Oeuvres complètes de George Sand, Volume 6

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suppos pas que e puisse humilier et tui salae sentiri midide ma protection Vraiment, cet homme a ramensile et grande, et nulle amissi ne m' plus statiae quela sienne.

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de la laute Essece uoue calcul es ce uoue sentiment,

Sisinior

N'ave Uusias pleura chaque sola que uous ave lui histolae de cetis eunerasse qui vorant marcher Ulamor uncillustre infortunsi landit is presse des curieuxindissigrenis, et ne factant que iamiamage d'inlarsit luidonner, mure et simple ensant γ'esse Mait, tui ossinune me M'elle aves h la mala, unea e pure et suave comme elle, me rose que son amant peu siue tui maudonnis, et qui ut te sevi te demerasimo nageru'M- sectio et de pili que resutis prince marchant ausupplice' 'etes ous pactouch austi, dans la sublime histola duclureo 'Aoste, de raction naturesse et simple d narrate 'vi tui tentia mali Pauum lapreux, qui n'Mait pactouchyla mala de so se lable depulstant d'annsies, qui eut tant de Mines, res er cette main amis, et qui muriantua refusa dans la cratnte de rim

secter de son mali. . .

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Eli biena si e votis distis que, loinde consitare maconduite commem acie de misericorde, j'siprouum urcet homni une sorte de respere enthousiaste Si evous distis que et que te voilli brii, stetri, persi, et uouve plus haut plac dans la vi morale M'aucunde mus Savra ous comment i a suppori son mal- heuret Mus ous serie lusi, mus certes, Vec mire

fieria, vo χ'e siegia accepi te chaliment de rin- satae. Eh bieni il4'est foumis, illa uouis que te cha- timent mit juste, γ'illavait misite, non pas tant murson crime que potis te mal γ'il isti sali Diniame durant te cour de plusteum an es. Et puisqu'il aves msi-rit c chaliment, illa voesu te subiri Ilia subi mavsic clamans, sortit patient, parmi ses abjecta compa- mons Illa dormi surda pierrea coisi du parricide illa supporia te regar des curieux illa sic cim ans dans ceu lange parmi ces betes seroces et ventaeuses illa subirae sim de demier scdisirata et la dominationdes plus laches emio . Illa etsi sors , et honime qui aves sit si ricte et si voluptueux cet homme d'habit de rassi es et de caprices despoliques Celui qui vo lait surdes stola enisur de semmos, de parsum et dechanis, dans sa ondole rapide; celui qui fatiguai de sus urses solles et aventurei sectes plus beauccheuaux de

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LE lac init caltae e solaiah, caltae conune les de mers oum de rautomne, Mors quela vent d'hivern' epas encore tro te lac timuela, et que les Malavis roses decla rive dorment, bercis par de molles indui tinns. De pales apeum angerent insensitiemem las linum anguleo de la montagne, et, se laimant t-ber in laseaux semblarent recular l iorigon, D'elles finirent par effacer Alorcia sursae G lac semini veni austi vaste que cesse deda mer. vii et riant oubigare ne se dessina plus dans laualisie illa' eu plus de distractio postibis, si de sensa possie partes images extisieures. La reveri derint solennine et prolandes, vague commerae lac brumeuc immense comme te ciet sans bornes Illa' aves plus dans lais ture que les cim et l'honmie, queatine et te douis. enmor, det out a Muvemail de laiarque dem,

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d'un wmbre manisau. II levat son large ron et savaste pensis vera ce ciet si longiemps irrit contre tui. - Sisinio, di ii au eunei te, ne saurai tu amermians vite et mus laisser conter plus h loisi te bruit harmonisu et latis de rea muleis par te miro et En mesure posite, en mesures Cela est a si beau, a si important que la cadisce des plus beau vers. Bien maintenam Entende mus lemn plaintis de rein qui se Mise et s'sicarina Entendeχ-mus cesselas multes qui tombent ne hisne en o an derriere nous, comme les petites notes grates 'un restat qui s' i merJ'a pressi te des heures alati, jout Trenmor assis a rivage des mers patiabies mus te beau ciet de lari terransie. 'est alas que 'simultis avec dsilices le remouides camis aibas de nos re aris Laiuit, dans cet inreux silance de rinsomni qui succω a bruit duriravali et auxiaviictions insemales de la douleur, te bruit lassile et mystctieux des vagues qui battaient lepie de mairimn rsiussisses torio ili me caliner. Et plus lata, quandue me suis senti ausia sori que ma destinsie, quan mon ame asse tela' plus sit forcsi de

