Boi hon-Lan v. de Lamotte . etc. I a mers, laes et marais salhs orat une position geologique, uno origine et dea partientarius toni--nit disserentes de eelles que presententies mines et les inurces La mpe est, comine te nil observer Eirmati, in mine la plus a bon- dante de sel mari n. puisque eo set forme otiuiron la trentihmo parite decet e mas o immenso de liquide ; it y asser egalement repandv. lorsque
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d ait leues anetine cause locale ne petat troubter cet /quilibre. La plus grande proportion de sel marin est de O , o 38, et Ia plua nihle den viro tici, 3a ; mais te developpement des ces nolions appartiennent plus a rhis
Les terrains sales , C 'est-a-dire , qui reniamnent dis set marin dissem ing dans leur inasse et qui De s y manifeste que par la saveur ou partes propriέiέs ehimiques, ont avec les lacs sales la plus grande analogie. Cea clerniers spintilent dire te resultat du lessivage nature I des terraios sales ; Or , la pr/seuce eo usiani e du sel marin dana les mhmes laes, torsmδme M'on en exploite les ea ux, sem hie indiquer que te fel marin D apas hie erat threinent enlevh de res terres par te lessi vago, ou hieti qu'ila'y reforme successi vement, oia hien ensti, qu'il se forme dans les laeseu mgmes. La seconde cause parati et la plus vraisem blatile et la plus ordina ire. Les contrees , doni te sol contient du sel marin , soni generalementaittaees dans les elimais chaud s. Elles rei serment ordinatrement de vastes plaines, tantot Peu elevees au-dessus dia iiiveau de la mer les envirotis de la iner Caspienne, la Perse, aupres de Betide Congotin, ies deserisd Afrique, etc. , et lan tot siluees fur des platea ux le Mexique; la conche salinto ti'a que 8 eenii mei res . Elles soni generalement eompos&s deterea in η meu les asseE arides et presque denties de vegetation. Lo sel mariti ne s y trouve jama is seul; il est constam metit a compa-ghέ de nitre, en sorte que rhistoire des terrains salphi res est insἡparatile de eelle des terrains sal/s.
ni inhme ne les traverse: en sorte que, quelque petite que mit la quantite da sel mariti que ces cours d 'eaux puissent te ni r en dissolutiora, commetis se rendotii constam ment dans ses laesi et que reati D'y diminue que par evaporation, te fel qui 3 est amenέ s'y accumule au Ρ int de salu-rer les eaux et de eris alliser en plaques epaisses dans la salson Ou Iaehaleur reduit par Evaporation la masse de ces ea ux. Les ea ux ainsi redui ies prentient eii generat une couleur rotageatre ;elles repandent fouvent une odeur particuliere. approeliant de eelle dubitume ou de la t/rέbenthine ; Odeur qu'on recoliti ait egale mont dana
presque lovies les usines oti Pon 6vapore des enux de solarces galeos. Ouire te fel marin, ces paux reniarment asseet s uvent du gypse . dunitro, du natron du sultate de inu de . des muriates terro ux divera , Ole.
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tet est telui de Monar . a 4o milles de Iaureh. dana Ie distri et de Berae
aux Indes orientales. I. E. ALEx M au. Nous ne donuons potnt de nouueaux exemples de celte position daael marin . Parce que nous en avons rapPorte deja un asse grand nombre dans l'enumeration geographique dea paγs qui fournissent CE ael. quelleque soli son origine Exploitation . fabrication et tisages dia rei marin. Quoique Ie set marin soli asseE ordinat rement emplove par petitesdoses. son usage est si glnεrat et si habitu et, qu 'on uit mur Ilassaison-nement aevi une immense consommation de cet te substance. On en emaploie une quantite encore plus considerable mur les salaisons, c est a dire, mur conserver, par son moyen, disserenis aliments tire, des antis maux et in/me quelques vegetaux. Considere fous ce deruier potnt de ue . il est d'uae grande importance, puisque Pius,urs genres d'induatrie et de commerce en dependent. on a dono du chercher . rex traire avec te plus deconomie possibie de tOus les lieux Oii Ia nature nous l'ofise aveo une biensaisante prosusion. Les mines de sel gemme soni exploitera comme nous t avons indiquct
ehat eur des combusti bles mur en obtenir te fel, cette substanee serati portee a uti prix trop leve. On extra it done te fel de l'eau de Ia mer dodeux manthres: χ' par la seule evaporation naturelle ; a' par I'evaporation naturelle combinee aveo levaporation artisici elle. Dans te premier eas, on sati ceve extraction au moyen des marais salanti . ce soni des hassina trhs-εtendus, mala tres-Peu Pro ads, donile sond est argileux et sori uni; iis soni pratiquεs fur te mage de la