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DE CHRISTOPHE COLOMB. 33Ieudi, 4 Octobre. La sottille filant tota j ours h l'ouest, franchit pendant te jour et la nuit une distance do
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sonne qui ne uoulsit jovir de la I sicompense quele Boi et la Reine avalent promise a celui qui laveri ait te premier. Aia lever du soleti te navirela Nina, qui sitait devant parce qu'il sitait boti Oilier, arbora Un pavillon au bout dia mat de hune, et fit une docharge en signe de ce qu'il
colacher dii soleil. On ne sit guore plus de cinq
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Les trois bati mens continuhrent k faire voileti rota est-sud ouest, et 11'avanchrent entre le jouret in nuit que de onge lieues et demie ou de
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les gens de l'siqui page se plaignatent de Ia lon
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Sur terre et une petite planche. Les gens de laNina virent aussi d 'autres signes de terre, et uia petit bciton charis de s vineltes i). Ces si gnes les sirent totas respirer et se rhjovir. on fitcette journsie vingt-sept lieues jusqu'au colacher dii soleil. Aprsis la inute dia j our, i 'amirat ordonnaqu'on reprii la premiore route directement hJ'oia est. On fit douge milles par heure, et jus-γ'. deux heures apros minuit on fila quatre- vingt-dix milles, qui soni vingt-deux lieues et demie. Et comme te navire la Pinta sitati mei l leur vollier et allait devant l'amirat, it aperquila terre, et fit les signes que celui-ci avait Or- donnsis. Un marin nommo Rodrigo de Triana fiat te premier qui vit cette terre, car l'amiral
vers d 'une masse si obscure qu'il ne uoulut pas
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Dire bonite garde au gail lard de potape, et de hien regarder dii coth de la terre, et leur promit de donner uia potii potui de sole jubon de seda )k celui qui dira it te premier qu'il la volt, et
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de ses habitans tout nus. L'amirat se rendit hierre dans la barque armsie , avec Martin Alonso
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capitat ne de la Nina. I 'amiral prit en main labanniore royale, et les deux capitaines Cha unune bantithre de la croix verte que l'amirat avait
et ces deux lettres silaioni, l'une d 'un coto dela isti et i 'autre de l'autre. Arrivos h terre iis virent des urbi es tros veris, beaucoup d 'eau et des fruits de diverses eSphces. I 'amirat appetales detix capitaines, et les autres qui a atent
natureis de rite se rounirent autour d'eUX. LesparoleS Suivantes sont les propres paroles dei'amirat, extraites de son insimoire de premisere navigation et docouverte de ces Indes. re Afin qu'iis nous prissent en amitisi, et parceu que je connus que c'sitaient des gens qui se livi e- si ratent plus h nous et se converti ratent a notre
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st uiis d'entre eux des bonneis de couleur et dessi peries de verre qu'iis mettaient k leur Coia, et u beaucoup d 'autres Choses de peia de Valeur,u qui leur firent grand plaisit', et notis concilih