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s agit ici. Ses Duilles soni plus longue et plus large quo colles decla laitue Pelles soni divisees comine celles decla ro-quette, blanchati es, paisses, dolices au tolicher; la ligo est haut de de ux ouiloes, pa isse 'un Oist, entourde, ver te ominet, de Duilles longues et opineuses, d'o sortune neu blanche: la semetice est longue et auite les ra
appeter par Virgile ex acanthi A l'ogard duriterre blanc,
pallentes hederas, 'a dria remar lusi que nou ne connoiS-
Ιl in dans le texto, sub oebalioe emini me turribus arcis Corycium idisse Senem Tarente est ici appel&OΕbalia dunoni cs balus, venia de Lacύdomone datis la Lucanie , Ouit tablit uno colonie, et bati la ille de Tarente L Ga- Ihse, auio urit hui appet Galeso, coule dans a Calabre, et se di charge dans la merii h de Tarente Coryce tot une ville decla Calicio, at ourd'hui nomini e Curco, dans a Caramante , vis-5-vis 'ile de Chypro. Ili'y a personiae qui ne sente a beaut i de ce orceati
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IL a culement dans le texte, illi tilim, atque uberrima Pinus J'cti ai ait ontendi e datis, traductiori te siritable Sen S, qu'aucian traducteur ne paroit voti salsi. Ces illeuis et es ins tolent destin si h urni non seu lenient dei'Ombre u attre dii ardiri, mais encore dumiel et de lacire esse abeilles. En esset, ces arbres sontinctiaeti X et Plein Sile suo Volici potii quoi Virgile a dii ci uberrima Pinus; et
Ergo apibus fetis idem atque examine multo
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cun des arbres, 'lu'il nomme Sena ulmOS, duram irarum, vinos jiam Prima ferentes, jamque ministrantem Platanum PO- tantibus umbi tis. En esset, Virgile, dans out e morcenii, reprosente e vieillarii commemn cultiva teur habile, qui avolt su perfectio ne te ardinasse Au reste, e secret 'a poliatύtsi inconnulli modernos. J'ai vi h hau ines une allύe en-tthro de illeuis qui avolent lytransplantos tros grands, et qui volent partallomon ropris. Plusleurs endro iis de Marly grace au sini di fameli machinisterae . Sύ- basti en se troi vhrent Ombra ghs, comme di Fontenelle,d'alisios arri vcles de la veille Mais e qui tot u prodige che te vieil lard de Virgile, cesse de l'hire che les rois et les
Aussito que les belli es sorit tablies dans ne ruche, leur premier so in apros avo ir bouelisi Vec la propolis totileste sentes de leur nouvelle demetire est de re uellii la cire. C'est surde fleur qu'elles voti l chercher, et e soni Iessitamines illa potissihre de ces fleors qui Durnissent la matthre premihre La nature les a quipsies de totis Ies instrument propres hietteusicolle Delle a horissyleurs ambos de potis tris longs, qui leti servent Dramasset des petit grains de potissiore ille a insinagydatis te deii dei nihi es une petite cavit qui prύsente la forme d'une cuille ou d'une pa- lette crevse, poli faciliter te transpori de leur moissonet en monte temps elle a nil la sipense d'un estomac particulier, datis teque les abeilles fori passer la ire et la prύparent.
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une spsice d'analyse, avant que de polivoir etre employsie ave Succhs M. demi alimur, hinui nous devotis cette dύ- Couverte, et qui Π'avolt pas encore reconiiuria nocessito decette prsiparation, avolt imagiri de se passer de abeilles, o de Dire de a cire toti comine elles 1 avolt les matύ-riaux rien ne tui paroissOit si simple que decies metire en uvre mal aprbs lusieur essat infructuetix, i fallutabandoniae te projet; a Dolivelle manufacture de ciren'cut a licii, et ii ut forcii de reveni aux aneiens Solivriores h celles declamature, qui travailiolent plus habilement et plus scirement que tui.
heures, des rayon d'un pied de haut et de si potices de large, qui conte Olentii h de quatre mille alui oles.
