Relations des quatre voyages entrepris par Christophe Colomb pour la découverte du Nouveau Monde de 1492 a 1504; : suivis de diverses lettres et pièces inédites extraites des archives de la monarchie espagnole, et publiées pour la première fois par o

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l 'orient, une Sortie tros pro Iade et ii sis large ;il est en conssiquence facile de passer au milieudesdites iles, ce que peui faire, potar en Prendi e

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vertes, tant h l'sigarii dii sol, des arbi es, des plantes, des fruits et des fleurs qu'en ce qui est relatis avx personnes; et ii Hotate qu'il a troiivo partout des diffsiretices, et dans les productions et dans les habitans, et qu'il 'est pas d'endroitosi ii ii'ait remat quo ces gradations. Il a observola mhme chose dans les poris et dans la qualitsi des eaux. Ιl dit ensin que pilisque toUteS CeSmerveilles excitent is uti si haut degro l'admiration de celix qui les volent, elles feront bien plus. 'impression sur 'esprit do ceux qui en tiront

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put arri ver de jour, parce que te tempS rede- vini encore enithrement catine. Il sit dans toti te cette journsie trente-deux milles, qui siqui valenta huit lieues. It reconniat, pendant ce Coiari trajet,

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bres sileusis et veris, qui falsatent plaisir a voir, et qui paraissalent Otre des sorhis de pins. Der-riore te susdit cap dei Pico, du coisi dii sud- est, ii y avait detix petites iles, qui orit chacune

indices portent a croire, car, en quelque endroitqu'on descendit , terre, on troilvait des SigneS,

et en particulier des restes de Dux, qui prou- valent quelle sitait habithe. L'amirat crut que laterre qu'il avait viae ce jour-la ara sud-est du capite Campana silait l'ile que les IndienS appe- latent Bohio ; et ii se fondait fur la distance quissipare ledit cap de cetio ite. It dit que totis tesinfulaires qu'il a troiavsis jus tu', ce jour out Unecratnte exirhme des habitans de Caniba ou -

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DE CHRISTOPHE COLOMB. 1 4 imma, qu'iis dissent demetarer dans cette llo de Bohio, laquelle doli oti e trsis grande, ain si quelle te parali ; et it croit que les Cannibales Vont altaquer dans leur pays, et prendi e jusque

Sait que te volsinage de ces homines de Cambia est te motis qui a dotermino les Indietis qu'ilavati h bord h De pas construire leurs bour gades fur les cotes de la mer; et ii ajoute quetorsque ces derniers le virent prendre a direction de Bohio, iis furent tellement Dappsis dei'idsio qu'iis allatent hire mang6S, que Cette crainte, doni rien ne PotaVait les gusirir, tesoniphchait de parier. Iis di fatent que les anthropophages D'avalent qu'un init et uno figurede chien, et i 'amiral croyait qu'iis mentalent et que ces prsitendus cannibales devalent hiredes sujeis dii Grand Can, qui venalent prendi e

Ηier, ala Coueher dii soleti, l'amirat arriva prosd'un cap , qu 'il appeta Campana. Quoique te ciet stit clair et seretia, et quoiqu'il etit solis te ventcin I ou Six poris admirabies, it ne votiliat pa Sithanmolns alter , terre potir ne pas retarder la

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