Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

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demus desinus, o mur me rabaisse a demo , que

donnsieras ceu ce'u'on appelle nne ame dei ter Plus mobile questa lumiis et plus vagabonde que levent, toriour avide, to Oum inquisite torio chale

cisme de resprit' es si plus matheureus que ladestinis de Fausti carcit arde dans son sein Iesu rdes passim jeunes et ardentes , qui Ont conv&en si- lance muscia mussiare declivres , et dormi tandis querintelligenco veillait et quan Faust, fatigusi de cherche la persection et de ne laias trouver,4'arrate, p de maudire et de renter Dieu, Die mur te punis tui

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L ML 123 Enrine range des in bres et funestes passums. Cetange cattache liqui it te iactaune, si te ratenuit, si lehraee, ita re, it te disore et te vim Faust intredans la vies, eune et vivace, inaudit, mala inuisui sint ire Mait veni ne plus timer Die , mala lemith qui time arguerite Mon Dieu donnm es lamasediction de Fausti

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inimes sans land Mus ave traveresides cataractes ψ-gis et agile commeria in me blanche qui se pose de

Qu'est e que raudace repondit Lina, et quin'en a pas Qui est e qui time la vis au tempsisunous sommes Cette inmucianc las'appelle dum age quan esse prodestis iam quelmnque tali, quandesse se Mine Drisque une destinω sans valeur,4'es c pas simplement de risertier I 'inertis, Sisinio c'est Iesmal de nos cae s.c'est legrandrata de cetrage si monde Ilis'y a plusque des

devant te tanger carrie plus brave sitait oesui qui vivati

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de priui C'est rindissere e decla vis qui a laude dueldans nos minure. 'est in spectacla sest mur constateri apathis G siecte, que celat de deo homnes cinnes et polis urant a sorideques inerara'autre sans Mine, sani colare et sans profit instat Sisinio nous ne som-mes plus rien, mus ne sommes plus ni nil

chanis, nous ne sonis es meme plus laches, nous 8-mes inertes.

vieme de pas humains, et vorec vos med is disert mulasses grandes presondeum Meg ous amessiteneontempia de jus in age et muriant de plus ani r Teg, que de vigueur dans cetis usiditation libre et v gabinde, que de mouvement dans ces soratique Ie vent urbe et laicondoex, dans ces grandes tro ecd'abore qui planent sans cesse auto des cimes brume es, et qui passent en cercles mouvanis, comme de Manci an- aux nolas surda nappe Mancte et motris du glaciera Antende musae bruit qui monte et descend de lautes parta Les torrent qui pleurent et singlatent conmie des ames matheure es, te ceris qui brament,'une mix plaintive et passion- lchris qui citante et rudans Iesamyhres, las autour qui orient mmme des lammis istanes; et oes autres bruit sitranges, wMε-

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riem , is crua, qui rondent so demisat dans las inagnes cecinere colossales qui craquin dans le eur des hista, es nines qui cinoulent et intrat--ude siste, ces grandes acies d'arbres qui iuuentincessamment aveccles mutilles de la terre et qui tr utillenta soniore te mc et xlandreae schiste; ces dixin unum, ces vagues m is que Iesses, torio cen es aux fovistances de I'ensantement, exhale ici par

B est nai que laut cela est beau et cest ici'u'ilsaut veni vola ce que la terre possin incore de eu-nesse et de vigue . Pinne terret elle a si cen val- Que dite vovi donc Lesia Pe ex ous que laterre et is ciet mimi co me de noue din'ntudemorale Insolante rave e les accuse Uus a si ' Oui, e les accuse, vo ibelle oui aetJ'a cum is grande lai ditemps, qui eut que laut4'.esse et preme M. Ne vore vom pas que lamin des sirelasmus emporis tous ensemiae, hommes et mondes, pomimus enmutis dans resemiae commedes senilis sines qui scient vere te precipice, intratn- par rea dutorrent Hins nous ne laisserens pis meme cetis is dis ille Nous ne sumagem -- pas conune es herbes Muies qui uincla, tristes et pendantes, sem-hlabies hcla inevelare d'une lamme no- a disses iis aura pressi surdes cadaures decempires; Iesostrismuela de rhumanit ne serentias plus que les grai de sabis de later. Die Holera rimiser comme m

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est incalculabis dans Iesceri mides hommes. Non, n m. Musis'en sommessas encores son amnis. Cetteie

sis est Mose dans rame irritae de quesque sceptiquese in eoo a mala mes, e sens bieique te monde est jeune; mon coeu et malaimn me disent γ'illa'est pasmsime arrissi h la mollisi de in vie, la force de son age; te monde est e progris incore i tui reste tant deo secli apprendrea Sans doute, repondi elle avec ironis, illa' pas

cor tro si te secret de rem citer las moris et de retare te vivant immortela malarii sera ces grandes uvertes, et Mors la monde ne finis pas rhi nae sera plus sori que Die et sublustera sancte semum Saucun lamen intre que son intelligeneri Mila, mus atllectorioure mala si uis mes: ne Penseg pas que Iechommes sint mellis camjoues'hui'u'hier, et par cons uenti. . Ie ne te pense pas, mala γ'importer Nous ne sommes pasta'accor surave du monde, milli inuti Mus te murion a juste , dii Sianio, nous Uenseris iis plus Manc Mus ne connaisso iactes secret de son manisation nous ignorons combim dedimus unionde cinistitu comme celatis pini et destrine Mais e sens h mon seu que nou marin s

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pide et Iacω, qui a te ost de la menthe et du thym

pas deunte et reuem e dans cet ala vis et subtil, parmi cecsse s si belles et qui semiam sithres de ne

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la nature.