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Les abcillos travaillent 'abord ait haut de leur pariter
c' est i qu'elles attachen leur galeaux, donicia directiones perpendiculaire licia has de la uelle Cotto mi thode paroit avoi bien des inconvύnients. Our ille est, ourainst dire, suspendite enci'air Letoid de alvύoles, et des magasin de mici et de cire, embleroi devoi faire cratndre potir la solidit de 'olivi age; mais nos architectes nipourvula Out Iis attachen d'abor I les raFons avec negli extromement visque use ave leur propolis iis multipliciat de totis coisis es attaches, et ne nύgligent rien potirassurer te fondements en mome temps, ou diminuer lepoliis dia aliment, iis donnent aiax cellules la moindreopaisseu qu'il est possibie et comine les inconvύnienis naissent les uias des utres, et que te peiid'ύpaisseur de cescellules le mettroit hol) d'ύtat de hsister ait Ouvementperpsitiae des mouehes elles iit soli do forti fier 'uni ebori de cire t 'entrύ de leur alvsiolos, comine tant laparti qui doli solis frircle plus, et qui sera altaquύe te plus
Elles ne se Contententias de travaille hin seu raFons elles en lsivent plusiourch-la- is, qui soni parallhles enire euX, et qui, attachsis galement is a volite de la ruche, tombent aussi perpendiculairement surda base Ii in Ou-jour entre les disi renis rayon uri space Vide, propre alaisse passer deu mouches de fronta ce sont les grandes rues de leur cito De plus, ellosint mi nassi diffsirent pe
Alias la communication paroit for bien tabli entre les dis rentes parties de leur empire, et a Correspondaneeentre les citOyens petit ire fori prompte. Clinque xayon est compossi 'un doubie an id alvsioles qui soni adOssos les iis contre les utres, et qui Ont nebas commune La figure de 'alvsiole est uti hexagoner gulier, , si pans Pappus, famev gύombire de 'anti-
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quitsi a prouu que ceu figure volt te doubio vantage de rempli ianisspace sans Haisse de vide, et de re fer meri plus grandisspace dans te mome contour; et i est bien trange que les abstilles aient prsicissiment choisi uren contro, entre ne infinit de figures la seule qui psit rempli exactemen dein condition aussi essentielles Lafigure de latas est uti pyramide formύe de trois loSanges parsaltem ent gales le quatre angies de eclosanges Sontencore si heureusemen combinsis, et leur Ouvertiare Sidan une telle proportion, que la ire se trouVe employsie ave la plus grande conomi possibie en sorte que Oute autre losange, compossie d'angle deuout auire grandeur, D'auroit pia procurer te mome Vantasse. . oenig, qui
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clies qui dolventa naitre Les alvi Oles destinsis avx uvribresson les plus petit et en trbs frani nombre les logements qu'occupet Ont les siles sont en Oindre nombre et plus grandS; et la monte combinaison se troiave ou les logement de reines, qui sonicies moin nombreu et les plus spacieii de tous, doni, seu phse aulant que inquante alvsioles ordinatres, et qui soni es palais de cette petite ville. Les abeilles conservent encore i hexagone poli te al-Vsioles de males, et se contentent de leur donne plus d'ύ- tendite; mais elles abandonnent cette figure potir es cellules des cities, qui sonivi'une forme arrondie, oblongue, et e tota asse irrogulthre. M. de Bu on effraysi des merueilles de lyarchitecture et de la)ύomsitri des abeilles, et se refuSantra leur recon- Dolire ne intelligen e qui auroit surpasS la notre, aessaysi 'explique totis es fatis par te hcanisme seu l. u es hexagones, dit-il, tant vanisis, tant admiros, me seu umissent une pretive de plus contre renthousiasme et lyadu miration. Cette figure, oui gύomotrique et tota te siguti libre qu'elle notis paroit, et qu'elle est dans la sphculation, un'est ici'u'u rosultat insicanique et asse impars ait, qui
u stamment cette figure dans leur formation. Qu'on Observe udes petites cailles de la penu d'une OUSSette, o Verra uriu'elles Ont hexagones, parceque chaque caille croissantuin mome temps, se nil obstacte, et tendi occuper te plusti d'espace qu'il est possibi datis uti space donnsi. O voltu es momes hexagones dans e second estomac des animaUXu ruminanis les troiive dans les graines, dans te cap-umules, dans certaine fleurs, etc. Qu'on remplissem ValSu seau de pois, ou luto de quelque utre graine cylin- ιιdrique, et qu'On te ferme exacteinent, aprhs y voir etsi
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i autant 'eau que te intervalle qui restent entre cesι graines petivent en recevoir; qu'On fasse bota illi cette cati, ιι totis es cylindres deviendron des colonnes de si pans. v n e volt latrementes ruison, qui Si purement mo-umanique haque graine, donicia figure est cylindrique, si tend par Son rennement ci occuper te plus d'espace pos- usibi datis uti space doniih elles deviennent outes nύ-u cessat rement hexagones par a compreSSion siciproque.
