Œuvres de J. Delille

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vont quelquos is chercher de fleur hilus de doux ouos de leui ruche or ron ina agi ne bion e que 'est que detixit eues Our ne Petite motiche. Ce qui notis a instruit deces grand Voyages, e soni te potissihi es de certainos plantes qui ne croissentias dans le Volsinage. Virgile, eticet endroit, nomine des plantes et de arbi QSinti soni nissent aux abeilles leur 6colle. On conuolt te a Dan Virgilei'appelle rubentem Le sitate de a cur est coulcur de

conforme Di description que les anciens nou on laissoede cette fleur. Iis protendent qu'on volt traches surde psitateles deu lettres A S, qui, Selon elix, sontes'expression de Iadouleur que essentit Apollon de la perte duci eun Hyacintho, sitamorphossi en ta fleur dei nom. M. Martyn. quo 'a dria citύ, croi voi dans e martagon, que les holanistes appellent lilium floribus reflexis, te narcisse c6li bro par lesiodies anciens Iby a via, dit-it, des laches 'une couleia foticέe, qui semblent forme les lettres A S.

semblablement dans cette position elles se di lassent doleur fatigues. Effectivement, it tot naturet 'imaginerque des insectes qui habitent perpotvellement les sinὐbresd'une ruche, et qui dans es sinὐbres lὐvent des olivi ages aussi finis que los leurs; qui on plus de seiZe mille oux, lorsque nou D'en Von que detix, qui Ont ces eiictaillsis dis reminent que lesiotres, qui apersolvent Surementies

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' L'hymo est inconnii decla pudique aheille.

I lyra encore ici plusleurs errem s. Potirle.nire rem arquer,il est nύcessa ire de reprendi e uia peia plus haut l'histoire de aboilles. I Damn temps deci'anni e oh l'on volt dans ne ruchetrois sortes de moliches te abeilles olivi thres ora Uleis,les Dux bourdotis oricles males, et les abeilles reines Ou-hres Les semelle ou los reines oti te corpsi rh de la mollisi plus grand quo colui des ouuriores, 'at suillon plus Ong, Iesmiles beaucoup plus courtes le dent Plus Petites, potnt de paletles triangulatres, poliat de brosses, totas te Organos dii travai sacrisios en faveti des organes de la 6116ration , oh la nature a mi ui apparet singulier, des ovaires normes Our la grosseu de l'insecte, ii vi am- merdam a compisi, dans le tempS de a plei ne ponte, plus de inquante valSSeauX, hii cha uia reii 1 inolent plus de di sept use, et totis plus de in 1 mille de ceu qui

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i tolent visibios, satis comptor uno foulevi'autres qui, D'ύtant potiatin core formiis, et ne devant se di velopper que succo Si vement, chappotetit avx cu et a lacio iapo Aussi arci ne belli petat-elle Pondre usqu'li detix conis ei se pariour, dixit douge mille dans l'espace de sep sema ines, et pi h de rente ii quarante mille dans o cours 'iane an nou. Les Dux bourdonMou les males soni privss, comme laret ne de toti te les partie propres au traVail, et n'on quoles organes distinctis de leur sexe, tandis que les Ouvi thres fournios de totis te instruments ΠύCessatres Ora les Mura GeS, anquent abSolumen de tota te organes dii plais irqui potiri olent Ies en distratre.

La reinem os destin si qu' proditi reclamation, les malos Draco de la reine, et les olivrthres h faire dii nitet o de laci re et ii emble que cette sipublique essemble asse h

Illa id facile de connoitre les Opi ration des ou Vrisi res; ellos soni hiύcouveri melles des males et des femolles totoni

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Ce quo di ici Virgile deri' attachomen des bellios potir

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Τὸ Et laisse dans la plate et son dard tria vie.

