Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

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mussrance et de saligue, iis retombent surdeum divam, stupides enire tons les hommes lEt ceuxiali murtant sonides Meuctrem , les plus sineroque parmides Muples, Ies plus heureux dans lerepos, Ies plus violent dans action negarde ce de gones torridet mur ceux-ude sinit est siniseo en esset les plantes soni gigantesques, la terre est Pr digue de stulta, de parsum et de spectacles It nil de laxe dans la conleur et dans laeso e Les O

seau et les insectes Miscellent de pierreries, teste sexhalent des ode centurantes. Lecareres eu msimes rechlenod'exquises senisuri dans leum timus ligneo. Les nulla soni clatres comme nos o Dd'aulamne, lasMolles se monuent quatre Mis grandes comme ici. Mutes beau tout est riche. L'homme encore rosiae et nais, ignore une partie des mauxque nous Mons in emtos Croeg ou γ'il mi heure et Non. Des troupes

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132 Ἀ-. Migne . O mon Diei in musires Mut ire austi, tu es Mut umennursi dans in gliare, piasque tu nous stistant de mallE Nec ces insanis si solet que dans nos reves de poeses nous enuis ''nune es privi is de laterre, sani ut iis se demandent parsias 'il existe econtra chisi desciet, que ne sillament pascies laves ardentes, que ne balatent pascies venis destructeura; une contris qui 'siveille in matri, unie, catae et uine contine la veille Ila se demandent si Dieu, danssa colare, a mis partout des panthises assa es de sanget des reptiles hideo. Peu gue es honinies simples reven iis leur paradis terrestre mus nos latitudes tem rem Mut ire da deum songes volant laria brume et les id descendre surde Disonis Mongis et amombris leur atmosphis de seu Nous, quand nous rem , Mus voyonile soleti rome et chaud la Naine sitiscelante , la me embra e et te able riuant mus nospitas. Nous appellans te soleti siridional fur nos .aules glac- , et les periiles dumidi recentient hae vcles multes de noue plui sur eum murines ardentes. Ainia partout rhomme sonsiue et murmure crtaturedsilicate et nerve e ilis'est sal en ain Ie ro de lacriation, si en est is plus insortunω victime u est leseu animal tam qui a missance intellectuelle mutans unaappori a si dis oportionnsi avec laicissancephyrique Chegrae siue qu'si appelle animaux gro siem, la larce malarielle domine, instincti'est que laressorem ervate de rexistencsi animale Che rhom-- , instinci, divelo si outre mesure, Mille et is ture unetrale et insitive omanisation. II crispuimanced moliusque aveccles Umula d tigre la mi re et lan&essit remnuonnent dans une si ille de tortue;

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L LIA. 133l'ambition, 'inquisitude violent laure alles 'tigis dans son cervem. Ilis Mai avola les faculias munies de laute les races, mais illa' que la faculta de voviolam ain. I s'ento e de duovisses enutisses de laterre tui abandonnent ror et te mactre Ges Mure selaissent Moyer, exprime en paritim mur amn sagerales esseau de res laissent tomber mures parer tesplus bellas sumes de laure asses, te plangis et reideritvrent leur intrasse de Ovet mur rechainer ses membres indolent et roris laestine, lario rure, simille, la sese les intraules de celuid, les dent de celat i , latea de cet utre, te san et Ia vi de laus appa tiennent hahonmie La vis dea nune ne s'alimenteque par la destruction, et muriant quella docio eum et murte dissi lCe que les pelatres et les poΦtes Ont invenia de sushideis dans Iecsantestire grinesque de leur imagination et, si aut hien Ie dire, e qui nous apparande Hus fouvent dans te cauesiemar, c'estin sabbat deis Mures vivants , de Meleues d'animauc hamis

sanoant , avre des erreur monstrumses, des superpositions bigarres, des iatreta'oismisur de tronoe de choat, des faces de crocodile surdes corpide chamem. C'est torio cum le--l d'ossements , ne ome delatis qui sentcle camage et des cris de douleur, des pareses de menace prosdrae par de animaux mutilis. Cr e mus que les raves solentine pure combinaison duo ard Ne penseχ-vom pas γ'en de re de lolad'association et des habitude consacrsies che rhommepa Ie Mest et par te mumis, iliis exister inqui de secreta remotas , vagum , instinctiis , que nullatared'idsies res sis'a Uulu moueris sinoncer, et qui se revhlentia les terreum decla superstition Oiles hallu-

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la inmolae qui,'ignore Ii me semiae paclois que j'aiconin Shis eare, que 'ai Ne si ave Torquato, quei'ai traver de ciet et rense me Dante Un nom desanciens joure revelli e moi des motions qui remem- blent . de fouvenire, comme certain parsum deplantes motiques non rappellent les contr6es qui lason produites Alor noue imagination ' promisecomme si elle les connaismit, comme si nos Hediavalent lauseriadis cetis patris inconnue qui murtant, nous le

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nique dicorps humata Metellii Iediselo ement ex dira decla resso humatae a poria application de lathωrie dans latratique , si Psitude a mus cla sciencea deth de certaines limites instinctissmes, si rexcitatio monstrue era sentimentis si si h produlaedes Ouimances complates Il est douisu que te pro- νει πω par mirante simes de reclierches ait amensirexistence de rhonini a Misti'siste supportabis, et de Miruire a sicessit O scicide muris grand

