Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

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mal, se dilatent utre me stare iis petivent 'obstruer, tregonflε par es gag o se rompre C et excξ devient lacause de maladies Ombreus es : par la δ me aison, onm' u sera pas des viandes o de fauces tro forte mentassaisonnbes cette colitum est trop rbquente che les

riches, qui abusent de paretis et Chargent leurstabies somptu eus es de siX, septin quelque sol di platsain si prεparsis qui troublent, embarras erit 'estomac

fantes our bparer es orces, mais incapabies de tes

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Herreret IV, 8. senecta quὰm in juventu. η. Esse opportet ut visus I Ori vive e

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Summa laus senectutis est, quod cap. . ea voluptates nullas magnoperὐ dejL 3 Plin. Histor natur. lib. XI, derat Caret epulis exstruetiisque men ca 3. LIV. insis si frequentibus poculis Caret ergo st Augescunt corpora dulcibus atque elidi vinolentiθ cruditate S in pingribus, O potu minuunturjiccis somniis. η aridis, frigidiisque, ac fui. Cic6ron semble avoim empirunt Gal. De Uanitate auenda, presque extvellement me observa lib. I, 3.)tions si Hippocrate, doni ii avait ait sue Cels. De Medic lib. II. une lude appro ridie. HippoC. De cap. Ia.)Victus ratione, lib. IV De somniis, re At ubi febressunt, satius o ejus lib. I. rei causu cibos potionesque a sumere Le iure de songes qui se trouve qui sinu alanto ventrem mol- dans a collection Hippocratique 'est iant.

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dation consulte hin Edeci prudent, 'un sens droit, expEriment pluto qu'sirudit qui ne donne que desdrogues samples, mpruntεes aulant que possibi auX

lyalin. Hi t. natur. , lib. I, 4. Ces paroles que ui adresse CiChron, Somno concoquere corpulentia dans la arangiae poti te roi lo- qudin imitati utilius Ideo athletas arus: Cum te post coenam vomere velle malunt cibos ambulatione perscere dixisES ... Pervigilio quidem pracipu vincuntur et sage, que aut 'figine P- cibi. prouue lib. I, 44 , avait avarat UiCette remar quo est contraire 4 troiavsi de Chaucis hinspurS, entret 'opinion de Galien dighre inieri autres le siclecin Soranus, 'Ephyse, e dormant qu'en velliant. qui te recommandat Comme oujOUrs Gai Comment. V. in lib. VI. Avantageuc; mai Salutarque De Ua- idem. letudine tuendu), ad Messipinde ni a Ora ait que es anciens avalent signat se mauuat esseis, it Celse. recours mi vomissement apphi des De Medicino, lib. I, cap. II.)grand repas Cette coutume tali de Hippocrate avai d hil Amsi, On-venue gonorat ei Rome dans te der damno cette honteus Coutume. De nier tempS de a ropiabitque Cesar Uictus ration lib. IV.)

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remhdes que nous avons ous a main. Si on Ecide dores acher te ventre , on 'oublier pas e qu'ens igne Paul, de ne purger que rarement de cra in te que lanatur ensuite 'agiste plus par elle-mδme, que les

remEdes ne deviennent constaminent in dispensabies i).pou ce qui concerne es aliments de bonne nature, ou bienceu qui soni suscepti blesta' δtre uisibies, our e qui regarde leur modeta' administration cesserat ne rien direque de ne pas enire , fond dans a question . e conseille donode consulter es autevrs Celsem'asas ab ordyle svj et

tthre aissent euis dbsire ). Avant de termine ceque e me propos ais de dire surcle εgime alimentatre,

1 Paul. Salubria pracep. lib. I, se thoories, de se explications su cap rani sies . hypothotique ouvent a Cels. De Medicinci, lib. I, salasses, it aut reconnailreTU Galien, cap. 3. Ce 'es que dans e iure dans se beaux ouvrages te Sanitate qu'on trotive Uelque observation ruenda de limentorum acultatibus, gor Grates stari sciuet a traiici 'une anthre admirabie ces 3 C'es la traduction, e soni es importantes questionSd'hygihne. Lib. chapitres, es division propo es, sita I lib. I II, cap. 8, 7.)blies par G. Copus que uiten iit Plin. mist. Πat. ib. IX, c. 3.)dans totites se citations Paul. Vid. v Nullus ebl alius cibus, qui in oegri-praseri I, 73, 6. Iudine alat neque oneret,smulque vim 4 En ne se pr6occupant a de potus a cibi habeat n

