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Les inscription de la Gaule chrsitienne apportent,pou l'histoire des lettres, des sitsimenis utiles. Ie ratrappel plus haut te avant De ossi clo licia si duvi silicle ou recuei des inscription romaines Cette limite est e mome temps, our ainst dire, celle de Psi- pigraphi chratienne dans la ille ainte ii claran duvi' silicle ditu'antiquatre italien pluid'sipitaphes surdamasse de tombesaries inscriptions soni siservsiesiouries monuments public et pou quelques sipultures de haut personnages. resque outes escisigendes sontmsitriques, et si barbares, que chacu de leur ver accuse lalasicadence des lettres. Queique grammatriens demeurent en possession decies crire elles csilbbrenties pontilas, te prsitres romains, parient des sidifices
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princes msirovingiens . a renaissance cariovingienne revivister se ut l'art de composer, de grave te sipita-phes', et montrera insi, par ne nouVelle marque,t 'accor singulier de monument lapidat res ave les grandisaiis dest 'histoire .
Wir, dans loturum monumental, t. VIII, p. 32έ, t. XX, p. 32,
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sanue L seu priclitisiraire de ce u epitaphistarum naenias, o insi que les nomme sidaigne Emen Si- doine', est de reprεsenter me exactitude ceti sipoque mistrable olid'on disti d'un roi posite γε conses it duos libros, quasi Sedulium meditatus, quorum versiculi debiles nullis pedibus subsistere possunt; in quibus, dum non intelligebat, pro longis syllaba breves posuit et pro brevibus longas statuebat β. v 'autres Dihces soni plus barbare encore. Queique lambeauX, que, que chutes d'hexamhtre introduit dans uti texi Iapidaire, voilli ce que Ies autevr d'un grandisombre clyε-pitaphe tenaient pou des inscriptions sitriques RSi bactoutelais que sae alorcle niveaides intelligen-ces la late aurait, certes, pu tre plus prolande Lalai chrsilienne en siclairant les ames, sicarinit des Espriis
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τω προσεEumo τειος, Λυκίου lia τι ἁρχαῖ- ωτος, ω ιio δε πο- vom ' καὶ αὐτμ, πιιδὴ μὴ -ῆκε et Mysis, τὸν πολιτεία ἀφείλε is, et sta iit δεῖ hωμαῖω Βαι τι μὴ καὶ προ διάλεξει - ἐπιστα vov. Cl. Suet. in Claud. c. VI. August. Cis Dei, XIX, Vm: At enima opera data est ut imperiosa nitas non solum iugum, verum etiam linguam suam domitis gentibus per pacem societatis imponeret o
Quum sis progenitus de Iara gente Meamber Floret in eloquio lingua latina tuo. Qualis ea in propria docto sermona loquela, Qui nos romano vineis in eloquio
Childeberti, Di, dans Batura, capit. I, THIὶ est sesquente su ita la
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lsa MANU ELPapparitionis'expressions solsies. Parmides permutations qui caractsirisent les monument decla langue vulgaire, li cot de lyura'sichangeant avecto ted avec Ictis, certaines particulariisis mariuent encore u trait important decla constitution de notre langue. Plus d'une lais, surdes marbres de la Gaule, re et i 'ise renconirent employlsu 'un ouru'autre Mais, si I 'onentrepren de releve te nombre comparatis de cessichanges, te exemples de re emplauanti emportent de beaucoumla balance C 'est la marque ancienne d 'une tendance notable de notre prononciation L hue motiati prεsente uno, te ranqais substitue Ouvent, enellei, te son plus teint de l'e Rien ne saurait mi euxi 'attester que ne te sont certaines siviations vulgaires
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h stpi GRAPBI CHReTIENNE. 1s ete, meraude, derisit, elude et d'autres mois ranquis de sim nature me emblent permetire, 'augmenter ceti lis te, en supposant par analogi l'existence de sormes latines non classique quedem'ai potnt rencontrsies encorei Cem'est pol ni seulement devant l's suivi e d 'une consonne que se produit la permutatio signalsiae; our citer quelque types enire lanti 'autres, les Ois erre, ennemi, eri metire, ertu, erge, ρdecin me83e, e dun, re/que, prochdent de vitrum, inimicus, iridis, mittere, virtus, virga, medicus, mi3sa, tridunum, episcopus; et mainienant que notre langue est salte la tendance a remplacement de l' parte se manifeste en-core dans latrononciation populaire'. C'est celenchant caractsiristique que nos inscription accusent che nos phres et dlicies premier silicles.
I est, fur nos inscriptions des mois rares Ou nou-veau qu 'ii Iaut note observatio, qui indique la pratique decla vie religieuse'; portari annos tres , varianie