Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

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Orgurii, constanee, reprii Lelia, re soni deuimois disserent mur exprime la me Hee ce soni deuxmanthres diverses d'envisagerrae meme sentiment Dequelque nom que ous rappellex, il est te complementde noue organisation, et eomme la cles de ouis dein tre minde intellectuel. Cest Dieu qui a couronne sonaeuum de ceste pense vague, d laureuse, inais infinis et sublime e est lacondition d'inquietude et de malaisequ'si nous a impossie en uous elevant a lassus des au- tres creatures animees. Nous surpassere lis ceductaminu, habitet ducastor, nou Nil dit mala Ous ne sere jamias satissatis de vos ceu res et au-de sus de uoue Eden terrestre uous chercherectomo classestante promesse, unisdour meille . Alleg, ous V s partagere la terre, mala Ous destrere te cies; VOus Sere missanis, mala uous Guilaireg.

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- Ne factant a quo depenser la missa e de moname, je la prostemat aux Νω.d'une idola er- par moneulte, ear Sἡinit unionime se lable auxinutres et quandi sus lasse de me prosteriter jeirimi lei e tat et je te vis reduit a in visitote inisse. ais je ravais placessi haut dans mes pompeuses adorations, M'ilis' vestiam gran commemieu. Ce suta a plus deplorabie erreur; et o et quelle destinω miserable est Ia mienne de iis rhduite adai Metterrasis que ieri'eus perdue Cest que, helas jen'eus plus risi metuet Ia place Τοut me parat petit pres de re eciosse imaginatre. Ι 'amitte me sembristoide la religio menteuse, et la posiste emit morte

Avee ma chimhre j'avais Me aussi heureus qu'il est permis de reue auximaelises de ma trempe Ied i inis dirobuste essor de me saeuites, reni rement dererreur me Seruit dans des exisses vraiment divines hieme plonginis , ouuance dans ectis destin& cessante et

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que 'a accompli ma lacte, que 'ui oumi in part de

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Quanda'auraisin orguet insense, ela'en aurais Meneor assedimur me eroire u ange. Si j'sidiis unange, 'aurais uisentiment si net de ma mission e eemonde, que e m immoleres pou rexpiation de quesque aut doni j 'aurais te fouvenis, mpou aecompilaqueique bien in ceri terre infortune parrae sacrifice de mon Ormeli et renset ement des eternelles veri doni j'auraicia certitude. uisae suis uiotre aible, borne, fouilaant. ne prolande ignorance de moneri tene anterie e plane sur mes depuis queae respire dans ce monde inaudit Ie ne suis pacti j sotime murisve la taehe du petasi originei, ex ntracte dans une nutre existence, conqueris ne existencenouvelle plus pure et plus douce. 4'ai en moi te sent ment et ramour de is persection it me sembleque j'en auraicia pulsiniice sici 'avais lis . ais la sol me man-que, experienee me deum , lapasse,'est inconnii, te present me stoisse, Paveniris'epouvante Mon δωn'est plus imo γ'un sive declarant, uidest qui me consume. Que pulsese salae d'un sentiment quele Sonne ne partage o que person ''esphre vola triumphe des tristes rhalites decla vie ue conmisit mme Vertueux, eserians de interroger j 'a Mur qu'il ne me dέsesphre en m'avouant qu'il ne volt dans la vertuque rexerciee 'un esian innyche tui, ouriu'il me deco age en me disant de renoneerra out meme a

resperance.

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lui te sentiment de rideat te que je a conci quand 'hinis leune comme lui; mais j eratas de decouvririn

ment a garde te seu saersi Mais illa etai pacalor eo γ'il est autouin'hui, 'avai laeto et illae Pavait pas. Aujourd'huicles roles sont changsic: 'est lui qui a lalai, et motae res perdue.

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Halair est de verser a pleines maius surdesim res rorque les riches me prodiguent.

vous ave connil veri et ramo , et illae uous est

pas meme reste ce qui ne m a pas mittω Ia boniel Sans doute e suis relambe plus bas, repriti lia, pour Voir pristin essor tro orgueilleux. ais teneque e suis, e v0udinis d'une vertu queue pusse comprendre et commemon ame aspirat acla veri par ramo , je ne comprend plus ruessans rautre Ie neptiis pacalmer Phumanitsi carisse est perverse cupide et lache est laudrait croire a son progres, et de ne lepeu pas Ie,oudrais qu'au moris te petit no re descinur pur entretincta famine duissileste amour, et γ'astranchi destiens de Psigoisme et de livantia, hymen des ames ut te refuge des derniers discipies de

La laute en est done licia societsi dii Pulcherie, qui commensait Κωouterasilia ave plus d'attentiis. - laute en est a Dieu, qui pinnet a rhumanita