Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

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prEparbis pris comme nous e non de te dire, ille malaque jam ais 'ophrer che les malades astreinis hune ih te convenable i). Lorsqucilis' existe ni plates, ni

ulchres, on proscritato ut traiiement Xternen dans te casContraire, on es panse, on e re Couvre avec ninguent

dbcoction, iis saupoudrent les ulcbrations aVec Cette POUssibre rhs fine Les uias prbtendent que es moyens dire eis abr5gent a dii rhe dii mal les uires assurent qu'elle est prolongε par eux Ver te milieula traiiement, ii est de nou Vea opportu de purger, de rel1chercle ventre. Je partage te sentiment 'Alexandre 'Aphrodisseeo et aute ur ait rem arque que che les malades soli mi Dia

dilte, ou qui 'impossent de privations dans le Egime,les matthres soni plus bilieus es, plus dbcompos Ees a)

Chargo 'un se vico considoratile de losopho gre poripatolicientela finduvon oriens, Di 'hospice de 'Antiquaille it si hele, ango armi es mside ins, de Lyon te ait a sit facile. Or nous est ouvent cito parce mu'ili a bordo avon te regre de te siclarer, e re de nombreus S question ConcernAntmsedem' ropondia ira nos sporan- 'arti guoris . Son iure venaiti'sitreces, ni Aiax paroles si affirmative de imprim poti premi lire lais, hi 'auteur. 'opoque oti H Utten erivati. si L'action dia Gayac influat sans 'observation apporici est exalte : ecloute Uelque sol. sues a suorison olour prolongo des matthres dans lomais it aut ussi tenti compto ies iube digestis eur donne uia caraethrepurgati s de la dicito, dia rogi me, citi particulier 'Acreto qui devient inrepos, qui talent de Vis sanis taxi Clo Uvel olement morbide aggrave esliaires. On ait que a cura famis, a maladie existanteS. dicite sinetae, rabe, sans esseCour des Plerique post Ucim j Unaverunt, sudori fi lues, uoussissent seules Ces usu solito ibi praetermisso bilescunt,moyens italent combin sic dans la . materiam aggreg3nt BCriorem. AleX. mothocle hae nou signatos s. Aphrod. Problem medicorum Oph-

a Alexandre 'Aphrodisiae, thi licorum libri II. Lib. I. 39.

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Lorsque, dans es conditions, on administre uia purgatis,on Ebarrasse te corps de uissantes causes de maladies Lematin duci ou oh la Edecine a typri se, on 'abstientdeboire te Cayac, on ' revient que e sotr. O augmente plus tard 'alimentation cependant, auuingtihme our elle ne aurait encore tre pleine eritiὰ re on doli rester en des ustae a quantit habi tuelle Il est des Edecin qui, our ne a Contrarieri'aetion du embde, impossent te Egime usqu'au rentiEme our, pensant que plus la ibi est rigoureus e prolongEe, plus a bdicationis efficace. Si te malade a te courage deubsister Di'aiguillon deci faim, it es surd'arrive plus vite Dia gusirison. a tisane de Cayac lafaibi esse, ne soni pascies seules causes qui εveillent lebes in de manger il est excit en cor par rabondancede sueurs, par 'existence θme de 'assectio perni cieuse I). Lorsque 'on Ouch e . aiunta traiiement,aVant de permetire a malade de sortir, on revient uia troissime purgatis, par mesure de prεcaution, la Ecoction est continube de qua tres, si jours en ore. Il est de praticiens qui mautorissent pas is quille lachambre avant que a gubrison ne sol radicalescit en es d 'autres qui, considErant cette Eclusion de rente ours comm sussis ante, ais hiat te malade circule dans les

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pthces en viro ianantes, leti aprbs, dans es maisons duvoisin age, fila de 'habitue a limpress1on de 'air, sansque e convalescent puisse tre acheu semen surpris onaura garde, ou tesois, de change tropirusque ment seshabitudOS. Bien qu'on ait commenc sortir, si des ulchre per

sissent, iis se dissipent plus tard. 'est l. ce que 'at

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pas u motis pou diminue laciose, it serat pluto con venable de 'augmenter 1). 'aetion du rem Ede ne se

montre pasci'une manthre brusque, 'es progressivementque se vertus se manifestent Dans a prεparation, plus

C'est 'otat, a disposition physiologi

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Les uns ne eulent accorde que e pain,

nomm par alien 1)la plus natu relle

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inieu que te mal ad supporte .suit ne ih te plus

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mandatioris M. J'εtais 'une constitution hche iserve use la diὀte

de plus de prεcautions poli agi ave plus de Ecuritε, te malade, 'il est inquiet, ourra fatre surve ille te trai-tement par hin Edecin instruit. Il evra abandon nerses affaires, se teni en dehors de to ut sollicitude, deto ut prἡoccupatio morale.

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Ρour ieux supporter rabstinence, it convient 'bviteria ue ou l 'odeu des aliments ausis bien que e spectacled'un grand repas Lorsque e corps est dἡbilit par adimi nution de nourriture, ille aut pas se ater de Eparer essOrces, sol e mangeant avantage soli par 'ingestiondes substances excitantes It aut leu tenter de Ou-

si Siliosus imprimis materias ac traiiemen de a plUpar de malacendit iracundia. Galen. In Hipp. dies Dans out e Cournde e liVre, De humoribus III. 3 . 'auteur 'effore de rattachera son a xe recommandations oesuli su et de sp6cialiser es propositions gles hygienique soni applicabie a les plus g6nsirales.

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tenir de ranime les e spriis vitaue 1 par 'esset des parsum suaves de sortistants a). Calien pense que est de ursagrεabies, aromatiques buff1ssent dans es circonstances 3). Il est inutile de faire observe questa constitution des individus sit austi servi de rhgle On ne traiterapa u hom me se Mnerveu commem au tre roid lymphati UO. O placera en premibre ligne es moyens es plus simples, es plus faciles k se procurer dorat les esset sonile mieu connus Onis ignore pas rege inple de Emocrite qui, durant trois ours, prolonge a saevie en ne respirantque les vape ursites manations qui s'εchappatent dii patrichaud M. Un au tremoyen, vant comme uia Eri table

3 Galen. De methodo medend.

in existen e durant de grandes soles publiques auxquelles elle ostra it a sit ster, ii se fit apporteri patra Chaudia sicut troi joUrs, en respirant sessimanationS. Diog. Asir Uie des philos dei'antiq. Liv. IX). Sans admetire ici a cause assign6e la prolongation decla vie, o Peutrappeter que des exemple analogueS, plus extraordinat res encore, soni raP- port6s dans totis es ouvrage de physiologie. It 'est pas de modeein qui

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scar ambro,iacum famisit lilia α).

liques de Conditions dans ei quellesiis talent administr6s, on eui iret 'articio consacro h c ij et dans lagrande Encyclopiate in thod. Leclivi e

3 Le medecin Philippe, Ommclpa Celse Philippe 'Epire : tota le

4 Philippus fomenta corpori ad

movit IsrFentem nunc cibi, nunc iniodore excitavit. Quint. Curi Lib. III). En salsant respirer a mala de 'ocleurdu in il aut remarquer que Phi-