Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

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nuit. Ce lignomhne est constant il

at ouro' ut 'une manthre resque absoluo pota tui substitue lectodures. a Je ne Connat pa de peinture plus onergique de tableat plus sal

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mais au εsespoir . . . e 'a polia e 1 me repenti dema confianceo revenuo a sanab, a fave ur de iure longiemps encore, 'ose me erce de cet te idbe, me sera alte maintenant que 'ai re conquis, vigue u pre

olomenis qui nous chappent, sonties solarces de ceti dosemserante in-Curabilito. i Comme nous 'avons it plus haut dans a note page 76l, PrUS la modication par e Gayac, si Viric, momentanclinent, a semblo usiri,ce 'est a de la 6role clans sessymptomes pocifi lues, 'est 'une ris de manifestations, 'accidenis

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pas utilior es disposition dans ips-quello it tali administro, es rogimedisitsitique impos , doni 'actio aussi

rinnentalessu lainhilis, qui orat placo

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tie inlogrante dei traiiement. Nous tieis, qu'il est important de ne poliat avons instist dri fur es satis esses Perdre de viae.

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que te convalescent ne dolve plus tres umis , aucune insidication il est in dispensabie que durant troi mois deu au moins, it ait ne anthre deviure rhs-rbgut1hre. C'est Lune condition importante lassubrison, Lmon avis, ne peut ire assurbe si de gran des prἡcautions ne soni astris es, si omne 'impos pasdes privations nombreus es. Queiques mεdecins hclament trois mois comme te plus bres dblai k exige de ma lades qui on sit prosondbment attein is, qui on offert des Egbnbrescences, des altεration organique graVeS,

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eXthnub Dce potnt dans ceruas, o pe ut se contenter de deu mois cependant, our plus de certitude, e con

seille te premier termes I).

Une recommandation qui passe Vant oute les au-

tres est de uir e platsi dea' amour Mai gryla guhrison il reste dans ' organis me uniatat de prostratio, de an

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dεbiliter siconomi to ut entihreo transgresse ce prε-cepte est, non hercher u ne mori certaine d molnsperdre volontairement une somme de vigue urin de uis

nite, n augmenter quela' une manthre progressive a quantitydes alimenis, ne a donne qu'ά de intervallesa5glεs, ne te prεcipiter, ramene par gradation e malade hson εgime primitis Un in bonin En breuX, en petite quantitε, tendid'eati,qui sera permis On auratoin de se prεmuni contre les variations atmosphbriques le convalescent sortira peti dans es temps 'orage, de roid oti de plute, qui soni toujour Dredouteri I).

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On se contenter de deu repas elui du sol sera plus Eger durant les trois premiers mois decla conva

autres viandes la chai des eunes animauu elle est plus tendre, plus succulente a), 'une digestion plus facile. Les observations qu'on adire ne 'adressent pas seulement auX vj et gubris par te Cayac elles s appliquent ala convalescence dans outes es maladies, intbrestent indistin element ous ceu qui Esirent entre teni leur

leni compte La premihre considbration a traita a maniὀre de iure, ceti question est complegae parasigimeon 'eniendia seu lement a nourriture, o comprendulae Erie 'autres mesures hygisiniques A latuite des maladies, quelles qu'elles solent, es con valescent dolvent adopter ne ligne de conduite age,

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rigo ureus e tracε par a pruden ce, viter non-seulementies eXchs, ais es caris susceptibi es dem uire ii faut dono procεder avec sagesse. Aprbs la Edication dibte, 'est ne immense satisfaction de polivoi assurer comme 'eXpbrience en a convaincta es homines es plus compsi tenis que ronn' plus ien Dcraindre, qu'il est permis de rentre dansles habitudes anciennes, de reprendre a vi ordinaire, si cette vi arat emi rein te de modbration. Les malades gubris par te Cayac 'on pas s'im posse de plus dures privations dans leur Egime que es

hommes qui 'ont amat Et insectbs it 'est plus in dispensabie de se prboccuper de a quantit de la

nature des aliments de recherche les substances qui conviennent ou celles qui soni contraires. COS convalescent sontuentrε dans a tot commune, es dispositionsa prendre ne soni utres que es rhcautions εnbrales constaminent sicesiaires pou se bie porter Ces ages prεcautions servent dans totis es casis prbserve des

si Dans 'ohavi age de Celse De setis iis in particuli hrement expolas Medicinii, diver Chapitres sontion lib. I, cap. I, lib. I, cap. 4, sacros aurasivel oppement de Ce Cori 23, 26.

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Commenςon par leobgime alimentatre cili faut manger u 'ave modbration, orsque appεtit existe franchement, orsque a satisfactio de ce bes in est unplaisir On choisira es meis reconnus 'une digestion facile, qui sera oujour aidbe par une boisson salutatre. Paulli re commandem ne nourriture simple, Eparatrice,dEgagε des principes inutile S uia in ranc, Pa tropsori, o uvant outes is supporter 'eau. 'opinion de

Celse est emblable viande ne doli tremi tropgrasse, ni trop glutine use, de crain te de ballon ne te intes ins a). Comme e 'a exprim plus haut i est important dans es maladies de se prive de substances albes,aigres ouincides. 'est ne aut grave, vivant Pauli 3), de se gorge de viandes, car, te que 'estomac tesdighre, it arrive que es vatiue auctro remplis sonetionnent

nai de parat ire si ii : Salubria de sanitate tuendu princepta, Guil. Copo Basiliens interprete. 'ai di queCopus, intimement i ave Ulric, i 'avait id dans a si siparation de

a Cels. De Medicinu. Lib. III,

De Re medico libri II, 'a parti que