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i: ne qui Oratre an la compositiora ili', Dux puisquela docompositio nolo fiat eo ourni uno quantitii consid Arabie tui Ius Ora viro rarae saris CCRs . Eusta I 'a te illii ait uno partie constituanie de quelque planius, leui oscimurni pares stinui saction Os substances animales qui se trouvent m tDP AVDC in Prro sur Ia luelle es planios son fixi es. I imprarte se omni quor i l se l. lumisero a DC singulti roinfluetice surcia production O principes donici silantos Se Composent. Cellos qui sonti rivi o dia conicio dei fluido sontiades, blanches, siti Oli es, tandis que collos qui Otia Ox
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tiens. De retOur dans a patrie, i y fonda ue cole consa crsi h 'otude declamature Cet homine coibbre ne se horna po intra sipandre a doctrine se se mattres, i enrichiti'astronomi Daissante de plus leursi si olivertes utiles, quile sirent regarde comine te premi e des sep sages de laGrhce La nature l'avolt dou si 'tine imagination vive quilui tendit quelque is de pipges donicit ne ut potnt se garanti P. Les Plansites, te soleti, les tolles, etc., out se nourrit de vapeurs, di soli-i hau tement dans se lesons. Un principe unique alimente tota les OrpS de la nature et e principe 'est lyeau u
C'est an dolite la tendane qu'on totas te fluides a sometire en quilibre, qui stermine te Divellement 'un masse 'eau ouissant se a liberis; mais e D'est poliat, ii Pro Prement parier, cette mome tendance qui sollicite eseaux a illissantes h s'. levor usqu'cies hauteur dii siservo tr. Ioici importe de considύrer a vi tesse uia liquide qui s'ύ- chappe par uia orifice percyau fond 'un vase, Vitesse quenit nait recla pression dii liquid stipori eur Elle gale celloqu'ac luerroit ian Orps tombani librement de a sui faces lapsi riseu re dii liquide usqu', 'orifice et la vitesse 'lu'acquieri uia cor ps tonabant libremen d 'une certaine haute uir eSt tota j our sustii sanie potires fa ire remonte i ta hau leurdoti it tot descendia La vi tesse de l'eau qui e happe paruit orifico sal au fond 'uri . servo ir, petit doti laria ire
montor haut ur de celle que e r. servo i ren ferme, po urvumu' la fave ur 'tin tu 3 au de conduite reco urbsidans a parti in rierare, ora doniae a Son mora vemerit uno
diro liciti de has on aut ibi orie des pati j a illissantes
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I Les corps i Aeni aussi de diverse manthi e
Os molociales mali riciles doni se composent les solides SO ut troite ment tinios entre elles elles soni uti seu et inhine tota in letaris Ort se concentre en uri se ullo intriti'On tam te Centre de pesanteur. Ili'en est pas alia si de fluidos. I Outes leui s Oloculos sorit indi pendante les une des irai tres pelles soni si s ibi ement unies qu'ollo C. don au Oindre es fortinia' ori fait poli les si parer De la vient queri'air divise ave facilit cies globules liquides 'uno masse 'cautonabant dii se in do Patmosph, sui la sui face de la terre. Ili 'on aut pas conclure que es globules soli sint motus de old absolia que lora tulit Son rounis in mas O solido. Il est vi ni qu' iis tonaborat ave molia de vitesse, et 'lu'iis loquont nvo Molias a' clivit J mais i est visibi que es esset di pendens 'uno Caia P ACc id Onielle. l. r. Sistance Pl 'air qui est plus grande poti de globules siquides indύ- Pelidant ius raris dos utres C PPύSCntarit Coras 'ira 'raras Urit plus il ursace a Pati que e mome nona bre de globulesi Hunis oti masse solide Parin cause quescon luc.
