Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

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prescriptio simple, tui dita Gardeg

ramentis O acultatibus .

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si La casse ea si a genre de la ou sin est ui foug-gerare de Can famille des legum.), quem atten pro dolle de a famille cles Cassia. Clame te purgatis par excellence, n'o La Phubarbe Rheum, famille des

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rεsum de me recherches, de me observations su lapuistance dii Cayac. Si e me rompe, 'erre u est invo

puisse me ager 'ingratitude potir es services signat Esque leuem h de 'a rendit La sam d'un certain nombre de iij eis 'une bonne constitution e ut olivent trecompromise par 'abon dance des rogues che quel

loin 'δtre avantage use, contrari son actions si on te combine, it perd de saluistance Les malades, sotis sonempire, dolvent viter de prendre de bainso Ἀδme,l'egpεrience a Finon tr que durant e trai temerit, ii aut ne se laver te vis age qu' de rares intervalles, d ne a mais tremper te main dans 'eau roide a).

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De intervention des Meoin durant e trahemem par te

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tage cette croyance, que mon Observation personnelle a

machum Loedant, malique succi fiat, ad fetus ictus rationem potiunom emcuram suam traftulit AGHepiades n a Celse, 'Hippocrate latin a

3 Il est acheu que uiten ne

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portant I) iis votis Xpεdient ave une longue ordo n- nance vers t 'ossicine d 'un apothicaire, an non ςant qu'iis reconnaissent existence 'une mala die grave, iis affirmen au moin qu'elle est imminente, qu'il aut a prε- veni : si votis 'avale pas telle ou telle potion iis ou Smenacent de la)ξvre. Ne sont-ce pasci des hominesmbpris abies ciangere uxi . . . Eic' est avectae emblabies principes qu'il se antent 'δtre se uis cap abies 'ad ministre te Cayac par de conventions par de traiiεS

blement. Ces satis 'empsichent pasquo cette esplice de divination ne Ontinues captiver 'ignorance M la cr6dulit populat TeS. Forestus, a mille di xvi si hele, qui a publi hin curieti Trait : De incerto ac fallaci urinarum judicio, adversds romanto ac Ur COROS,s'os appliqui h 6voiter outes legruses que les empirique emploientpour tre instruit des circonstances d'une maladio, avant de se Prononcer, 'inspectio des urines cil ait voti que outes es sorsanteries de ceschartatans ne soni que des mensongeSadroit doni e vulgatre est a dupe.

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sonne totis ceu qui vendent te rem h de .

s ante Les marchands, 'autre pari, valent frayeur, s

consulteraient prbal ablement les docte urs Par unoel contrat les uns cles au tres ne devalent te perdre de

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Il est des mεdecin indigne de coenom, qui ne se sontaucii scrupule de partager es gain dii mεtier avecclesmarchands. J'ai connu un bdicastre ignare, stupide,mbritant assurεment leo ire 'cine, qui affectat u pro-

ralement admisses, orsique, consuli par deu malades