Œuvres de J. Delille

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Le changement parco urti thsilit e mobile Strabon siconnoitroit e globe de Danuille, Et chercheroit en ain, dans e vicit univcrs,

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Santorin a pari fur es lotio tonnos, Et a vigilem urit stir sos o CSint Cini S. Des toti r sortent dii sein des humides campagnes

tironi des vallotas, de gous fres Sontii Veris : Quirit lotoni des citos, s'otondent de dosoris Messi ne on seu descend otis a terre qui grOnde: Filio ni mahlo des mers, Venise sor de 'onde,

Et des proditus di temps, ea des ux, ct de flois

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Sellaiti varier e terrestre si jour Son it duido sus hord s'olo igne chaque Our. Elle quitia Frrius, et des ottes romaines

Procipita os flois de 'abinae grondant

Sur d'immenses pay ses Ondos se opandent Mais coriu'Ont pris es mors,cles riviores le rendent Et te limon, sans cesse amensi par CS CRUX, Compose lenternent des rivasses nou VCRUX.

Ces it; origontati des collines notavelles,C'est a mur qui forma levi siouches parallotes;

Et solivent des devehor is de nos Vallon Ombroux, Ces iis contempora in se ri pondent entro euc ').Voye aut ord de eaux solis mille aspecis informes, Monter usques auxit eu ces falaiseconorinos L mer en se ro utant les tira de son sein; Et, potir forme se hords, di chira soni assiti. Mais pronon de plus haut es terrestres annales. Si 'en crois no savanti, des secoiisses fataleS, Pariun choc violent dii midi redi esso, .Ictorent 'Ochan surde Dord affaisso;ll Pn trouvent Par-tout es si appant tomo ignasses.

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QuQ rompirent les mers uout dans e Dord atteste De Ocoan austrat 'irruption funeste. C 'est tot qui te premier, de Son Cour Orasset X Observas es effets, tot Ibini Coui asseuX, Le digne compas non de cet homine intrepide Potir qui dressa ma nausemne humble pyramide Brave et stivaut Forster ῆ:' lians voti e nobi ardeur

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Eu foule dans te noris Plongsis nux meme tonibus, Et dii signo animal immenses hocatombOR. Mais quo fert de chei chor aut out de Ilunivers

Au sein de cestos calix qui domi non Paris ''), De I empire animal retron vor os di bi syPour nousin retracer es fidolos magos, Dan te banc sablonneux, datis se aut refractu VIGOS Son il loquod emande aiax abimes prosoniis, Aux di pol de tu mer ara contra illes de monis Distingues Suia regalia, dans cos vastos arChiVCS, Des races de nos Ours,cles races primiti CS. Les tres existanis, de Cesitros perdus Quo te temps hi ruisit et ne nou Pendi a Plu . Empreints sui 'a foughre ou es mari, res antiqUON. De 'ancion continent insidailles authentiques, Solivont dans co grand iurei es yelix soni offeris Los annales dia globe et les fastos des mers Et des corpsinterros dans leui coliche profonde, Le tombeau e ramone ait Vieuxiei Ceau du Ondo.

Desissementsipars rotabiit les accor is Par luti'un long sommoti oui dimouille est sortio xla mortitonia desiliendin air de vie. Triomphante des eati x dia tropas, et duriona PS.

I a teri se a Cria ovo tris A promior habitant :

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Et, plus que les volcans, te doluge et a guerre,

Qui do oin surda mer dirigent les nocher ;Ces masses de granit 'lu'im si longisse enfante, De ce globe changeant si robuste ChRrpente, De la commune tot ne se dofendent pas I 'sito es met enloudro, et 'hive en clats Le dosol est ursuit, te vent les doracine;

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Que de planis inconnus, d arbuste i transsers, Ombi agent nos ardins et Peu plent nos vergers Teis, dii globe terrestre et des races humaines, Si ron petit comparer es divers phonomi ues,

Lesbonnet de Marat parui dans cur diis is Plus dune ite a requio gonisse ii condes Notre soc fenil leur terre, et nos Maisseau Ioui indus; Le fouili eiuro poeta rem place leui carquois Iusque Sur eursu hers, jus tu'au fond de Hursio is, Nos aris, deuour en our, tendent cur conquetes

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184 LES BOIS REGNES.

Et de s vieille potirpi e talant es lambeaux,

Tandis que de 'Olympo habitant e sommetS,

Diei seul volt tout changer, et ne change amnis. Dii globe totate is oublions a sursace

Telsi ab 'ai docrit cos innom brabies COI PS,Ces inumbres d'olophanis cos debris de baletnes. Des tigres, des tapirs est cupiades loliata ines, De renis re animal antiques monil montS, Depossis parda mer, parsitos par te tem PS

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Tuires e Ces amas, e long banc de coquilles, uui, disposos par colache et ungos par familles, Et dans ces licia profoniis ensen te ensevelis, Forment des monis entior de leui s immenses iis . Par dytranges basariis apporios Surio Plagus, Plusio ursi'on tu urs paruit qu'auxiliis io intain rixages . Quo que soli cur pays, indigone, transser, Totis attestent des mors e sotour passager. Atticurs imbi do solis re improi Inh de bitume Dos di bris dos forois uiam Oir amas S'allum e

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Ain si dans Whithaven une heureus industrie Au pro filios nochors ait servir eur furio Dans es concavitos de 'atis re tonsibi elix

Leur infecte vapeur nuit et oui se Consume En colonne brutante elle monte dans 'air, Ello oolaire es monis, illumine a mer Lamuit, fur 'Ocoan quoeson aiSSenu sillonue, De ce phare nouueaude pilote 'otonne, Avance uises clarios, et plein d 'un doux transpori, travors es oculiis arrive datis e pori. Ainsi des passions quand es funestes stamines Infectent nos espriis et douorent DOS RIMOS,

Quo 'on donne uno issu si leui Myer brutant, It clatroclos aris, chalasse te talent, Et de millo biens ait sa lumiore sui Vie, Nous prote son fana sur a mei de a vie Tantvi'uti mal quotque is potit olore te bien Lli, de ces fit de monis obscur concitOyent 4 , Repose aussi 'aimant, 'aimant vallaqueur de 'ondo, Leclion, o miraclo et 'onignae dii monde, Sol que par son fluido vaporo dans 'air, Tota 1 - -tour il attire et epousse te fer, Soli qui Pacie esu Latmo it prole saluissauce. Soli qu'il horcho dii Nord a se rote insiti iace, Soli quis paroisse uir 'obje do AC RIDOMI S, Et sicariant satis cesse , eviciane Loi oui ;