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Lina ne repondit pie paron trange regata et unimi murire puis apris uncinstant de siletice: a 'istisine risie bim dis rente lauta rheure, di
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Ton ame est triste, ratia, dit remor On dirastque sevi ici tu craius de ne pasto ira ton to l
CE eune homme inrite plus de compassion IAia. J cmytis que musis'mira que las graces et les ador Nes qualitis decla lamme. Eu aurier ous a si larid roce ingratitude et rimpudente vanire Non, 'timertis mcdouis de rexistence de Die que de latonia devotre coe . silia, dites-- donesce que uous Uulegsalae de cetis ame de mes qui s'est donnis , mus et que ous ave accurillie, imprudemment peu etret Mus ne pome plus maintenancta rem fer sans γ'elles bine et prene garde, I silia, Dieivo in demam dera compteran Our; car cette ame vient de tui et doli reisumeri Sans douis ledeune Stisio destiue uides insanis de satrωilection. N' Niliacmis en tui una
stet de la beavisi des anges Quoi de plus pur et de plus
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l'un catae pius a silique, ni de bisu dans te plus beau ciet qui in plus limpide et plus csileste que leale deses Teux Iei'ai pacentendu a Vix plus harmoniense et plus Duce que la sienne les pariae qu'indit sont
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viei'est plus en Ous, illaeso in reste que leis ei; bientot comm h moi, ille ous en restera plus que
se inuine et nos regatas se devin dans rombre Illaisai une nullaten nolae, et muriant e uous, 'ais,
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n'ai e pas senti mon seu se precipiter vers unaut in- nnu, versis bonheu sans sorme et sans nom, qui
atae surda terre lMais hises heures-la, e que nou senton est si vis, siluissant, que nous te sipandonisu inutie qui nous emironne hie heures ou Die nous pos de et nous rempsit, nous falsonsidaillis sumtoutes ses se res rsiciatdu ruon qui mus enVeloppe. Ν'ave vous amat pleuryd'amour murices Nanchessitosses qui iament les Oilesilaus de Ia nuit Ne o siles ous amat agenouille devant esses, ne leur oeZmus pas tendu les bras en tes appetant vos Meum Et puis comm rhomme almes concentre se assections, tro lassile qu'il est mur les vastes sentimenta, ne mus
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celle qui se levat rome et scintillante surdes notres f reis de rhorigon, tanto cesse qui, pale et douce, se voluit commemne viei iussique derelare les humides restet de la tune tanto ces tres sinum alementhlanches, Mement belles, qui brissent dans nitria o mystisieux tanto ces eu compagnes adleus qui dorment cinera cote, dans te cie pur, parmi dos
myriades de moindres gliares et laus ces signes cabalistiques, laus ces chaeres inconnus, inus ces caracter inranges gigantesques, sublimes, M'elles tracent surnos utre, ne mus site musia laisin prendre Diada
initie de les explique et d' --- les grand in thres de noue destinis, ligera motae, te no duTra Haut, aveni de amer Oui, ous ave intemrog ces astres avec 'ardentes sympathies, et ousave cru rencontre des regatas d'amour dans le trem-hlant otia de leur ruons; vous avecem senti unevoix qui tombest deci haut mur mus Caremer, murvous dire Esphre, tu es venu de nous, tu reriem dras vere nous C'est mo qui suis ta patris, 'est motqui 'appelle, 'est mo qui te convie, 'est moi quidola rapparieni uncio lI 'amour, Sisinio, n'estia ce que mus cro eg; cen'estias ceu violente aspiration de lautes le lacullas Vers umetre crisi, c'est raspiration minis deda partis laplus sistissi de noue me vers rinconnu stres bomsis, nous cherchon sans cesse Donne te changes ceci satiabies disir qui nous consument nous leur che chon un ut auisur de nous, et, a res prodigumque nou Smmies, mus paron nos rimabies idoles demutes les beauisis immaiaritae apercue dans nos re-