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crsi h l'ύtude declamature Cet homine cothbro ne se horna poliat hosipandre a doctrine se se inni tres, i enrichiti'astronomi naissante de plus te ursi si olivertes utiles, quile sirent regarde comine te premi e des sep sages de laGrsice La nature lyavolt douod'une imagination vive quilui tendit quelque is de pthges donicit ne sutioin se garantir u Les planbtes, te soleti, les tolles, etc. t ut SP nourrit de apeurs, di soli-i hau tement dans se legoris. Un principe unique alimente Ous te corpS de la nature et e principem'est 'eau '
βὶ 'est peti potir Ι' quilibre ui invinci hae attruit
C'est an dolite la tendance quJon totis te fluides a sometire en quilibre, qui dotermine te Divellement 'uno masse 'eau ouissant se a liberi si mai cem'est poliat, hPI OPrement parier, cette hinc tendatice qui sollicite eseaucia illissante 44'. levor usqu'cies hau tela dilui servo tr. Ιciri importe de considi ror a vi tessera uia liquide qui 'ύ- chappe par Un orifice percyau fond 'un vase, Vitesse quenit nait recta pressiori u liquido sup ori eur Elle gale celloqu'a querroit ian Orps tonabant ibi omen de a sui facesia psiri euro dii liquide usqu'. 'orifice et a vitesse 'lu'a quier unior ps tonabant librementi' une certa in hau te ur. est tota iovi s ustisante polirci faire remonte licia hau leurdoti it tot doscendit La vi tesse de l'eau qui ei chappe parui orifico sal au fond 'uri . servo ir, o ut doti l fair
montor haut ur de celle que e ri servo ir rens ei me, potat via qu' la fave ur 'rati tu vati de conduit reco urbsidans a parti inrarietare, ora oriri h son Ouvementino
diro uicin de bas oti aut i ii ibi ori des aux aillissantes
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repose sui es principes orit oti petit voti te di velops inent datis te notaveaia Dictioni ire dei sique nubtii par
Aia resto, Ors su 'on dit 'lu'une an i illissante doli i-teindreclamauieui dii roservola, ori fati abstraction de lu
Les molitaules mali ri Ollos doni se composent les Solides Mint troitemen unies cratre elles elles soni uti seu et mhme torata leuris fori se concentre en uia se ullo intriu'oo Domine centre de pesanteur. Ili'en est pns ain si desiuides. I Outes leui s Olectiles soni iudi pendantes Ius me do aut res Pelles soni si fothlement unies qu'olle ebdon au moiN-dre essor qu'on ait potir es si parer Decli viciat que Patrili vis avo facilitii ius globulos liquid es dimo masse 'cara
tonabant dii se in de Patmosphdre surcia sui face do a terre. I nyon mitias concitare que ces globules solsis Orithoitis de old solo que lora tulit soni i unis en inas O solido. Il est urni qu'il tonaborat ave motris P viii K P, et qu'il choquent aveo mo in droclivitii mais it si visibi que es
esset diipendens 'une cause accidentelle, in i sistance Di'air qui si plus grande potir de globules siquides indo-
Pendant les uris dos utres, et Priisentant, iussiquemmeni plus ili sui face a Pati quo te me me nomine de globulesi Hunis oti masse solide Parin Caia Se quescorique.
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)ὶ es fluides encor, par leur mobilith Assissent e tota sens, Pressent de Out cote T:indis que te corps diar, o que te froid condense, Garde de se tissus la secrἡte adi siren e .
Les solides 'exercent leur pression que dans te Sens de .la pesanteur, 'est-h-dire de haut en bas Les fluides pressent vivant Outes sortes de directions Cette pression entout sens est unedo declamature qui caractsi rise les fluides, et donici est ais de se convain cre en plongeant dans 'esu plus ierar iubes non capillaires, uveris Pardes eu bouis. I 'un de es tubes tant droit les uires sont courbos solas distarent an glex; et l'eau monte dans tous h la mome hau-teur, 'est-h-dire usqu'au niveaia ducliquide.
9 Etisti de l'hydraulique interrogeon lecto is; L 'onde uni datis sori hoc a vi tesse et Son Poliis.
ter bateau, O l'appelle ruisseaus Pelle est asse sorte potarporteriateaia elle prendrae nona de rivisere Enfin, si olle petat porter de grand fiat eaux, o clamonime stetive La in si renc de cesta nominations 'est, commeri'on Oit, quedia Plus au Oitis. Queique aute uir De Otinent te nona de seu ves qu'aux rivibres qui se sicli argent inini di ementilans a mor, et ii paroit queri'us age a consacr cotte di nominati Ori. D'aut res protendent qu'ilis' a de rais invesque ceu qui ontra inhine noui depuli leur Ourco usqu'
Les ruisseaux viennens quiesque is 'une grando quantito
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doti les stois glaces par de si inuisuis clato, Aux approebes dii seu soni peii ille te nirsyEt celles quo te sciuiae atti sidit et colore, tau lair illantes IIui et te diei illi pidaure, Dan uti ha in salutatremn incisi de leur maiuLes msitati de Cytale et les Dux de Vulcatu.
