Relations des quatre voyages entrepris par Christophe Colomb pour la découverte du Nouveau Monde de 1492 a 1504; : suivis de diverses lettres et pièces inédites extraites des archives de la monarchie espagnole, et publiées pour la première fois par o

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DE CHRISTOPHE COLOMB. 453

satres potir psinsiti er a Un palme de profondeur. Celui qui se rendit li Nili dit avoir trotivo ce

pertinent me ternan por proli ), et ii 'homine qui a exag6rsi Un peu; mais Dieia est isimoinque je ne me suis pas sicario uti instant de la

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Ιci se termine la copie de ce qui a rapi Ortaux nouVelles de ces conti sies des Indes si cequi fuit dans la letire n' est pus relatis h l'obj et essentiet, cur il ne s'agit que des affaires particuli ores quo tedit docteur Chanca, Commenatis de Soville, recommandati a celix dii Cha-pitre Cabit in de cette ville, et qui concernatent Ses biens et ses parens qu'il avait laisssis , Ssiville, oti celle letire parvini datis te mois

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ti ouusi qui ait pia diminuer l' importance de ceque j 'at ocrit, dit et affirmo prsicodemment hi eurs AlteSSes; mais que, par la grace de Dieia,

j'esphre ala Contraire que dans peia de tempStout cela paraitra bien plus clatrement par tessalis, parce que, sUr te rixage de la mer, San Savoir ponsiti si dans l' intori eur dii pays, ΟΠ trou edes traces marquoes des disserentes sipiceries, et

que Ce Commen cernent annonce naturei lement

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ratent , se metire en rotate, et Si CeUX qui dolvent revenir retardatent levi' dopari, iis nepotiri aient pas Otre arrivsis ici au mois de mai. D'ailleurs , Si je voialais en treprendi e d 'alter

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aussi uti grann inconvsinient , laisser ici les mala des en plein air ou dans des Cabanes, avec leSprovisions et les munitions qui soni h terre quoique ceS Indiens paraissent tous les j oui Splus simples et Sans malice aiax yeiax de CeuX qui vont a la d6couverte. En somme, quoiqu'iis Viennent chaque jour nous visiter. il D'est ce- Pendant pas prudent de risquer la perte de nos gens et de leurs vivi es, ce qui potiri ait arri Vertros facilement si uti Indi en, aveC Un charbonallumsi, mettait te seu aux Cabanes, car, tant lanuit que te jour, iis rodent autour; C'eSt pour Cette rai Son que nous avons des senti nolles dans te camp, tandis que les habitations sontouvertes et Sans d6fense. Il a bion fuit. De pluS, Comme nouS avonS remar lusi quela plus grande partie de celix qui sont alisis Dire des docouvertes soni tombsis mala des h leur re-tour, et que quelques uris ont mome sitsi obligosd'abandonner i 'entroprise aii milieu de la rotate et de revenit , ii sitait sigalement a craindre qu'iln'en arrivat aulant . celix qui j ouissalent dans

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consistati dans la difficulto dii transpori de l or;

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tains endrotis qui leur convientient, et lors tu'iis 3 Sont, iis reviennent bientot en bonne Santo. Ce qu'il y a de certain, c'est que s'iis pota Valentavoir des viandes fratches, avec i'aide de Dieuiis seratent tot S promptement fur pied, et queles plus malades eniret alent doj, en convalescetice : j'esphre qu'iis se rotablironi. Le petit nombre de ceux qui soni bien Portans Sontemploysis totis les j ours h barri cader notre habitation , si tu metire en otat de dos ense, et hprendi e leS mesures nocessat res potir la sui etsi de nos munitions Ce qui sera fati Solis peti de

i) Albarra la, terme arabo qui signi sic un CnclOS OUmuraille Dite de pierre soche, satis mortier, ou de leVi es de terre. D. L. R.