Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

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magne .

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transportesen Europe n' plus es propriεtbs qui te distin guent dans son ite, vis-ὰ vis de indighnes, 'u'il reste

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retirant se fave urs il est devenu sans uislance en Alle

morphose dans a violenc de sessymptomes. Si done e Gniae iussi salt

Permanenc dia mode 'actio duGayae, hie que les Circonstanees ne sussent plus analogue en EUPOPe en Amsirique, M que 'affection ut subi dans se caracthres ineste UnetranSformation radicale, Hulten aurctitd se appeter et aphorisme de 'unde se mattres favoris : Eadem medi

par ne Conviction in Chre, a sali exalter Utre mesure Par uiten, leg

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on de mandat unci ou k Ricius si dans a pensiae es

tra tris eXigeant, leur impos amne abstinenc plus grande encore que de coutume, un3britable e sine pour uia avtre

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t 'estime de ces homines de talentin de bien, que e pro- sese de haine lae bpris poli ces chartatans stupides, doni 'effronterie, 'assurance imperturbabies soni es

se ut apanages. Quand iis ont ach et uia titre, iis ostentio ut prometire, mhme de reisuscite les moris, de les a

suad que les rogues fatiguerat 'estomac, vite, aulantque poss1ble, 'en administrer, recommande, de prEsE- reiice, a thte .unobgime convenable Charg de diriger u malade quiqui exprimati a cra in te demes Ou- voir, durant te trai te ment, se prive des plaisirs charneis compte pas su moi tui dit-il, our ous ide hino uri r refusa 'assister de se avis una ommeausti eum attre de se passion S.

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PermetieZ-mo de uous citer encore, o nobi prince, deii docte ur connus de uous Q premier est. Copus,

qui m' beau coup id si dans la Edaelion de ce iure lese cond est ac lues bellius, attach a 'arche vθch de

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1 Galen Ars medicinalis r Cap. tre humeurs primitives le sang, a pi-De morborum caseis dein aqualitem tuite, a bile aune, a bile notreiuperat. In Hipp. comment. IV . 'atrabile. Selo cette doctrine, e sangsa Le side in de ergame, M produit par a nourriture, compo aprses tui son cole admettaient qua de sit Uments es plus imples, servat t

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corps amolli par une chaleur excessive, ceti impruden cepe ut deveni une so urce de maladies . ni iver selon es paroles d Hippocrate, a chaleur naturelle se concentre hi' intεrieur, tandis qu'elle est moindre exibrie urement 2) Solis 'impression dii roid, elle emble se cacher, se ἡ- fugier dans es organes prosonds, comme dans une sorte

Hippocr. Aph. XV. S. I. u Ventres, heine iere, naturh sunt calidissimi in his igitur te raporibus, alimenta plura exhibenda. Innatum calorem majorem habent : nutrimento igitlirco pio fore indigent.

On it de aphorismes emblabies dans Arist. probi. Lib. II. 4o.)Galen. Comm. in Hipp. Aphor. I .)Alexan. Aprod. Problem. I. II 3.)Galen. De sultib. victos ration.

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restent accumul5es an les organes o On reprocli au