Œuvres de J. Delille

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Tranquille, ii volt oulor te long cercle de temps;

L 'animal inquiet sΤύtonne de se felix; Nos Champs ouvrent leu sein auriendre amant de Flore; Par son Ouine chaustas, totis te fruits Ont olore Un suo silicieux circule et les nourrit. Ι 'herbeis se montrer, te soleil l'em bellit. Sur Ces coteaucrianis, ta vigne florissante Dύplo te auxJeu charinsis a Duille renaissante, Ne craint plus leo imas potir Se tendres bourgeonS,Nicles eaux quo dii ciet lancent les aquilon S.Ce ut ce beau printemps ceti clarisi se Onde, Qui satis dolite clatraria naissance dii monde.

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Des Centauros adis it fouilla te repas,

Et ses coupes servolent Sinstrument auari paS. Ah lo in de totis ces malix que te lux fait naitre,

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Mais dans mon corps glace si mon an refroidi Me si nil de tentor unis ori si hardi, C'est votis que 'aimerat, pro seu ris,inde pures J'ira dans Io forsit couler ma vi ob SCUTO. Dieux que ne suis e assis auxioriis dii Sperchius lQuandio urrat e foulercle beaux vallon dytisimus loti l qui me portera surde iant Taygὐte, Et d' uti pals Duillas Ombragera a tote Neu reuel sage instruit des tot de l'univers, Doni 'amo inobra labieras fronte les reverS, Qui regat de ei pitio