Les heillesint, dans l'inthi leur dii ventre, ne petite bouteille de veniti, situsi h la racine de leur alguillon. Cetaiguillon est unquyau creu qui renferme detix petits dards, donici sextrύmit est allisio comine uno scio; les dent decet te scie soni dirigoes commo te fer 'tine ηὐche, en sorteque e traitisin bire facilement dans a plate, et s'en retire trbs difficilement. Aussi labenseatice des ab Oilles leti est preS-que Oi Our mortelle. On volt par l que te pardori des injures evroit ire ne des premihi es tot de celeiapte.

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-Τ Et lorsque cette nymphe, at retour de hi vers, Redescend tristement dans le gourere des merS.

Lo coiicher desit lades indique ici a fila d octobre, ou te

commencement de novembre. Ill a dans le texto, Aut easdem sidus stu9iens ubi Piscis aquosi, etc. e commentateurS Soni fori partapsis Surie que Signifie te mot Piscis Le Uns pensent qu'ilis' git dii signe des o issons, qui se huc en effetapros le Coucho des lotades les utres, que Virgile avolatu sis igne te Dauphin La uiue protendinu'il aut ontendi e par coemo la constellation deri' Hydre, ce qui paroit molns vrai Seml,lable Dryden, ave molns de fondementencore, a suppossi 'lu'it4'agisso it dii Scorpion.

L'hiver est une salson critique potir es abeillessi'est dans cette salson 'lu'elles oti te plus besoin de a protection dei' homine, et ii faut que se soliis commericent oti insembleque ceu declamature finissent. Ellesint alor deuensia uxit redouter, te froid et Ia tamines et coequi augmente te ange de leur siluation χ'est qu'elles ne petivent guore Chap- per lici'une des detix, qu'en succonabant hci'autre L froidies tu dans es hivers rigoureux et dans es hi ver tropiloux , 'est la tamine. Les abeilles sonicies plus Dileux de insectes qui habitent notre climat. Renfermύes en petit nombre dans Dii rocipient de verre, elles Serolent ethes par es Chaleur de noti e printemps et lors tu'elles sont entaSssies par millier dans tineruche Ombreuse, at milieu de leur retranchement de Cire, ouies apeur chaudes qui 'exhalent di miel et de lacire, et te solour perpotve de dou Zera quinge mille habi-1anis, entretiennent datis es our froid de anuior ne

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ehaleur gales collo des beaux our de noti e tύ, Ollos sontencore salsi es par es premier si Oid de litvor ceu qui arroterit a vi gsitation et a Daissanco de fleur sum sentPOur les plonge dans uri ongo ui dissement qui rosso ibi hia mort Cetto spoce dedi thargie est commune a lallia partiles insectes Dans cetitat, tolite les solictions animales sontSUSPendues la transpiration cesse et conam i ne se ait plus de perte, it 'est plus besoli de siparation. Cet talia'est o in funeste aiax ab cilles il est monae avaratagelaxpourdes proprio latres des ruchos, qui conserventigalementleur te et leur moliches mais si 'hi ver devient troprii te, et que Ie rigue ur dii roid augmentent, l'engotii dis Semen devient angere ux, et a lothargi nibnera lamori. ou prsi veni cet accident, i faut donii ero leui stogement i 'expositioncia plus haude ii faut avo i te solii

engo tardissemenis et en reprenant totis les moti vement dela vie elles en essentent totis es besoliis Alors elles sontrύduites a consomnie les provision 'lu'elle on amasssies, et solivent Parrive que leur magasius soni pulsi s avaritie retour de beaux ouus et des setius, et alor elles sirissent incluitablement parci famine Le renaside est encoretro simple. I ne 'agit quo de metire u bas de la rucheune assiette pleine de iel, fur laquelle on aura Culementie solii d'ύtendi eine fouille de papier perco de petit trous, asin que ceti liqueti gluante De mouille et ne colle pasleur alles Ceriu'il de difficile, 'est de tro livor te de-gr de fro id , a tempsirature convenable qui maintienneles abeilles datis cetin Ioui dissemetit utile qui monasse leui s

