Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

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de a Moeotide, 'autre appeto Hippace par es Scythes u Magna edit ea, Commendatio, quod in ore eam habentes famem sitimque non sentiunt traduntque his duobus herbis scythas etlu n in duodenos dies durare infamestique ... n

Hippocrate, Thdophra se, Dioscoride,

Porphyre Trait dei'ustinence'. Longini Frug. de et treta Porphyre). , Les mages, retres dela religion

cepta farina O olere nihil amplius in

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1 Epimenide, polite M philosophe Cette logende est rapporthe en ore crotois, uang dans clx classe des par Plutarque Banquet dem Sept M liques de Theosophes FGyant Sages, VI. 37).l 'excessiive Chaleur u milieuiu our, a Coe prsicepte χ'Α l6piadae ait se reposta, dit-on dan Unctarot te, ot conservo par Celse Asclepiades oti l dormit inquante-neus ans Cette medica nenia su tulit alvum non to- fabis, qui se lit dans te dialogue de tris sed feri tamen in omni morbo, Platon : De la modisation, a sit re subduxit, febre vero ipsi praecipuὰ se procluit par diver autetars ad remediiim uti professus e s. C 'os i stans dotate ne all6gorio Cels. De medic III. ). qui arque a longue ab lance, es 3 Celse ui-mδme di plus o invoyagesi'Epim 6nide our 'instruire Lib. III, cap. 6 :dans a philosophie . a 6decine u illud es unum semper o ubiquἐll 'appliqua 'une mani hi e speciale servandi Im ut gri vires medicus in spi- la botanique; 'est de luimus es ciat, O quandiu upererunt, absinen Cree on appris es propri6t6s de la tio pugnet. Id enim ejus osscium es, scille Oignon marin). - Dioso ut grum me superpacua materiuride, line, Thdophrase). Heret n

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riches, atteintsci' affections articulaires, de lassio ulte, sontre venus a latant aprξ la perte de leur ortuneo forcbs de re non cer Platon ne libre, de iure ave frugalitε,

Egypte. Se Dialogues satyriques, sapido te taecin son iure fur a

a Gallus, philosophe pyt Bgori

3 Mycillus, de Lesbos, doni parte Strabon G gra. liv. XIlI) Antigone, de Caristi e clans es Histor es

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re 'esprit, continue te mξme auteur, 'appessentit chegle homines adon nἡ la gourmandisse, qui ne songentqu'aux ouis ances de leur ventre ab Lorsque restomac a

C'Etait, ii aut en convenir, hi singulier personia ageque e moine Obbse, oursuivi par te Esi de manger

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gestis

met de juge de 'otat de a soci6t6, de a disposition des espriis, de tendan Ces, de fiat ne qui divisa ient les

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NDANT mε dication diminuer aquantit ordinatre de nourriture es non-seulement ne hos possibie, mais facile . cause de a vertu duCayac, qui a la uis ance de so utenird de conserve la vi dans u corps Xtbnub lor mδmeque e malade est streines lacithte: il est dori utile, ainsique e 'ai dit, d'imposse cette privation. Si a faiblesie est excessive, it faut releve te forces, non pas en donnant beaucouma manger mais en falsant respire des deursaromatiques, farticuliξrement a vapeu qui se dεgage

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seil de pline et , o cal merita faim cla soli parius agedui eurre cie lauacine de bglisse. 'est bien te cas 'exb cute la rescription de Celse,

qui recommande a mε decin prudent, ors'u'un mala deest sotimis Ll dihte, 'en surveille les esset ave atten

Id. Lib. XVI, cap. lib. VIII,

clicate. Vid. Diosco. lib. III, cap. 7. . Columelle lib. I, cap. XXXV s'exprime inseri Et quia amens timquesedat j his ob hoc

sti 10s vocata ol. Ce texto ne dist repas sensibi ement de elui de line. 3 Les quatre premier livres de Celse, consacr6s h a pathologie in-tΘrne, Ux maladies qui guorissent principalement par a didie in s 6-quemment misis contribution. Vido lib. I, cap. 3 lib. III, Cap. 4 lib. V VII. C'est i que soni expos scies ages prclceptes si te sigimequ'impossent les affections ChrO

4 Gellius, plus connu sius lenona 'Aulu-Gelle, qui vivat auli filiole, notas a Conservo te fragmentd'Frassistrate, Citsi par Hulten. NOUS re- reproduison te texi Original, BP-

porto dans es noctes atticae Libr. XVI. Cap. 3). si Scythas quoque dit Favori nus eundem Erasi stratum dicere,cti instrusus ut finem longius tolerent, fusceis ventrem Dictissim circumligare : Ea ventris compre spone esuritionem posse depelli creditum es. η Uitritionem facilint inanes patentesque inteisinorum brae si cava intus ventris ac tomachi acua hiantia:

quae ubi aut cibo complentur aut ina nitate diutina contrahuntur 9 conivent, tunc loco in quein cibus capitur, vel lipato, vel adducto voluntas capiendi ejus dejiderandique restingui

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u Lorsque les Scythesis , par ne circonstanc quel conque, soni obligε d 'en dure la aim, iis ont coutume de se comprime te ventre ave de large cetrature sociis le

aideri tolbre plus ais Ement a privation de nourriture DLe vide des organes est, s vivant cydernier aute ur, une des

causes decla sensatio de lataim reae fibres intes inales

ἡtant dans uncitat de relachement complet, 1 on rap-proche 'une contre 'autre es paroista ventre, o di

minue 'es pace, o fait disparaitre, en partie, a s urce premih re de ce sentiment, 'abstinenc devient plus tot brable et . is urant i 'emplo du Cay ac cem' es pasune aim excessive, maisin simpletes in de mange qui

nom les habitant de immense Con-ircle septentrionales, regarcloes de Cecoto commerios limites clu mon de iisse nourrissalent se ut ement 'herbagesti dui ait de leues troupeaux it ne laifatent amat his age de vin iis se Contentalent de s'enivre par a fumo de Certaine plantes odori sorantes qu'iis respiratent, Ces plantes otaient proba-blement narcotique il avalent δε- vin si 'opium L le abae La Couttamedon parte ici uiten, est indiqu6e par Strabon lib. VIII), a pari line

Passim, Eib. II, VII, XII).

a Cette explication de a caused la Him, donnsi par Erasistrate,

philosophi Ue.

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contre ceu qui prosessent de eis principes par mal- heur, iis ne soni pas rares en Alle magne.