Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

발행: 연대 미상

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Savois, eis'est pas pomore, repondit silia. Bapprendre, cela'estias avince r vola, eis'est pasulare. Qui nous rendra latuissance 'agis, et furtout rari deuouis et de conserver Mus avoncessi tro laini presentio iecular Ce qui ut te reposto des civilisations lip es, sera la mori mur noue civilisationensinuis; les natio is euntes de Orient viendronis'inivre a pesso que nou mons sipandu fur nouesoLmardis buveum, les homnes de la barbarie prolongerontieu siue de que ues heures l'orgi d luxe, dans la nuit de temps mala te venis que nous laur

erons sera promptemen mortes mur eu commemur nous, et laut relambera dans las ianῆbrest... hine V e mussas, Sisinis, que te solei se retire deno DLa terre satimsi dans sa marche ne derive-Nellem sensibiment versu'ombre et se chaos Votre sang Nil si ardent et si eune, qu'sine sente palles atteintesducimi qui s'siten commem mantea de deuit surceu planhte inando sie a destin, te plus pnimant de laus les die rili te smid ce malisinsitrant qui en- lance des riguisses ararem dans to ram pores cetis haletne inaudite quirasiuit les neum et les braee commele seu ce malacia Bis physique et mora qui envahitram et te corps , qui psinetre jusqu'au prosondeum de laien e et paralyse resprit comine te sang; lesroid, celasimon sinistre, qui rase runivere de son aile humidere fouisse la mori in tes nations constemsies Ierimidqui remit iniit, quideri,ule son mile gris et tisibuleuxsur te riches mulaure diciet surdes restet de reau sis te sein des fleure , fur las oves de viemes' e

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du lait de chine et duisain sans levata, cui en pleri

penti de ma risolution. Quand illucentas dii premierversant dumonisverdor, e mulus te rappeter car sadsimarche abattue me dechirtit. Et puis Craime, o fave mede ratae diland dicorur Passectio Minte,

comme de mutume, liminis positie, qui rend la dοuleur pracleum et les tarmes biensessantes Et puis e te contempla longiemps commem mini non perdidans les prosondeum decla valisie, tanto cach par in terre , tanto par u massis d'arbres, et

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nancta'un avin Etra te miris'en asser alas lent et mclancolique, e cessala de te regretter car d6ti, pe salsese, it admire Psicum des torrent et Ia vetaure des

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veris.

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et qui devore commmune passiona Lesese de rhommeestin abime de foumane donida proknde Ἀ'au mala et solidee et ne te sera iamias. Je restat laiant que te soleil ut amdessus de rhorigon, et toutine temp ta eius bien mis quandili' eut pius dans te ciet que decresseis, une inquietude croissante se repandit dans la nature Le vent celeva, las Molles gem--rent linter contre les ninges agites inseaux de

prole levisent leum granos eris et leur via putinant dans te eiel iis herebatent unisu po da nuit, usetaient in mentM par te hemin, parcia minis nasemblatent es ves de is n-ssite, de la saliaesse et de rhabitudo eomme s iis e sent δε des hommes. Cette emotion a ra mehe de latuit se revelait danais plus petite is es Les papilliin fiagur, in do

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partis dequi commemne pierreis uniuimon de plus. Quand je vis que toti reprenai h la vie, que ouos in-quiates duclen mari et manifestan des sentiments de distrisu de fouet, em indigna dela'avola paca motune volonisi, uti bestin, ne eratnte La tune se leva, esse Mait belle rherbe de collines avait decresseis transparent commeasimeraude mais que 'impo talent la Iune et se nocturnes magies Ie Uattendalarim d'une heure de plus ou de molns dans son cours: nul regret, nullspoi ne s attachaniour mo in voLderes heures qui inthressalenta teda ersiation. Pour motrien au deseri, te parmi es hommes, te dans lanuit, rien dans a vie Je me retirat dans malabane, et j'essayali somniei par ennui plus que par besori. Le sommed est une do e et belle choseio desi tit ensandi, qui ne revent que des sis de paradis; pou les petit Oiseaux, qui se pressent Doles et inaudssous te duxet de leurishre messiour nous, qui som-mes arrivsis hine extension Ouusi de nos faculisis, legonimed a perdesses chastes voluptos et ses prosondes langue s. La vie, arrano comme esse rest, nous diece que latuit a de plus prεcieux roubli descio s. Iene parte pas de uous Iremor, qui selon la pares s resie, vive a monde commeis' etantias. ais moi, dans le eour de ma vie sansiligi et sans steri, 'ai sest commeles autres. J'ai abandonne ait mepris superbe de ramedes nεcessiths imperieuses dicorpsi 'es msiconnutous es dons de rexistence, tous les biensans de lai ture; 'ai rompyla sata par des aliments favo eu et excitanis, 'aiorOmperae sommei par ne agitationsans but O des ravavcsans prosti. Τaniat, ad clariud la lampe, je herehais dans lecti res la cles des grandes inimes de la vie humatae tantes, lancω dans

