Œuvres de J. Delille

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s 68 LES TROIS REGNES.

Tout donne et tout resolvite Duillage. hiris Alimentent e sol doni iis furent nourris Leli si qui donne auloeus a riante verdure, Dune grasse litiore attend la tange impure, Et des seis dii fumier se forment en se Cret L parium de la rose et lintein de 'oeillet. Ainsi celat euiuissant dont a marchesiaconde Vistillit incessaminent evr evnit e monde, Qui fait croitre des bois ou germolent de InoisSOIS, Qui fait bondi te ceri ou nageolent des potSSΟΠS,

Et change, dans e cour de Ces insitamorphoSOS, Les Causes en effets, et les effets en causes Satis Cesse ramenant cesichanges divers, Le emps, uniercle en main, Plane sur 'uniVOPS.

Le fer seriourne en Cendre, et a Cendre en sita ux.

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Les uiis, dans e Creuset fondent rapidemunt, D'autres rendent leui s su C distillos lentem Ont. I 'ari des corps es plus dur dompte a rosistance, A des corps inconnus il do uno 'existetice.

Echangent eur vertus, leur formes, leui S liqueur,. D'heureux modialeur solivent les Concilient;

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170 LES TROIS REGNES.

Les uias sonide produit de tribus minorales, Les autres sont 'extra it des races Ogsitates Ou, nsi de nos dύbris, mais propicedio maia X, Lour et ut exprimo dia corps des animauX. Do cur cristaux divers votis Classe les famillos. I 'eau, te seu votis es doniae en prismes, en ai Guille

De la pulpo des fruits dia calice des fleurs,

De sibi is dolo bois quo ovore la flamme,

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Recueillent les rayons surpi is Lleur PasSage, Et de trait rhilhchis votis prosentent limasse. Ainsido verre unit e se de Vog6taux, Et 'extrali do a terre, et celui de motauX. Et cette magnifique et riche girandole, Qui dii solei absent dans 'ombi e VOus Console, Ces cristati par e temps lentement travaillos Ces pristites ulli si pans le ouet a tallisis Quand leur vive lumiore auito in rejaillissante, Acci sit de vos salons a pompe biouissante, Qui petit, de s lumiore observateur ingrat, Sans enthei cher a cause, en admirer 'ociat tInterrogeons Bomo 'λ dans ces groties humides, Le qua PtZ Vous dira t-il, qui fit ces pyramides, Filii a dissons par 'Onde, stravers te Ocher, Ces minces sodiments qui promptsi S'appro Cher,

Long-temps, Chesd 'oeuvre obscur 'un travati clandestiti, Coerochor proci elix ignora son destin Mais 'homine 'en empares et de samuit profonde I sortiti comme 'air, transparent comine 'Oncle D 'industrieuses maius 'Ont poli lentement. En fila de voti e lux admirabie ornenient, Vases oblouissanis, candelabre SuPCΓb CS,

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Dun diam an famoux se disputent alloire. Son octa de leur trone accroit a majesto; iaryla grandeur il Orne a beaulo, Es oui combies itioni ur, ce Newton qui des motides Dirigoa dans es cieueles Phores vagabon deS, Jetant uia i persant datis 'avonii clointain,

DCVitia sola essen ce et prodit son destin.

Liu cliota desili monis, formo par via longisse,

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Du Ouge aiani sant ii otalel 'hvacintho; L 'or seu donne elotii pre et 'aut qui peint de fleui si it diluoi dos motaux la reine des Couleui S. Begarde celoi trait admire quelle adi esse Donne aux)euctant d 'ociat, aucti ait tant de nobi esse C 'est encor uia motat et 'aut dii coloris

Dii fer chori de Mars fit oueint de Cypris. Mais a tollet te presse ' Palloris, i faut de rage

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Di quari pulvoriso, dii gypse, dest 'argile, En coupe laqOnna leur merueillo fragiles Comment te seu montantiu baissant par degrsi, Durcit dans es Durneaux leur limon puro De uel insitauelandus a phte blanchissante

Forma dun richeinduit eur coiiverte brillante Comment dii peintre, enfiti, 'ingonieuctravati Des plus iant tabloauximbellit leur mail. On pense voi des fruits des fleurs fratches sicloses, Et botredo nectar dans uti boliquet de OSOS. Ainsi, quelque obj et qui 'Offrenti nos yeuX,

Vous que dolia e ciet de curiosito, Belle. de ces trauaux sente donesta beauth Mais hies Dolrs Durneaux ou veilled'oeil dii sage,