Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

발행: 1865년

분량: 325페이지

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분류: 미분류

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proclicles h a nobi esse, it puis seslegons . se exemples dans es iures

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sient ces provocations ces assaut de buve urs, e luites

de tables . . . Le convive qui bolt te plus est e ro denosian queis, ii reς oit les applaudisse ment de se com mens avg. Lorsqu'on aspire a 'honne hirci'une telle victoire, cera' est plus une honte de 'enivrer, ,ε me de Vomi a milieu 'une orgie Pavvre patrie misserable

empires Que tron cesse de parier est 'intemp5rance despolo nais 2 , nous ommes leur dignes mutes dans les

cles inside iras, des philosophes deSpolites do 'antiquitsi ii a Chercher

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ration personnelle, yon quelque sol de notre an ib, de notre Vie, compromise par es Xchs .ces satur nalest a Satirique de Rome a crit: ciae exchs de ceti nature soni a s urce de toti te les mala-

mation.

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moelle ux se nourrissent de meis succulenis, doni toutestes mers, toute les contrεes soni tribulaires iis ne son-gent pasi s utent leur existence, mai satisfaire leursensualitε. Leur habit soni dii in te plus ouX leursrobes de potirpre soni garnies des eau de marire tesplus fines iis ne herclient pasis se prEmuni contre lesroid mais 1 se procure de nouvelles ouissances. 5daignant tecirapordinaire, iis 11'usent que des tostes de soleo de plus ouples fourrure M incapabies de 'appliquer rien de Erieug, iis ne traitent les assaires qu'a milieudes sestitas passant eu vie dans le banque is, iis se rεu-

1 Arce sedet Bacchus, languet neglectus Etle citation a done typuilae ang APOὶιψ te redueitci De Genertibus Ebriosorum

Hic nihil aliud est vivere quam bibere.

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pas 'Alle magne enti bre, mais cles une honte de plus j signate les gentiishomines, te chesis de a nobi esse ce sont eu qui donnent ces Eplorabies exemples i). 'εtant assis qu' des repas de prsilais a pota se gorgerdes viande les plus exquises, se plonge dans 'iuro-gnerie diluxure, iis prεsserentas' exposter a tous es malax pluto que de re non cer aux Elices de la table Lelut de leur existenc est atteint orsque leur ventre est satis- fait. Si in avait pii oupςonne quela' ausit viles crεatures eXisteraient en Germante, o serat en roit de penser

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que Sallus fera vovi te dε signe par ces lignes Il est de hommes qui ne songent qu' mange . dormir, traversant a vie dans a paresse 'ignorance, an laisse se de traces de leur passage Ι . Qu'on se sola vienne de 'opinion des Romain stir es habitant de 'ancienne Germanie 2 on jugera s'il

lorsque nous avoris dbveloppyles germesta' une maladie, perduio tre an tyen Evorant notre patrimoinein celui de notre famille Infirmes, impotenis, perclus de to US nos

1 Salluste, qui, an se liVres,

pus It tali lio ave Cornelius Nepos timorace, quia odi h soniis adoptis, C. C. Salluste, 'ode deuxi lime du

re Multi mortales dediti ventri atque so inno, indocti, incultique vitam, scuti

peregrinantes transiere.

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vinit en nemi es Dies en tendre, iis soni te sitas par estratis 'une injuste colhre de die ux i).

Pisit ala ciet 'u'on nous vi reprendre n our 'us agedes tunique de laine our 5temenis, des abiis talilbs de faςon a permetire avx membres de se destiner; pisit u ciet qu'en ξme tempsi nou vi revenirati simples potages 'avoine . . . On evrait ougi deporter des robes de sole ali mille piis flottantss nous vo udrion te voi proscrire a out amat s. A quo bontous es obj et de luXes A perdre notre fortune, k nous procurer mille maladies. Nos pξres, vivant an sue cherche, ni accompli de grandes hos es, se sont couveris de gloire nous, a contraire, qui sommes exclusive mentirboccupε de nos ovisi ances corporelles, qui ne demandons que des meis rassin Es pol fons britabies, qu'aVOnS-nous ait, que falsons-nous qui sol digne dei'Allemagne I libaudrait mi eug tre appelε barbares, Passer pour eis, iure rustiquement, que 'εtre clas Esen premibre ligne poli notre amour de la voluptε c

Que dira it notre empereur Charies e Grand et si,

o Missum ad sua corpora morbum prince de a monarchie ranque misInfost crodunt' numine, saX deorum a nombre des laint par 'anti pape

etatent i une implicite extremm il a Chartemagne, te plus illustre avait rogi par de Ordoiananees, ve-

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de toges de sole les plus splendides, ut qui ne portatiqu'une tunique de uiri Que dirati ita 'aspe et de ceshommes est Eminbs, doni 'unique verti est de avoi se

Chrysippe avait ne aversio proson de our ou te Sindividus qui usent des parsum &is dbsirent que satisfaire leur dεlicatesse deur penchant pota te lugeri illap-pelait a colhre de die ux sur ces hommes sensu et qui

Dans es temps anciens, e pratique appartenaient

i maginε jam ais que de Cermain devinssent unci ou ca-pabies de suture de teis errement λ. . . Nous regardon adhuellement comme in dispensabies

Pleni sis ac melisis Chrysippo Crantors dixit

losophi Chrsippi fundamenta. a Sybarites, habitant de Syba

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le essen ces odorantes, Xotiques, es composition de myrrhe, 'encens de music de oudre de violette Sri cene soni pa seu lement les semmes qui en soni avides laeshommes, des princes, des ecclεsiastiques partagent cette

dans es Gnomiques, oti soni is en vers es sentences morales de Solon. La maxime vivante est de tui : Re-

dolite a voluptri elle o mire de adpuleur. Ses principes soni expossis dans e Trait des Q)Iateurs, Par Apollodore e philosophe. e trait est cit par Ath6nge. Bunque des

a Unguentarios Lacedemonii urbe expulerunt, proper cedere f-ntibus suis ussferunt, quid oleum dispem

tro gras. Plutarq. Vie de Lyci: Laurentius, de Conviviis de prandios cana veterum De Courcy, Η loire des o is de Lycurgue, II.)

tiens in orabies de Socrate Xonoph. I, a. 'u'est consignyle sat doni paris

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passaient lesiuit dans es camps, exposses k 'intempεrie de falsonso de rudes ab eur dou blatent eur forces

considξremne telle conduite comine natu relle, ve ut 'im ter ivlure les traces de ces hommes qui se proclament

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