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ments de degoiit et de satiete, je cherchais a satiar dansrair parsume des etes nocturnesin son, uiso e qui me rendissent une emotion D'autres Mis, errant dans la campagne silencteus et stoide, sallais interrogeraesetoiles baignees dans la brum et mesurer, dans unedouloureus exisse la distanc instanchissabla de laterre ali ciet. Combien de Miscle our m a s pris dans unialais retentissant, harmonie, o dans te pratries humides decla rose dii mali, o dans te silencela'une cellule austere, oubliant Ia Iolla repos que rombre impos atoutes le orsiatures vivantes, et qui est devenue sansforceiour lechtres civilises uelle surhumaine exuit tion solitenait mon esprit xl po fuit de quelque chimere, tandi que mon corps assaibli et bris reclamatile suinmeil sans quelae tignassem apercevoir de sesrevoltes liae votis res dii te spiritualisme enseignsi auxnations, d abord commemne sol religieuse, puis commeune tot ecclesiastique amni par passer dans les minurs, dans les habitudes, dans le gouis On a dompte oustes besοin physiques, on a vovi poetisereses appetits commedes sentiments Leilaisi a sui lectius de agonet les beroeaux de igne pour altera asseola surcle veloursi des abies chargees d'Or La vi elegante, nemvant les Orgines et surexcitant les espriis, a serme auxi ab ons duci ou la demetire des riches elle a allume es 1lambeau poti eclaire leur revell, et place rusage dela, e aux heures questa nature marquat potir son abdi, cation Comment resister a ceu labrile et mortelle geure Comment couru' dans ceti carrier haletante Sans s epulse avant d aueindrea monte de soli termer

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LELIA. lasAussi me ossa vieille comme si 'avias mille ans. aheaute, que ron vante, n est plus qu'ummasque trom-peur suus teque se cachen repulsemen et agonis. Dans rage des passion sineroques, nousi'avons plus de passions nouin mons meme plus de desius, si cen est celut d enimis axe la saligue et de nous reposeretendus dans un cercueu. Ροω mes, j a perdit te somnieit Uraiment, helas lje ne sals plus ceriuei est de ne inis comment appetercet engo dissement lour et doulourem qui phse surino cervin et te rempsit de reves et de mussrances pendant quelques heiu es de latuit. ais cessommeil demon enlance ce bon, e doux sommeu, si pur, si sinis, si biensaisant, e sommeuriu'u ange semblest proteger de son alle, et qu'une mhre hercait de son chant, cecalme reparateu de la doubie existence deci homme, cene molle chale itendue surdes membres, ceu pat- sibi et sigilliere respiration e voile, o et, agur ahaisse surdes elix, et e suum aerien que rhalemede latuit lait couri dans te chei eucet autour dicotide rensant, e somnieil-la e ra perdit et ne te retrou- erat jamnis. Une sorte de delire amer et Sumbre plane Sur mon ame prive de uide Ma polluine brutante se Souleve ave essor satas polixoi aspirer es pars unis subtiis de latuit La nuit ima plus pou motriu'une ab mosphere avnre et essechante Mes reve n'on plus de defordre almable et gracleu qui resumtit out uncvied enchantement dans queiques heures d 'illusion Μesi oves ontinistroyable caractere de verite les spectres de toutes me deception Drepassent San cesse plus lamentabies, plus hideuxiliaque nuit Cliaque antonae,

ehaque monstro exoque par te cauchema est une allegorie clatre et salsissante qui repond aqueique prolande

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d'espes dans ces prolande s sans bomes, et ne uou- antpo flambeau dans marout que les bouspeeid'une clari d enser, Ouge et sinistre, qui me brute les eo jusqu)au landiu erane et qui in egare de plus en plus. Τel sinit mesis es. Cest to*our la aisonis maine se dεbattant contre la douleur et rimpuissanee. Lisemblabie sommeil abrεge la vie allieu de latro- longer B dsipense une enorme energie Le travat dela pensee, plus defordonne, plus antasque dans es somges, est aussi plus violent et plus rude Les sensationss' siveissent par surprise, apres, terriles elisichirantes, comme elles le seresent devant a realitsi Jugeg-en, Trenmor, par rimpression que ous laisse la represe talion dramatique de quelque passion sortemen exprumhe. Da de rhve rame assiste vix spectacles es plus terribies, et ne peu distinguer illusion decla verite. Le corps bondit se tor et palpite fous des motionsas reuses de terreu et de fouistance, satis que respritai la conscience de son erreuripou se donner, comme

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