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I 'animal doni parte Virgile est laneigne de a cire. Commele mot telne 'a oint de nobi esse dans notre langue, eme suis servi dii moti insirique de chen ille Effectivemente'en est ne, qui es sui te insitam Orphose communes auxchenilles, et se change Dia in de ses our en phathiae upapillon de nuit. Quoique cet insecte Sol trians arme et Sansdύfense, 'estri enuem te plus angereti potir es abeilles. Le Delon et talusepe armύ d'un alguillon redo utable, es altaquent ii force ou verte, et leur ivrent uia combat ou-jour psit illeu potariux, algrsi a supύriorit si de leui Marmes La eigne a des moSens plus sur et mo in bi illanis; olle les prendiar la tamine, sape leur murailles de cire,dsitruit leur provision de bouehe, et nyemployant que laria se et se talenis, parvient Souveni h se rendre, an dan-ger, alti esse 'une place que la valeur aut Oit pia dispu- terra a force Volci comment te ait arrive L papillonqui vient de ceti chenille Di faveur de latuit, 'introiluit secrbtement dans a uehe i traverse uia camp equinZe mille onne mi bien armύs, et a spo Ser ei Silenceses inuss dans unio in de leur rayons I 'oeu vientd clor ut insecte se dorobe 'abord , par a petitesse, MXJeu Vigilant des abeilles biento aprbs au moment qU SIAETOS- seu potiri oit e trahir, il4'enveloppe d'une petite coque de sole, qu'il fortitie de ovi en our, et qui devient enfin imponi trahi h leur alguillo n. xl'abii de ce retran Chement, ii se nourrit imputasiment de provision qui soni upi hs de tui. Qua nil elles sont puisses, i filemne notavelle sole,

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si osse que 'autrae sonii suillon est si me uririer, qu'un Observateu ayant thisi tu i ta ambo par uti de ces fre-lons, en perdit connois sance penda ut quelque momentS, et eut larisiure pendant de ux ou trois ours Cet insecte Sero it fori angereti pota les belli es, an Sa lourdeur et te bruit de son vol qui avertit sa prole et Duilla Sa voracitύ. Les autres animauedon il est partesdans ce orceati, eis

La seule mala die a laquelle les bellies solent Helles,

Ι 'herbe dia centaure est, his que pense te phre Laiue, la etite centaui e Son noui tui est veni dii centaure Chi-

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des raυ olentia, que Virgile donne vi centaureum, ne On-vient Oint licia petite centauroe, qui a ne deur douce, asse Suave, et qui ri'est qu'ambre auIoui.

Les commentateursint sitsi fori partago su la qualitsi de la fleur doni parte ici Virgile. Il est probabie qu'il s'agit de raster Atticus Cette neu potisse iTune eule tigemia grando ombre de rejetons, instentem Siluam uno de emite Sondisque est auiae, flos aureus Pse; mais e raΥΟnS Sonti Our- prsis, sed in foliis, io is sublucet Pur una Hi9M. Indspendam-ment decla conformit de coite fleur avec ramellum de Virgile, ceti interprsitation est appuΥύe Surda meilleure autOrit possibi en ait de botanique celle dii sitobrem de

Ce passage est te plus difficile de olite les G orgiques. Je cro is que Virgile velit parier ici de latasse Egypte, au- trementio invisi te Delia Celay forme uti trianglea Canope formel'angle occidental, Psilused'angle oriental, qui est te plus volsin de la Perse Ce quo Virgile appelle les consitis de sangle siridional est Ι'endroit u le Nil en se divisant, reprέsente uti delia Mais comment Virgile a-t-ilpii dire que te Nil descondo it doci'Inde Uuet, poli levercette difficulth nous di que les anciens croyolent que te Nil preno it a fource datis es Indes mais i est prolivoque dii temps de Virgile, on tot diitrompsi de cette er-reur; 'ailleur il 'est a beso in 'avoi re Our a cette