Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

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pementi Allemagne, que nou semblons, dans eur

mands, dans leur patrie, ne consomment que des in de Cursique des meis de provenarice talien ne tandi que,s'il se trouvent k Rome, iis ne eulent plus que lexproduc

tions de leu pays udes rivage du Rhini G dbtest able&honteus manthre de iure me qui a rend plus odietis e encore, 'est que e soni des vθques qui en donnenti' exemple a). On dirait que es homines, volitant imiter

Philoxhne, flεtri par Aristote 3 , ambitionnen d 'Etre gratifiε par te ciet d 'un coli de grues q). Aristophane blamat les festin des habitant de Syra cused a nobi esse luxueus de Sybarites s . par quelles

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paroles, par queis sarcasmes ne tonnerati-ilias contrela prodigalit de nos abies, contre notre glou tonnerio,

notre intempsirances Que ceu qui aspirent Lbrille paria vertu l'intelligence coutent cette observatio de Pythagore se Celui qui est a donny l 'incontinence, auxplaisir sensueis, est incapable de te pense de grand

leur amota exagor de plaisiars, de lavolupto, diluxe Iis talent, Mi 'opo que de Denis le tyran Citsi Commeles rivaucia legimules de Sybarites, qui valent propos de pri pota leg

1 Cette senteno se retrouve dansles Uers dorct, attribu6. Pythagore; quelque 3UteUPS, BVec PlUS de Bison, les apportenti uni se discipies, qui a expos ius Cette sorme uncti arti de doctrines morales de sonmaltre. 'est Pythagore qui a dii uae gerare de vi te plus consorme Di avertu eut ire 'abor te plus psi ni-ble, mais it devient e plus agro bio par 'habitude s Diog. Lalir Uie de

u Poscis opem nervis corpusque fidele senectae, Esto age, sod grandes patinae , auCetaque

grassa

Adnuere, hic superos vetuere, Iovemque morantur.

Cicer. Desenectute, lib. I, C. I).Le gran orateu qui adit u Intemperata adolescentia essetum corpus enectuti reddit, nsit ait, aveo Luciali US,Scylla, Pompee, 6sar, ut de Citoyen de

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to utes sphces de viandes, bpondito son client qui seplaignat dest 'inessicacit des rem bdes 8 de 'aggravationde so malo es lates cesseront quand tu cesseras de

Jos Ephesioue les iubens, Eritabies philosophes uisis,

qui avalent ait dia esine quotidien ne habitude, ne se conde natureri it ante ausis a continenc de phari

vations prodigi eulas surae sui et, ii aut consulter e singulier rectaeil de Musonius intitui : De luxu Graecorum in quo de helluonibus O bibacibus ... a Joshphe est 'historien,legon6raljuis, Tu es Machab sieS, Ui, aprisSi lac de Grusalem, ut em meno prisonnier inome. t appartensi h lasecto e ce pharisiens qui se distinguaient Par Un hie excessiis ou les pratique ext6rieUre dia Culte, Paru attachement servile Lia letire dola tot M par une PVhre morale, plus dans leur paroles que dans leurs

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Anacharsis, dans a fagesse, 'applaudisfait hau tementde ora modeste genre de vie La aim, dis ait-il me sertd'assaison ne ment la terre es moestit, te simple θ tementdes Scythes protEge mon coi p. 3). Emosthbnes, d une

p. Antiquit. Lib. oectav. decim. a Plin. Hist. natur. , lib. XXIX, i). Porphyr. De ab sinentia, lib. IV). u Timuit Marcus Cato ne quando cum 1 Ces coutumes 'intemp6rances sum molities ii Italiam invaderent

quoi qu'en dis Hulten our es e. is Anacharsis, philosophe scythe,

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qui, an uno visitem Athlines se ita aveo Solon, donicit devirat lo disciplo M 'ami li Conserva en rhoe la implicito, te habitude frugales de sonpays natat. Dioghne Lasirce, te des philoisophes, liv I. Anacharsiis est leh6ros est 'excellent uvrage dei'abbe Barth6lemi. Cic6ron Tuscul dissiputat, V. ab Epi sola Anachars ad Hannorrem te ait parier in si ruthi amictui obs thicum tegumen, calceamentum solorum callum, cubtile terra, pulpa

i Los motis de 'exit 'Eschine,

Vol paret ilement a collectio des moralistes anciens liv. II, h. I).

4 Ce polite est Chaphs, vivant Stobeo. Florilegium XVII, 3. Cette

maxime figure dans es sentences dessept sages de la rhoe Dor en fait aussi honneu h Socrate elle est attribucleogalement halio cylide par 'autreS. Collection des morali se anciens. Elle est reproduite, ave de VctrictnteS, dans es Vers doris

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si Epicure, philosophe doni es

sente clans a conduite, dans a Vie enithre, Comme Un exemple de

sagesse, de sobri sitsi de implicito ; ilrelate 'opitre cito dans le texto de

a Anaxagore, te malire 'furipidera des oricilis, taurit, thhnes, a premisere cole de philosophie. Richae, Laban onna se parent safortune qui tui tali inutile ave sesprincipes It dedaigna totiles esjovisi ances de a vi mat6rielle Dio-ghne Lasirce, Vie de philosoph.). Ci-egron Oussiones acade nicet, lib. II)s'exprime in en partant 'Anaxagore maxima fuit O gravitatis ingenii gloria. Lo trait par tequel La Fontaine te mine a sable I, liv. II, contre ceuxqui ont e go ut disscite, revient h lasentencei'Anagore, a traduction seu-lement est differente.

Longin philosophe neO-Platonicien, vini prosesser Rome, troi Cent ans BPrhS J.-C. a philosophie tali toute mystique it con illait 'isoler, dola manilire a plus complhte, 'gme detout e qui appartient aux sens Lesait apporto est extrait 'un iure suri' abstinonco de la viando De ab lin. is est animali, lib. IV, o . , adressta hun des os discipies, Firmus, qui S'otait sat chroti en our avoir a liberto de mangor dela chairi de botred visa. En se privant de a viande , tui hcrit-il ora Conserve a sani dest 'Amowdu Corps ora vit plia longiemps aveo plus 'innocenCe n De out tempS, Ce idcle on e de adeptes propagsies par Pythagorei son cole, renouvel cles par tot in Gamblique,

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gosit union morce au 3). Mithridate, o de poni, quiso utini ne guerre de qua rante an contre les Romains,

de es sages estiamin ε qui notis soni rechercher dessi Eges arnis de plume. Tite-Live, partant 'Annibal, rapporte s)'u'il mangeait 'uvat poti satisfaire aux

si Vie 'Apollonius de Thane,

II, II.

a Philostrate, sophiste qui viva it

Rome sinus Septime S6vhre, a Critia vis 'Apollonius de Thyane, OUrexalter es mervellieux flat de songen re de te les avantages qu'il en a

3 Massinissa, leuoi des Numides,

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gement dans leur conduite es hommes vicie uxin cor

rompus qui pulsent de maladies de ou te sphce dansleur habitu des Eplorabies.

tique par esprit de sagesse. a Lesauros, dia temps de ut-