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que te auiae des oeus de potales, de perdrie de stat

sans est a nourriture par excellen ce, favorabie surto ut

au malades doni te an est diminusi, apparivri, doni es spriis vita ux tendent . 'assaiblir 1). Alexandred'Aphrodisse pense que te atine enserme en tui es qualitε des meille urs principes combinbs, 'u'il reprε- sente en uel que sorte te monde, soli parce u 'il est constitu par es quatre lεmenis, soli parce u 'il pos-

lane rudition immense, uri travati excessis, qui nous rapperi' admiration. Poti pulser es Connaissan e varisies clon il ait prρuve ii avait si noces

n'existat pas encore de Ce abreg6S, de Ces si sumes Cientisaque qui de nosci our sacilitent les rechercheS. Lamitation est ipsi δ' icenne. Ca- non lib. II, De viribus cordis.)L'exp6rionc justiste les parolesti' Avicennes ''oeui est une es substances es plus gnoralement em-Ployees, qui nourrit e plus ous unpetit volume, doni a digestion ost lapius facile, 'action a plus do uce, lapius saluta ire qui 'alli te mi eux

a Arist. Dematur animalium Ilib. X. Alex Aphrod. Problemat. lib. II,

Alexandre 'Aphrodis sie, OmmΘΩ-tate har 'Aristote, a tot de philosophes qui sit e leti Connu sadoctrine Contemporalia de Galien ils'est occup6, dans se probi semes

Problematum medicorum S phasi

Galon. De Altin. faculi. lib. III,

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u Ceu qui se prεoccupent de leur sani ce sont les expression de aut dolvent tu die les esset du in . S'il irrite, it aut 'en teni h 'eau froide, cie tende main prendre u hic 'absinthe, fatre de 'exercice, se

Plin. sibi natur. XIX, . sue Alex Aphro. Problem. III.)si Galen. De Aliment facult. st Censendum ac proprered facile lib. II 44. u. . . Et de faba idem trans ire sis in sanguinem quonium dicerem nisi in laret. . . n e Janguine factum It 6 ferἐsanguis 4 Paul. Egin. I, 86. albefactus es... Pauli'Egine, dans e long chapitre 6 Paul. Egin. Lib. I, 93. Utteii,

qu'il a Coniser aha ait, ui attribue ici, ite textUellement.

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Galien qui parte est angereti X le in Vieu demandeune grande modbration il est tro chaud tandis quele premi e ne est potnt asseZ. ne nourriture εghreentretient a stant plus drement que celle qui porte

sancea de principes corrompus a).Le patia de eise, jout Paul, est te plus nutritis,

si Galen. De Aliment succis, II. Laesari ne de seigle est alimentatre, a Paul. Salubria de sanitate forme de nos ours a noui riture de latuendo Guil. Copo interprete, lib. I, lupari de genSdela Campagne. Il est 73 gras, saVota retax,cl'Une odeUPBgroabie, 3 Ce que dit Pauli' fgine I, 78 . uri seu lotardiotir es estomac d sili

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de nombreu passages. Hippocrate Asclεpiades beati coup 'autres le on prεconisse es a). Si elles sontianer giques, elles sorti fient te corps si elles sont douces, ellest 'amollissent. Si oncies bithre rhquemment, elles dimi nitent te volume des membres, si elles soni plus rares, elles ident Dies dbvel opper. Le avant Erasine de Rotterdam, 'une compleXiontrξs-dblicate, attribue e maintie de s sani h cette

eXcellent coutume it me presse de ' sola metire. Ason avis, elle convient principalement auchom me de

sromeni; on e compta it quatre

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lettres. Je me suis dbcid a suture es conseiis de cetrami, j'en retire les esset les plus heure hic I). Queiques h de cincinterdissent les ablutions. surto ut

si D. Erasme, quoique sit rangeri a

tion, qu'it 'est plura appeter datasses lettres Epi t. lib. V as . Guvenis cibuiri ac potum semper tu huriis ac pharan acum, ac sape Umero dolui non licere in cibo potu

servations sidicales It a sis ita ne description decla syphilis, doni ii a sta, clit-il se prsis eruerilis la eun esse par

inde avait sue 6d si h leur affection