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des chrsimoni es' ; la magnis cenee des tentures doni les sigilses, jonchges de fleurs et ii 'herbes odoris rantes , sitaient ortisies ; larichesse des volements ecelsistastiques, et les Chanis saer6S, PrἡSen- talent ian Charine attrayant potar la multitude ; mais encore la
temple, y entendati une messe haute et solennelle . Ce n'htait pastine affaire laissέe ali clergέ seul ; cleros et laiques y concouratent paretilement. La messe tenait te Peupte attentis et toujours enhaletne, et constituait, si je puis me servir d 'une ComparuisonaUSSi profane, uri grand drame , Partagsi en plusi eurs acies distincis, datis tequel l 'int6rot, tot ours croissant depuis l' introit, sitait portύ au comble aia moment de la conssicration et de lacommunion, qui en sita it te dύnouuient. La langue dans laquelleon la c6lsibi ait siluit encore entendite de la Plia pari des assistants. Les Chanis ne se consondalent pas auiant qu' aut our 1'hui aveo les lectures'. Celles-ci sita lent plus nona breuses et Plus Varisies, et
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e ux-momes devenias populatres et retentissa lent dans les festins ;on e tonnait les litantes en allant ali combat .
La chrsimonio de l' os frande , bien plus inthressante, avait unio ut aiatre caraethre que cellai qu 'elle prhsente actuellement. Tout te monile y participali, h l 'exception des catsichumhnes, des ph-
Ο utre ce qui sitati tisicessat re potir la communion des protres et des laiques, et ce qui sitait desti iasi potir les eulogies , on offritatissi illabord totites sortes de prsisenis, qui plus tard durent oti edsipossis dans la maison sipiscopale et non plus apportύS h la messe. Dans 'siglige, i 'sivoque recevait les os frandes en pareo urant Suecessive nient totis les rangs des fidhles. I 'archidiacre prenait les holes de viii, et les versa it dans uia calice que tui prέsentati le ous-di acre; celui-ci villait te calice dans une clavette porthe parian acolyte. Le patia silait offert fur des serviettes blanches etdsipossi dans des corbe illes '. I 'ancien usage dii baiser de palxs'ύtait conservsi dans ces temps de guerre et de Vengeance aprhsta conssieration, les homira es s'embrassatent entre eiax, et les femines enire elles'.
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parati h ce sacrement, sitatent, comine on Sait, d6signύes Sotis te nona de catsichumhnes. Les cathchumhnes se divisaient enquatre classes, sui vant Gabriel de l'Aubespine '. A la premibro appartenaient ceux qu'on instruisait en Particulier datis leurs mai- sons; h la seconde, cev x qui, aPrsis cette Premthre instruction, venalent entendi e les sermons dans l'hglise, et qui se nonam aienth cause de cela auditores. La troi Sihine classe Comprenuit celax au'on d6signati solas tks nonis de oranteS et genuflectentes, Parce qu' iis avalent la permission d' assister aiax sermons et aiax Priores, et qu' iis se mettaieni h genoia X. Dans la quatrihine sitaient ran
tionis d 'electi ou de competentes. Mais gέngralement on ne distingue que trois classes de catsichumhnes, savoir : les auditores.les genuflectentes et les competentes .
sidoles communieratent, non plus de leurSPropres mains, mais de celles des protres Grancolas, ibid. , p. 323 . C'est h ces anciennes pratiques observsies par Ies chro tiens , de se donner te baiser de palx, deprendre lyhostie dans leurs mains et de
des Marettes s V ages lituroques, p. 170 et 248 .
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T. Mais il est encore ii 'autres institutions eccisistastiques qui . dolvent noras arroter ian moment, parce quelles sitatent une notivelle cause d 'influence potir te clergsi, en monae temps tu' elles multiplinient ses Potnis de contact avec te peia Ple. Le Peu Ple, comine nouS ailrons Solivent i 'occasion de te rem arquer, enti ait totat eniter dans les temples, depuis te solavera in jus tu' au serf, depuis i 'homine PleuX et sans reproelie
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sans offrir et satis Communier. Les prosternύS, nonam os a in Siparce qu' iis se tenaient eo uelisis la face contre terre pendant quel 'sivoque leur imposuit les mains et rhoitait fur eux deS PrihreS, D'htalent admis h la messe, de mome que les hcoutants oia test sinitenis de la seconde classe , que potir entendre les lectu res et
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multus tui mesceris Pane tuo'.
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privations et h des mortifications de totis les genres. Iis allatenties pieds Diis et la tote rassie ; leurs volements sitaient grossiers,
lugubres et dύchirhs. Condam sis h uti deuit et k une afflictio continuelle, iis se frappatent la potirine, iis se coiivraient de
cendres, falsatent abstinence, jesinatent et ne PouValent contracter mariage'; on les ssiparait de leurs familles et monte, s' iis sitaient marisis, de leurs femines et de leurs ensanis. On leurmettait les fers avx pieds'. L 'exercice de totale fonction pu-
c. 19, 27, 28 et 29, dans Baluge, t. Ι, col. 1246 et 1248.
ia missiricorde divine ' Voilli potarquoi
nous lisons dans les thgendes tant de mira-cles de fers ou de liens brissis. Les hagi O- graphes avesent soin de rapporter ces' Voy. Annal. Bened. , IV, 7, t. I, p. 87-88. Voγ. avssi Rudolsi, monachi Fuldensis, Vita sanctoe Liobin, abbatissm Bischooheimii, dans I. Fred. Schannat, Hist. Futa. , probat. VI, liti. G, p. 8 .
de mome que les gardiens des sigilses
Lalande, Suppl. Concit. Galliin, p. 322, et dans Ie recueti des Hist. de la Fr., t. IX, p. 324 c, d
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stastique'. Celle-ci avait d'ailleurs une sanction suffigante ellesi aps ait d 'excommunication te psinitent rebelle, et i 'excommunication sitati une mise hors la loi, une esphce de mori civile. La psinitetice publique sita it, en outre, dans les minurs et une
solite , extrajudiciatre, si je puis parier ainst que la sentencesilait h la usiritsi antinationale, inique monte, pilisque la d sifense
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tution, doni te principe sitait juste et urat, et te but morat et saint, agissait avec force fur l 'imagination des Peuples. Cette longueste de psicheurs qui venalent solis te cilice et la cendre crier mi ssiricorde devant les fidhles, et qui mettaient Sept ans et plus potar arriver de la porte dia temple jus tu' au pied de l' autet, salsait vivenient sentir a totis te prix de la jouissance des droiis religieux et te matheur d'en hire priv6 ; chacun, tsimoin des aus-tsirilsis que les coupatiles enduratent sigalement, soli qu' iis fus-sent de la condition la plus 6levsie ou de la plus hvmble', restatisrapph de la puissance de l'Eglise et salsi de cratnte potar ses
terdit , et, dans certains cas, sa succession sitait dύclarsie ou-