u pace possibi dans uti space don se ii est donc si os-ι Satre nussi, uisque te corpS de abeilles est cylindrique,u que leur cellules Solent hexagone par a monte aisoriti des obstacles siciProqueS. Cette explication est assurbinent rhs ingύnicuse maisi'ose dire, avec te respectriue l'on doli hin crivain te quo M. de Busson, qu'elle os en ore insuffisante. Un des fatistes plus certain dans I'histoire de ces insectes, 'est que totis les Ouvrages de leur petite sipublique ne soni fait que pardes olivi thres, et que les males et les reines, Oin de contribue auctravati publics, 'Ont a mome resu de lanature les organes et les instruments qui Son propres. Or, si la rogularitsi de ces lusioles 'avolt pas 'autre causoque celle quem de Bunon tu assigne; si elle 'i tot pro- duite que par necio mocanique, et par a compressionri Ciproque de Ces insectes, combino avo leti figure, ii est certain que totis es alvύoles aurolent la monae formem lamoni dimensio , uisqu'd soni totis construit par esolavribres Ceii des males aurolent a sine grandeur; ceu de femelle aurolent la hine grandeur et a momefigure et l'on ne verroitioin cette tonnante proportiondii nombre de disiarentes cellules avec te nombre des diffsirentes mouches qui dolvent mattre Au reste, e OUmetscette observation au jugement de M. de Bus ii lui-mome.
Leaniel est uti matthre liquid qui se troiaveratis Dd du
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calice de fleui si dans se petitos glandes que M. Linnariis
a dcouvertes le premior Cette matthro sort Ouvent des glandes par transpiration se rύpand ait Onil dii calice, et se troiave momo quelque is panchsie sui cles Duillos. Les anciens donnoten au te uiae origine bicia plus noble iis te res ardoient omni une ossi qui tomboit duciet, comine ne transpiration de 'ai ou es astres quis'ύpuroient. Ceci serto explique te premier vers deme iure, Aerii mellis coelestia dona Cos detix pithotes ne soni pus, commein seroi trientsi de te croire 'abord, des mois vagues et rillanis, qui ne servent qu'h rempli et 'lu' Orne Iesvers elles sontes expression juste et exacte decla malavaise physique de C temPS. Les abeille on des organes propres ourcia r colle du
dans te premier estomac oti l essule, comine a cire dansle seconis, ne sphce 'analyse et de coction. ne partierest pOur lamourriture de 'insecte, et 'autre est rapportoe
'est la parti quem Linureus appelle te uectar.
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fidblement dans la rucho, et sipossie dans Ies cellules, potiria subsistance ourn althre des molaches, et ouestes provisions 'hiver Une remarque rhs curieuse, 'est que les cellules qui renferment Iehiel Ont les abeilles se nourrissent totis les Ours, restent Ouvertes, audieii que celles qui servent de magasinsiour 'arrihr Salson, Soni fermύes avec Mn COU-vercle de cire.
Les anciens ni t plus hardis que notis. NOS Daturalistes modernes 'Ont oint ii 'exportetice asse dύci- sive, qui leur apprit si te dis renis travati stolent si lagos entre les dis renis corps 'abeilles, ou si tota te les abeilles ne 'occupent Oint successivement de dis renis