demander semur aux influences exiarie es, e doux

bruit de rea ventit herce mes siveries, et me plan-geat dans une d6licteus extase. En ce moment una land cendes traversa te lac, et, perdu dans la vapeur, me ades cheveux humides de

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sensation violentes et des tonique brulanis Mais dis-nοUS, Henmor, comment tu 'es ait a catae carensin turi'as dit out . rheure , te catae est venu tetrouver meme a sein de ce repatres et 'aille sisute les sensationsis'simoussent , Orce de se reprο-

Le catae Pssit renmor en levant vere te cie unregata sublime te catines, 'est te plus grandatensait de la Divinitsi, 'estri'avent oti ten sans cesseri'ame immortelle, 'est la Matitude te catae, 'est Die l

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exhorter et conscie les hommes, et laute cetis myth logi chrsitienne si positique et si tendre, es apporis de la terro aure te ciet, ces magni ues esset si spiritualisme qui ouis ensi h rhomme infortunsi une cadi

Tous deo gaeshrent te silance Lina ruit apparement dans une disposition plus sceptique γ' rordinatre Sisinio ne Muvait alacre telasimul que tui inspirat Tremor, Miam se resumit h4'sipancher dans la Menne Cependant ii fit unis r svr uiamsime, non mur repondis malimur interroger me e. - Trennior, di is tu ne m'alire sita de tot cem'it 'importe de saviar Cesque tu me dis me misisplus positique que vrai Arant de morer te catae et de concevola ridsie decla sol, mn dout tu is dii, par ungran repentis, purifier in reprit et racheteriton amel-Oui, par u gran repentis repondit Trenmor. Mais cessu un repentis proland et incise, ou la craintedes hommesis'entra mur en Dans cet abis Samjection, eis'eus pas lariaiulesse de me sentis humiM par eo, et e 'accepta pas mon chaliment commevenant d'eo, mais de Die sevi Auxiremtem Oum, je me bomai h accuser te destin te sevi die amuel j'e se sol. uis, e me plus h linter contre cetis ui sanc famuche, , laquesse je ne pomais refuse cepe dant une haut justice et de demetas providentiris,

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de sola

dico able. Il est certain, dii Sisinio simu que mire laute nemsiritali pactant de igne . Mus aula commis unme ire involantatre, et Uus suis consondu me les voleum et les amasiam. Mariaute ne misitat pa ceu sorte de rigue , ditarenmor mala esse en msiritali copendant une biengrande Le eurire n'sitania ce qui constituat mon

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si prolande, que pendant quelque temps, e dsilibisai.

dans l'horreur de me pens , si je 'accepteres pasi sor γ'on me salsait, si je ne me d&lareres pasi'ennemi du genre humati, si je ne sertis pasiae serment de lauriter mari eur contre tui et de lui Mesarei la guerre a sito que e sertis libre reus es sit hcette heure de disremi samuche, aucu banditis'eut sit plus redoutable que moi, aucun meuririer ne esu baimsi dans te sis avec plus de raget Mais laissicessit rendit ma litine plus patiente, et je uva longiumps de projeta de vengeance que te sen- timent religieux sit siua uir par la scite. 'avais e pasmjet de hare cetis mcisitsi qui m'avait pris au berceam, et qui dh Iors, me combunt de saxeum Meugies, Gait eique u sorte travaillsi , me cree des passion et desbosians inextinguibie γ'elle 'Mait seu ensuite . a tisiuire et , exciter satis cesse ' ourques salt-elle des