Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

발행: 연대 미상

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les sal d'manee. Quand pale et misce comme uno sylphide, tu marchais au son de nos bois appuye surmon bras, attentive alvol desiiseaux xla mance desneum, a Gangeant aspectrae mees, insensibi auregard desueunes chasse s qui passaient et nous sui- valent delinit auaravere des areres, deinde invais bien, Lεlia, que in eunesse se consumerest si poursuiure devians reves et fi dedaigner les Mulcavantages de la vie. Te murien tu de re promenades sans in que noussutions dans nos champs paterneis, et de ces longues revertes disiar, quand appuyω toutes detix sur larampe ore de la terrasse, nous regardions inicies Miles blanches in front des collines, moides emallers Mudreo qui descendesint te sentier Τ- Je me rappelle bien inut, espondit Lelia. u sui- is Sun ceu attenti laus es Voyageum dei effaces dans latrum dicovehant A perieiouvat tu distingue leum velamenta et leur altitude mala tu te prenais de Wεdilectionis de dedain pou chacuid'eux, seloniniuit descendanda colline avec audace ou precam tion. u risis sans piti&du cavallar prudent qui metulit pie is terre mur iratae par lairide in monture incertaine et paresseuse tu applaudisinis de lolixe lui qui d'unum serme et mutenu, astrontait les dan-gers diversant rapide. Une lais e me Muriens que jete repris vhrement our avola, dans u transportd'admiration agite ton mouchola pou encourager unieune so qui se lances impεtueusement et qui de Ourimis sola scuties vigoureusemen son cheval prsis de roiae dans te ravin. Et pourtant i ne ouvat ni me votis ni Men-tendre, reprit Pulchfirie. ous sitie indignee, ous masce larouehe, de rimeret que j'aecordalcain homme;

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esel ardent fur nos hie a travere des areres, it nous vini undourd mmmen, une prosonde inso lance Nous nous hvellitiines dans les bras rune de rautre sans nous lue senties dormir.

ment fur herbe mone et haude Les cines exhalaient leur exquise senteur de baume, et te vent de midi passai son ait brutante su nos ronis humides. Jus-γ'alore, insouciante et rieuse, j'Meueilles etaque jour de ma vi commem bienses nouueau Que u sola de sensations brusque et pinguantes salinienthouillonner mon sing. Une ardeur inconnue s emparati de mon imagination la natur m apparuissest fous des

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suave, et les chines levalent avec splende Meum grandirameaux dignes, set labies si des bras immemses et ii de longues main tendues vers te ciet. Je ous gardai alore. O ma sce , queo sitie belle de nevous avais amais troiivω telle avant ceriourda Dans

ni complaisante vanitsi de eunerasse, e me presseais, Ous d me semblest que mes oves brinantes, quemes paules arrondies, que me chevelix dorsi, me sal--ient plus belle que ous mais en cet instant lessens de la beaute se revsilai Dino dans une aiatre creature

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Jκ ne ous racontera pas de laus circonstanetes et preeis, ditasilia. out e qui a compose ma vi semitaussi long a dire que ma vi a dur de oum Mais evous dira rhistoire d'un coeur matheureux sigare parune aine richesse de facultes, seu avant 'aviar ecli, se par resperance, et reno impulinant paruo despuissanc peuNeue l-Εt Sest ce qui uous rend deplorablement vulgalae, Lesia, reprii la murtisane impitoyabie dans son bonsens grossier. Cest e qui ous fuit ressembler a totastes poetes que 'a lus. Cur e lis les poetes jecies lispou me reconcilier ave la vie'u'il peignent de eo leurisi salisses, et qui a te tori d'etre tropio e murelix; edes lis pou savoir de quelles idees pretentieuses et scandaleusemen erronees it aut se preserVerioureue sage je les sis mur prendre 'eucce qui est utile et deteris qui est mutis, Cestininire Ourm'empare de ce lux Sexpressio qui est devenu la

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gnaleg, et votis me mille quand4e viens me pliandre livous Je m humilie et m'amige δ' etreiin type si triviale si communde la foussrance de tout une enhration maladive et saliae, et ous meisiponde par te merita l

en suuriant, et continue.

Si Dieim' erMe dans uia Our de colere Oid'apathie, dans uisentimen d indiffsirene o de Minemur te seu res de ses maius, 'est e que je ne salspoint. Il est des instants ou e me hais asse pom m Lmaginerratre la plus inuante et a plus af reus combi- nesson Fune volonia insernale nin est d)autres mi eme mεpris a piant de me regarde commmune production inerte Mendrω par te hasar et la malium L saute de ma misise, o ne suis a qui rimputer; et, dans les acres revestes de mon es'it ma plus grando Mufflance est torioure deserui re ramene d'un Dieuque e puisse insulter de te cheruli ai s surda terre, et dans Ies eleux, et dans renser, c' N ire dans mon eur de te cherche, paremque, qudrais reueindre, te maudire et te terrasser Ce qui 'indigne et in re

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sessisu, assis dans in gloire et dans in surdite, avide sus de tous Iecessoris de ma pensee. J et ais ourtant nee en apparene Sous 'heure auspices Μon front etait bien consorme mon cell4'annonini nola et impinεtraliae comme donitreriout ostii de lamme libre et thre mon an circules bien et imite infirme disgrace ne me di pia Fune injusto et stetrissante malediction. on enlance est riche de fou- venis et, impressions 'une inexprimable po&ie. Ilmessemble que les anges m on berem dans leurs bras, et que de magique apparitioncm'on galeria naturereelle man qn' mesaeo se ut reves le sens de la

Et comme la beaute se dἡveloppes en moi laut meso test, hommes et choses. out deveniat amour et po/sie autour de moi et dans mon seri chaque οὐ sessali siclore latuissance d aimer et celle d'admirer. Ceu puissance init si grande, si recteus et sibonne de la seninis simaner de moi commem parsum si sume et si enivrant, que jecla cultiva ave amour. Lot de me desierra'elle et de menager a MVe murjoui plus longtemps de se fruits je excitat, e la

En poete initin die mur mes la terre init ma

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sees la faculte de vola, Novi par te soleti celle de destrer, satime par aspeet de lime et te vague deshorigon. et celle de eroire siranisi pari alginre my terieus decetones et te mutisme de toutes ces choses apris tesquelles 'sigarait mon ame de sorte que j 'arruvia dis adolescenee a cetis plenitude de saeuites quine Mut alter in dela sans briser remetoppe mortelle. Alor u homme vini, et je raimai de almai dumtine amour doni 'avais alme Die et les eleux, et lesesed et laiser. Seulemenide cessat d timer ceschoses, et je reportat surdui renthousiasme que j'Mais euio lecautres se res de lami inite. VOus ave resso de dire questa poesie a perduae pri de rhomme elle a desole te monde reel, si stola, Sit ure, si deplorabie in prix des doucroves m elleensante. Eni re de seclasses promesses, herce de sesdouces moqueries, eis' ai jamessis meissis ne a lavi positive La poesie,'aves cree 'autres acuites, immenses, magnisiques, et que hien surda terre ne deviat assouvir La halite a troux mon timestro vastepou γ tre contenue u instant Chaque ou deviat marque la ruine de ma destine devant mon orgueti, la ruine de mon orguetidhsole devant se propres trio- es. Ce ut une luit puissante et une victoire mise-

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