Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

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ront amat les libritier du royaum des cieue Ι) aeshommes qui nicia mission de nou guide vers la viecεleste les pontis es, te chanoines, es prε tres soni lapremthre cause dii scandale. 'est a conduite de cesgrand dignitatres qui a donn naissance a proverbe re Celui qui ve ut iure dans es laisir doli apparten ir

La sobriεt exempla ire de mon Leui Laurent de Hu teles 3 doli nou servi de modξle, notis porter Dimiter

se vertus Hommeta' u sens droit, prenant ne part

plus se protestant que te colloques 4 L'art culinaire tali dans en de Calvin. sance en Allemagne ne fallait 3 Queique notos de Moreri, ut age de opiceries que dans legde Bayle pro sentent Laursent de Hulten grandes aisons, dans es festing. Lacomme te type u gentillhomme de heri des condiments exotique sitati

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nit de a gloire de et illustre person nage AE'ili' est paspermis de 'en orgueilli parce qu'on appartient a telle

velles. line Hi t. natur. lib. XIX)d6plore es progi h du lux de latable, qui obliges 'alter Chercher audet des mers e potvr indien JUD sta' son introduction, les Roma inss'6taient servi, an scies appretS, U

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s urce de an d 'autres mauis crueis 1). Falsons unretour sur OuS-momes, revenonso des principes plus digne de notre nation de 'empire . . . Les sentiments 'honneur, 'aimes le croire, ne sint

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modestes dans leur gobis, 'on poliat ab an donn cetaliment. Nos enchanis, nos habitu des nous potassent hconvolter de meis tirε a grandiried 'o utre-mer. oursatisfaire es odis dbsordonnbs, des phres de familien'on paston te de vendre es fruit de leur domaines

telle est 'origine de a fortune de Fugger Tandisque nou ne nous prEoccupons que de satisfaire de be-

si Huiten, prenant se exempleSparmi es omme qui ont mar usidans 'histoires de 'antiqui te par leursilies o par eur Crimes, sipasse, suivant nous, te ut qu'il se propos e. Si a m eure parti de a nobies se allem an de prodigue dissipsie, dente potir es lai si1rs, 'oloigna it des ornes de a modGrationian la

dais L seul clgal u'il se permit hia campagne tali te brouet, qu'il in-dique ui-msime De re roticu, 3. : Pulte n Punicam sic coquito: libra n alio in aquain indito, a cito uti ben madeat id infundito in Lyeum purum eo casei recentes mellis Oviam utrum, omnia una permisceto benὸ Ityinsipito in aulam Ovam n

3 Plin. Hi t. natur. lib. XVIII,

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s in faetices, iis ac caparent outes le richesses de l'At lemagne, iis acquihrent de vastes palais, construissent de magnisiques chateauX. Ces intendant de nos laisirssemblent ouloi nous persuade que les trεsors qu' iis accumulent soni une pre uve decla pulsi ance de a gran-

deur de nos princes Nous ommes asse ave u gles Our

de notre nation te luge ooute les ouissances sens uelles, qui engendrent tant de maladies, tant de mi-sseres de to ut nature Celui qui ait εsister k de telles satissa Stions post Ede des garanties pou une bonne santε.

O ren contre encore queique Allemands, plein desorce de vigue ur, qui se contentent ou nourriture des plantes qui roissent dans leur terres, tandi queles individus qui on conflamment les Oigis rempEsdans te astan, qui soni abus de a cannelle, qui ne sen

t' empire, e privi logei faire passorde Venis an Allemagne oute legδpiceries qui se venda ient dans es

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tent que te trosse se complaisent dans es tunique sample & splendides, sont en proiera de fouffrances Ide maladies an nombre. C'est avec aison que te satirique appelle la ouite lamaladi des riches 1). En esset elle fuit les auures ceu qui 'abstiennent de boire du in elle estia compagne de 'opulence de 'iurognerie, de la ourman

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Sardanapale. peut-oniter, o Die tout-pulsant, que e stoment, leseigle, leviros blε l 'avoine, qui croissent dans nos terres, ne solent ne nourriture agrεable Sc salutatre t e

Nous avoncla chai de animaux domestiquesin au-

1 Plin. Hi sor natur. lib. XXI, 7. dans Celse liv.Vy plus particulisere- Odoratisma quascca, utrilla, menta, mentian G3lien apium. De compo stione medicamentorum Apio gratia in vulgo est. amque secundum locos lib. II cap. 3o . rami largis portionibus perjura inna Desinplicium medicamentorumJarant, oin condimentis peculiarem gra cultatibus lib. Vl). De probis praviistiam habent. Plin. XIX, c. 8. - que alimentorum succis C. I. a Daniel Lectere Hi f. de a me Apollonius avait compos in U-dec. cite plusit eurs side in dumo vrage, at ourd'hui perdu, sur es Dd'Apollonius Celui qu'Utric a proba dicament aifesta trouxerita proa-blement entenduisisigne est Apollo rer des extralis Ion rapporth parnius 'Antioche, donicit est question alien dans es uvrage Ci-deTUS.

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vages qui est rhs-succulente les fruits doni te sol d'At te magne est si prodigue, peuvent, par eur variεtε

si Galen. In Hipp. de humoribus chaque instant dans se heriis It valib. IV, II, 8). plus loin, dans se lettres sur a vie Galen. De probis praviisque alimen monastique, it tablit de distinctions torum succis lib. I. dans a natUre, es qualit6S, es a re edacervant enim per vitae in racthre ies stantes, de fruits temperentiam, crvdsi humores, ut des productions diverses. I les d6fu id evacuantur bii. η signe , les Irgiare u es proserit, a Satiat siromo Contre Iovi selon es proprioisis, es esset qu'ilnien, II, a). Ces pensiae surcia simpli leur attribue. Ainsi, o lit ne rhscit des sitemenis, fur es avaratage singuli lire observation dans ne te do la frugalito, de amourriture sig6 tre Consetis adret des reli- tale em particulier reviennent 4 ierines oti it defensi'us age des lives

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ni Sed cum lapidosa chiragra Fregerit arti Culos, veteris ramalia fagi,

ly Artaxerch Mnemon, BlheU Thm erassos transisse, lucemque Palustrem, reu dans 'exp6dition qu'il tenta con Et sibi Imriori vitam ingenitere relictam v