Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

발행: 연대 미상

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LgID. 131croire condamn si accompsi quelque iacti extrax gante, quelque traves impossibie comme de compteries lauisses dans une sorhi, ou de couris rapide et liner commessala, de traverser, austi neque Iapenssie va, long mers et montagnesiour atteindreine image s gitive, incertaine, qui oujoursnous devance et toriourgnous attire en changeant 'aspect. 'ave vousias sance rsive, Trenmor, alorsqu'ily aves dans votre viedes destri et de chimere. Oh commesil revient sol enice tantome commerit m appelle, commerit me convis Parmis c est solis la formelasilicate et pale d'une vierge qui sui in compagne et a sinu au mati de ma Vie, et qui plus heureus que moi, ouru dans laseur de in eunesse. Esse in invite lida sutureaislourdu repos et si calme J'esses de marcher apres esse. Μais, substance thisee que te vent emporte esse me devince, ni abandonne et disparat dans les nuges. Et po tant, moi, e cours totvio S card ai visuror, des rives brumeuses d 'une me imaginaire, unautre speetre

moni arde . ais torsqu'il se retourne, 'est quelque objethideux in demon ironique, uti cadaure sangiant, une tentationi uiremords. Et moi, e cour encore: caris charine satalis' et triane vers e prote qui ne

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rinimensit epouvante la pensee. 'ai de vane a lucoui se les nax ire les plus ins ossiers et les grandes hirondelles de prole. 'ai, dans respace d une heure, x te solei se leve auci iunge de lairhce et se coi cher derriere les montagnesileues du Nou em-Monde. J a x sous ines pied te peuples et les empires. J'ai contemple de pres la face rouge des astres erranis dansles solitudes de rair et dans lesilaines dicies. J'ai reimeonti e la face essarhe desimbres dispersees par un ousne de latuit. Queis resorsi imagination, quelles richesses de linaturei'aieseia epulsees dansies Vtines halli cinations disomnaeil'Aussi a quoi ni a servi de voyager Ai e amatorie vii qui ressemblat a me sanislsies Oh que la nature ni a semble paliure, te ciet terne et la meritrone, auiris des terres, des cieux et des mersque 'at ranchis dans mon vo immateriel Que restet illacia i reelle de beautes our nous charmer, aram humatne de iussances p0ur joui et admirer, quan rimaginati0 a t0ut se 'axance par u abuS de s sorde Cesiongos talent p0urtant rimage decla vies iis mela in intraten obscureiciar te tro vis elatru'une lu-

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enisure et latuit, dans te silenee, quand out dor et que roubli semble plane sur outes les existences letimbre melancolique de hortoges ous compte impi-toy lement lesias que ous mites vers''etermisi, et lenombre des instantique te pasia votis devore san re-tour seu esses soni graves et Olennesses res vota dutemps qui s'silevem commeruieri de mort et qui vont se briser indissisentes surcies mur sonores de la d meure des vivantio fur lectombes sans sicho die metiere Comme elles uous misissent et votis soni palpiter de colere et d'emo sur votre covehe brutante lΕncore mel me suis ieran wuvent, encoremne partiede mon existence qui se delache lancorein myon d e

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o molns mal surria terre, avo o sans ne affection.

Mais mur moi la solitude est partout et 'est taleque de la chereher a desert plus qu autems. Seviemen elle est plus ealme, plus sileueteuse Eli bienncela me tuest 'ai dee veri, e pense, e qui me So tient incor dans ceti vi de deseuchantemen et de lassitude is est i s Mance La fouimance excite r nime, irrite les vers esse sal saigner te coeur, esse

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136 L L1A. abrege agonis Cestria convulsion violente, terrible qui nous releve de terre, et nous donne la ore denous dresser vers te ciet poli maudire et crier. Μοuriren lethargie, eis est ni vi ure ni moliris Hest perdretous lecavantages c est ignore totites les voluptes dela mori Ici outes le lacultes 'endorment. Ain corps infirme ou ram se scutiendrait vigo eme et eune, cetai vis, ceti vi agreste, cette absenc de sensations violentes, ces langues heuresio 'erepos, res ruga

les habitude semient aulant de tensans mi moi,c est mon me qui ren mon corps sibile, et, tant tu elle soliflaira, it audin que e corps dissirisse, quelles que solent les salutatres influences de res et duregime animal or, ceti solitude me phseis heure tu il est Euange hoseliae res tant iamsie, et e neratine plus ij cela est aflaeux, renmor i Quand ouis la terre me manquest, e me refugiuis dans te sein de Dieu J'allais rinuoque dans te silenee des champs. Je me platinis a ueste des o s, des mois entiere, absorbee dans une pense d avenis mei leur. AHourd'hui me volt si usee, que respoi memene me foutient plus. I crois encore parce que jeχε- sire; mais et avenis est sicloin, et cette vi ne finit paci uoid esNil issipossibi de s y attacher et de s yplaire Iout estri perdisans retour Ilo a desdo s

