Excerpta è veteribus poëtis: notis recentioribus brevioribusque ..., Volume 2

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y si pastorale. Noctum versam manu , versate Hurna.

Allusion a ce vers de Virgil : Si canimus Πνas . Ilvae sinaeonsula una Egl. 4. - Versibus impariten iunetis querimonia primum . . Post etiam inclusa est mei sententia compos νο

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Absentas alios suspirat amores M.

. Musa dedit fidibus Disos, puerosque Deorum, Et puAdent victorem et equum certamine primum Et iuvenum curas, et libera vina reserreis,.

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inire de France Ces deux ouvrages soni bien Oin Petre par- fatis iis soni remplis de fautes de chronologie L style en est meiquefola meroque , mais e plus ouvent dur et barbare Caqui en ait e pri , 'est que les salta soni angε dans unorcte clair et et, et que les caracteresa soni bis peinis, et fouventis v seultrait, I paraltrait par e vers. que es Franctis furent les inven- teursis sonnet il est certain cependant que Petrarque avait compose les siens qui soni si iustemen celebres, avant quest ons'avisa e France 'en laire, a molns que ron ne dis que Petintrarque et les uires Italiens on emprunte ce petit poeme des

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a Libraisera Palais . Paris.

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eo 'Epigramme , plus libre , o son inur plus borne

Sophonisbe de Corneille, ne a fit pas ublier Ce mete vategoriamementis genie apable Facie lota . ni eut em m44 4-tudo atria renario a te audiis,

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Laisaison utrage enfin uvrit Ies oux L ohassa our amat de disco ur serieux , Et, dans tous es crit , a declarant infame, Par grae Iu Iaissa l'enire e I Epigramine, Pourru que a finesse , eclatant a Propos , Roulat surcia pense , et nota a surrae mota. Ainsi de inutas paris Ies defordres esserent.

n Moi qui uous alme tendrement

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Lardeur de se montrer, et non a de medires Armura veritet u Vera de la aure.

Put entre dans uti vers saris romprecia mosvre. Perse, en se ver obscur mala ferrea et preolano ,

Assecta denserme molns de mois que de sens. 3 Iuvenal, eleve dans Ies eris de I'ocole , Poussa usqu'a rexces a mordante h3perbole. Ses ouvrages , out plein dastreusea verites , Elinoeleatiourtant de sublimes beautes. Sol que suris ecrit arrive de Caprde Caius Lucilius chevalle Romain , ut inventeu de la --

tyre, en tant qu'elle estis poeme, doni a fin est de represedre les vices das ommes Quoique les Grec aient composeides o Vrages satγriques, 'est-a-dire , mordans , i est certain qu i ne leu on donnet irae caractere, ni le our de la satyro Latisio. est e qui a ait dire a Quintillen, avra tota nostra est. Horace , dans a premiere satyre , di de ce Poete: ast Lucilius ausus, Primus in hunc operis carmina omponere morem, , Detrahere et pellem, sitidus qua quisque per oram Cederet, introrsum turpis , . . . T. MARC.

Imitatio de Perse omne aser vitium ridenti Flaccus amico, Tangit et admissus cireum praecordia ludit., Callidus, excusso populum suspendere naso M.

Voyea a vie vers a fi d volume, et is dirieme satyrequio est commentεe.

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Chareres, en ly 3. ut quesque temps chanoine de a Cathε- Male de eite ille , et s acquit beaucou de reputation par se meties: 'est lui qui te premia fit des satyres en vera Fra ais. Grandisombre 'en ession obscenes et de termes ignotiles ex