Comment m ego a crvire, jeune homme, quemus mirions une marche progressive iuraque o vore autour de vom inutes las convictions se petare, sam salae plaees,d'autres convictions lautes las sociε--4'agiter dans lauriliens relachis, an se reconstruiner sellana uiae naturella lautes las saevitis s'linia se par risus decla vis to cles principes adis sacristomber dans te domate de la discussion et servi dejouet incensantc. sans que les principes d'une nou- velle soldes remplacent, comme les Millo deuiorauia

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136 Aiax et O clam on servi de mascarine auieupla , mi et pratre de son platu Mest, sans que les mis alant ces de rviner sans que late te ait cesssi de sera irim alas effortioni, e te sali, satim la racemn- malae dans laus las temps Mais Meux aut unae solida tyranni pravavi et ou refclave musre, γ'untemps ou la tyranni s'endor parce que resciave se

warrivera plus Mus ne sommes pas seulament, commem de croyra, Dun de creden maius de crise mi res-prit humai satim s'endor in te cham de sates avant de reprendreues armes de la dinvrance clarcede lamber et de se Mever, v force de rester Mensi suris stanc et de remessis reserance, de vola ses Nessuresse muni et se resemer liciore de s'agiter dans sessere et de s'inrouer hirier vere te ciet, te colosse viei, licet s'assaisse; si hancelle maintinant comme nemine qui a mula Murciamais en re que ues ures d'agonte convulsive et te vent de rotemusita sera indiliarent surran chaos de nations sans reis, μduites , se dispute les Mbris aeu monde us qui ne suffra plus h leum besolas. Mus crore Draremineisu mement demierro ma triste Lesia cest mire time ianthreus qui e

sante ces terreum immenses, car esse est tmpsane murde moladres superstitions Mais, dans tonsues temps res it de rho ne a sit με cum de oes idis de mori. Lectines festique se soni toriour comis dans ces contemplations sinistres, dans ces images de

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Oh po quo dises re alati, filia, de ceshommes nablimes qui aspirent Dramene la vertu dans noue age de ser Side Muttis, comme mus, de leursu is j ne Uudrais pasci dire Ie res res de

commetire ut crime.

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138 L MA.ees patres , qui portent une simile a Mnt, derant lagran monstre deaApocalypse, deum cetis immismeet terriiae figure qui se demine surde premis plan detous lectableain dupro Mea Cette lamme me et bine

dans le vice, ceu grande prostit e des nations cou- verte des richesses de Orient et choauctantine hydre qui vomit des leuves de mimisu inutes las voles humaines 4'est la civilisation , 'est rhumanit&dsi ausi par te lux et u science, c'est Ie torrent de venis qui en outira cute parole de vertu lautismi de re-

aut et oue tristesse, aveo uoue ennui et Otresceptici e Trecta de Meseu produnia risus de lapeniae Cette missance moride, si siveloppis parrexeresce que lesint donnsi rari, a misie et laiciente, ne ravm Ousias livris et mur tinti dire prostituis hisutes le impressions h laute les erreum nouuellei Au heu de Ous attacher, fides et prudente, da stisimple de vos phres et v I instinctive inmuciance que

jetis dans letorrent decla civilisation qui se leves murdsitruire, et qui, mur avola coum tro vite, a vi laclandations hietne possies, de avenis. at parceque uous ave recul de quispies joum omne des

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comme ceu vallae iuculle, qui fleurit belle et Mre, sans songe M'enis Mulcio de mc de harrue et te monstres cent bras qu'on appella Industrie penuini

sable ne ser t-ilias retrouusi intac dans la mussilire de nos races sitellites, commerare inspirations de I'artet les Moenvertes de la science sortent chaque jour vivantes des endros de Pommia ii des rapulares de

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civilisation, et qui vient de iure son age de barbariel regypte, ou se rassume rancienne lumiere longiemps perdue , et qui remiae et rajeunte viendra bieniat ut tre4'ammis surci flambeau tela de la noue 1'stgypte, vivant imam de se momies qui dormient dans lato siere des si Mes et qui s'siveillis au grata jour de la science murisissiler almonde nouumulamo monde ancient Dites, silia, cecit'esNilias solemnes et terribis A son des intrailles dem sies d'nneadaure humain te regis curieux de nou sies d&emvre te papyrus, mysiarieux et sacra monument de retemella pulmance de rhomme; simoimage encorem re mala incontestabis, de rim sante durω dela creation. Noue mala avide discule ces bindeletius -- hau es smes et indissolubles sincessis devant lesquellata destructionis'est arraiae Cescii eius in rhommesitan e meli, es manuscrus qui repostient mus descotes Minam 4 la place de re quirense Lune lime,c'est la peniae humain sino si parma science deschillae et transmise par Iesse Mid'uiret perduio non et retro si dans las inpultures deo'Orient, raride disputer la duouille de moris aux utrages de lacorruption qui est latius grande piassa e de runivers. I silia nie dono la eunesse dimotae, en te Voyant