Les eau minύrales pro prement dites, oti tes ea ux msidicinales doni parte ici te polite se divisent principalementei qua re ClaSSCS. 1 Les ea ux acidiales; ce soni cesses Oud'acide carbonique domines a Les ea ux salines, donides principes Pri dominant sonide fel proprement diis, teis que te sultate de magni sie, lecarbonate de solide te carbonate de inauri et σοῦ 3'ic eanx sulfurerises, donicies ne ne sont chargύeSquo 'hydrogdiae sulfur sans has alea line u terreuse, commerae plus grandis Ombre ' ara sulfure uses, et donile ait tres contientient ne vori table sulfure comine es caucilo nari se, de i ii uteret, etc. utre lora prinCi P sial fur , la plupari de ces ea iacti en non Dei dissolution des scis, et particuli hi omen des muriates C ii K sulsates alcat in ora
' es au ferrugineuses, te plus communes do inuti s. Si te sera est ri duit a rotat de carbona te parci'acido Arh nique, de maniore que ceraernier 'ost a Surabon dant
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on te nonam eati ferrugineu se simples. Si te fero est dissolis parci' acide carbonique ave exch de ce deria ier, elles 'appellent eau ferrugineuses acidules tellos Son teseaux de Spa, de Pyrmoni, etc. Ensin te fera est quelque sol h 'sitat se sui fato, comine an scies ea ux de Passy, de
connii solas te noui 'sivaporation Lero a pro uvi te premiermia'il a poli cause 'attraction exerco parci'air sui tesmolociales aque rases qui sont en contactive flui. Si 'on combino doci'eau ave uno certaine quatititii de calorique elle passe ii 'otat de vapeur, et cette traris I IDR-tion est tota j oui siti non de par si bullition dii liquido. Ιci se prsisente nil si noua sine qui ii' poliat chappii h la sagacito
deri autour, set qui mi rite de fixe uia instant notre attention I consiste ente que les notivelles quantitos de calorique qui sui vi onnent depuis te momenti commerice l'ύ- bullition soni absorboos par 'eau i mesure u 'elle os resoli, et uniquenient employdes a convertii de nou volles
Ouclios en uide lastique de sorte qu'un thermona treplaci dans o im Ou dans unciiquid quotconque qui commota CP a bouillis, rosio station nati eiu degi de robullition. De momo phi noni ne se striis, ut ave se momes circon stances dans e passage de solidos ii r tot de liquidos. Osriori volt O quantitos o calorique qui sui visen non depuis lom mi ut Dia commerice l. liquidito, sons absorbiles par le
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Lors tu'on ex pose de I' At a racii on de la chaleur, te calori liae se combino ave se molociales duciiquido, et leui communique uno tarce opulsis e rei iam Io foro de coli. Sion Dia Omont que a promiore Orco 'Om porto stir laseconde, reau tot se transformer eo nuidem si forme, et se moloculos ora si vir uia emia tonion indiis i. est satis
dolite e qui arri vortati reaia os uiso liquide quelinque, si une troisti me sol co . Iair Mon de ratinosi libre, ne scii-
legi sis dii thermoni Are diicimal. La quantit de calorique t 'olle absorbo dans et intervallem'essia susssante potirvain ea i sistance'u' opp0se 5 sa vaporisation Ia pressio de Patmosphi re mai di momen qu a 'aide de a machine neumati suo on sui rime so pression atmosphsiri
promptismonii iri tui do si uides silasiique a Ia tempsirature habitu olle quo iacius proiivotis, avec coli diu reiice, quela quantita des vapeui, produlio do potid di degr de vola fi liiii dii liquido qui si mumisi si pretive de OXPCHi DCC
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L'ai disso ut d'nutant plus d 'eau qu'il est plus comi rimis,
et que R Omperature est plus leuce I ex isto don datistes sigions atmosphύrique uti quantitii 'eau dissonte qui est tot our proportion nolles Ia pression combinde avec latempsi ratiare. Sicla pression et a temporatur ariss menterat ensemble ou si parsiment, la faculis dissolvante de Ibi augmente, e qui fait Vol que pendant les ardeur brutantes de 'otsi l'atmosphhre contienti ne grande quatititsi 'eau qui ti'althre poliat a trans paren e parcequ'elle est Parsaltemen disso ute, et qui ne manifestola mome S prsisen esu te chevou de 'hygrombire. Si la pression et tu temporatur diminuent ensemble ou siparsiment, l'air dot ab an- donner ne portio plus ou moltis grande de 'eaumu'illient en dissolution Les molociales 'eauraban donni os pari'air perdontes' itat lastique, recolavrent la forme liquide; et celles qui se tro uvent ara vois in age es une de a uires, obsiissant auctois deri' attraction, se si unissent et tombent solas la forme de go vites sur a sui face decla terre La plui ea dono oui causeri' abandori que ait atri une parti dei' cauriu'il lent en dissolution et et ab aridon est tota j oursdo termin pari ne diminution de pression ora de tempsermiuiis, quelque is monae par ne diminution simultati e dei' intensi tyde es deuX a USOS.
Datis la salson des ossies, te solei l chausi e considi rabi
inunt a terre, in si que 'ai qui on vironiae a Suria CC in Cette aragmentation de tem p ratur dera 'air tant que te O
molecules aquosus qui iis recolivi si leui liberto voltis eni