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LRTII. is inarere qui selon a belle expressio dii poete memorue jusquin genouae, et me retient enchalnee comme te sepulcre retientdes mori. Et bieni soum on. Cela,aut Geuxque de dormis. Dans cerasiseri pacisique et muet, a fouffrance s)ε- mousse, te inur 'appau*rit. Dieu, te que Dieii,c est trop, ou tro peti mansaagitation decla vie sociale cela est pas ne compensatio sumisante, ne consolation a noue porree Dans risolement, 'est une pense tro immense esse crase, elle effriae esse saltnaitre teracute Le doute4'introduit dans me qui rexe la sol descend dans Am qui soliflae. Et puis 'einis habitu es m foumance Chian maxie, 'etes in compagne; 'sitait ma sinur, cruelle, implacabie sans pulsi mais flere, mais assidue, maistoujours scorte de stoique resolution et 'austhres

Rexiens done, o ma douleurl ourquoi 'as-tu quitisie Sicie ne uis auoi d'autre mi que tot dumoiusde ne eu pas te perdre 'e tu pas mon herib inge et mo tot Cest par tot seule que homine est grand. 'iliouvat hue heureiactans ce mondera'au-jourd' hui, 'il ouvat traverserta un Yon seret et oiri'uminil tranquille la itideur digenre humain quirentoure, it ne serat pa plus que cetis mille stupide et lache, qui s'inivre dans te crime et s'endori dans lasange Cest tes, o douleur sublime qui nous rappelles a sentiment de notre dignite, en nou sessant pleurersur regarement des hommes P est tot qui nous meis lipari, et nous places, brebis dii desert sous la main dupasteu celeste qui nous regarde nou plaint, en ab tendant peuNetreinu ilious console li 'homme qui n' pas oussertis est ient Cest un

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x XXII.

veris su son chemimelle stanelut rapidement les valloes frontieres Peu de our apras avola dormi surda bruyere de Ontevereor, esse sitalaitae Iuxeffune reine dans une de ces belles illes du platea inserim qui rivali a d opulene entre esses, et qui volent me eneuri ius aris surria terre d'ou iis nous sint Venus. Comine retimor, qui 'etait Heunt et sortisi aubagne, Lelia evera remitre, par la Orce de son eou-rage, ait mille desce monde qu'elle haisses et de cesjoies qui tui salinienti re . Esse resolui de se viam ere, de dompte les revoltes de son sprit in age, de se eter dans lames declivis, de se rapetisseriour untemps, de s Mourdis, asin de vola de prsis e cloaque de is sociate, et de se reconcilier avec elle sime par la

comparalaon.

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morat ni ire histolae dans te ceu de rhomme iis malent Me urrhisis par rimbresse inflexibilit de leurs

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perdre de lixigueu primitive de resphoe Citnient des

de se du-οyen age iis malent lesie res sortes, lebras robuste la scis decla latre et te goiura sing tout commess iis se sussent appelsis Armagnae et Bou gogne . ais, a ces large organisations que la nature produit encore, anquanda ssive de hsiroisme Τοute qui te sat natu et alimente init mort ramour, tu fraternitela armes la Mine, Orgueti decla famille, te sanatisme, toute les passion person lles qui do nent de rintensite aux caracthres, de la physionominaux actions Ili navali plus pou mobile de ces Apresco ages que les illusion de la eunesse detruites endetix matris, et ambitio virile, silue, sale, depi rabierasse decla civilisation. Lelia, triste existenceraetri par te sentiment de sadegradation intellectvelle, sevi petitistre asse atten- liveto da constater, asse sincere pοur Se ravouer, Lelia, pleurant ses passions eteintes et ses illusions pedidues traversan te monde sansa chercher latitie, sans y trouve rassection Elle investilen que ces hommes,ma releur agitation esinumsi et chytae,in Atalant paspius acula, pas plus vivant γ'elle mal esse saviat

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