Livre du chevalier allemand Ulric de Hutten sur la maladie française et sur les propriétés du bois de gayac : orné d'un portrait de l'auteur, précédé d'une notice historique sur sa vie et ses ouvrages

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d'εpuisse les liquides εpandus dans les organes, si iis sonesta so urce des orces . e meabsum te mal ad garanti simplement par ne couvertiare, sans tre crasse parson olds, est dans es conditions es plus satisfais antespou que e Cayac agisse ave avantage certitude.

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momen est venu de dire commentd 1 queis signes on reconnat les e fiet de la Edication par te Cayac, de marque te temps h la gubrision commence, de recherche si elle est immε- diale rapide, ou lentein consecutive χ'est te Esultat dema propre XpErience que e ais Xpose : e 'an noncepou ξtre exempt de reproche si quelques-uns ni observbau trement que moi Il est certain quest 'aelion dia Cayacn est amat brusque, mais oujour progressive i). Au

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iis prennent ne nourriture trop copie Use. our e qui

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De homines de rari s utiennent que a distia renc ob servε dans es esset curatisse tient 1 a dis Erence qui existe dans la dispossition des organes Cette explication

la vie Tria ferὲ hominum millia ad bonam valetudinem reduxerat liguum,

qui pol curationem, renat Ibi sis

ment furvenus dans a maladie, clapossibilite de la tigri quelque iS,

en idant a nature dans se efforis

potar 'olimination, a digotio du

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hommes qui s'adonnent au travata intellectu et soni

plus sErieu semen atteinis, guἡrissent ave plus de dissi cult plus de lente ur i). Queique mε decin re commandent de Dire grande attentio no a parti du

tat obtenus. Utrienera'est AS apersuque Cette observation condamn ait samsithod de trai temerat dans totalestes Circonstances, si totas es degres, he totis es ij et indistinctoment, ilvout ait que e Gayac ut administrocles a sim manthre. si Les gens de letiresint de m ct la dies qui eur soni propreS, Uitiennent si pur habitudes h leui S godis, Heu constitution, leur 6-

auctravavide 'esprit, qui lit, pense, compose, pulse se forCe plus rapi clement que e paylan qui Cultive laterre . supporte des fatigiae phyliques Cette observation 'avait pascchapp6 A .Q. Rousseaus elle a servi de texi doclamations Contrela science. 'excitation 6rsibrale constante, 'irritabilit nervehas PeU-vent porter e dosordro dans totitostes onctions. 'estomae, en arti CU-lier, a solaventis sinu lair de 'Gtude, destravaiax intelle diuel S. Un auVctis estomae, si rivali Un Contemporai de Hulten. Amatus Lusitanus, sui cles gens de lettres, comme 'ombre suille CorpS. noutre es assections si si tales qui es si appent, a plupari de ma

laclies rennent Che eux ne forme, Un Caralthre particulier, offrent ne

difficulto potar a gusirison, qui ne se

a Cette opinion surcia ditaren ce

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de ment, parce ullis ne reςoiventia une nourriture

ausit complhte i). I importe de noter encore si te malmonte o descend : Si es ouleur descendent, crit Celse, elles soni plus faciles k u Erir; si a contraire, elles 'silhvent, a mε decine qu'on eur oppos semble

Cur pars dextera sanabilior siquum lava Quoniam per exercitationem ampliorem materi compescuntur, reddunturque sanitati opportu

si L'observatio est juste en ellem simae seulement, a Cause qu'o lui attribue ne peut Otre admise La di fgrene proVient, non pastu sisaut de nutrition mais dan Certain Ul- Chres, dans 'autres accident des membre insorieurs, de a gone qui existe claris 'activit circulatoire dei'oedhme qui en est a conseqUenCe.

a Cels. Lib. II cap. 8). Quoemotae in quoque morbi genere vel em, et

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se refermento 'est ne reuue de a convalescence qui approche.

indispensabies Di 'existence, Hamon si Ce soni videmment des ac- servation de 'individo gu6rissent te cident constitutionneis, graves, qui plus ouvent, algr leUr violence, soni indi quos dans es ignes. Utricaveo ne rapidit remarquabie. Il le prosente comme 'expression las'agismi des inflammations simples, mani stationi'une insectio devenue traumatiques, de quelque d6sordres gr)6rale, 'Une Corruption duriang. localix nul lenient des 6ssioris 'est Di'aide desta doctrino de Galiensymptomatiques, en gendree par Un qu'il explique les nonomhnes qui se principe psiciat, se iant hine altύ- produisent, 'actio dum ayae, qui

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que rinfluence exercε par te rem h de ne se Evile que lente ment. Cette bdecine salutatrem' est pas instantansiedans se esse is elle tend a corrige d 'une maniξre progressive te an vici dans es ibine nis , ors'u'une alibratio putride a tyla cause premihre de 'insectio no

c est ain si graduellement que les humeur corrompue Sentre tenant e principe morbi de soni expuissees incorps. Les urines, te sue urs, es dbjections alvinesson les voles par es quelles s ac compli cette uvre de Epuration.

Afin delateria cure, torsque leῬεa es en dεcrois ance, it importela active sol la transpiration, sol le sonetions

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tain que les malades, aprbs te traiiement aprbs la guε- rison, n au membres ne chaleur naturelle Pendant

Je passe Lyε tu de des esse ista Cayac Ll'egamen des mala dies dans tesquelles son utilitε est reconnue.

1 Sangri'arrgieri 'otrange explication de Hulten, qui n'en est PB Une,il est plus simple, plus physiologiqiae de pensemque sicles clouleurs, si te maldiminuent, a filivre doli tomber, lacirculation aiblir 8 en sim tempsi Calorique baisse : le sentiment de laoi dans es membres devientilis-lor plus sensibio Lorsque,sousi'influence 'une causequel conque, es sorCe se rellivent, lacirculation, les soractions qui se lioni elle participent ata Changement hi 'amolioration qui se produi sentiansi 'ensemblo u systhme 'est insi

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propriEt essentielle, particuli hre du