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pour tui. Elle sitait de plus la colonne dia moyen age, satis la-quolle l'ύdisice sociat et la civilisatiori antique sussent tombsis ensemble dans I 'abime. N e perdotis pas de Viae que les institutions qui, dans les temps modernes, et Principalement de nos jours, ont agilsi tes Peuples,
ciat ; mais it seruit injuste de dire que te clergsi avait plongsi et
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rant te risque de ho ut everser la soci sitsi, i 'Egli se te falsa it totas les j ours, dans te moyen age, Sans la Cona Prometire , et Inhmeen la rendant plus tranquille et plus statile. Quelle monarchie, quelle i sipublique potarrait, Par exemple, Proclamer impunύ- ment ce clangere ux droit ali travati qui parati menacer noti e civilisation P Eli bien, i Egli se osait plus en ore. Des deuX grandes classes dans tesquelles la population fiat de to ut temps divi-ssie , saxo ir, leS riches et les Palavres, i Egli se ne cra ignati pasile se charger de la dei nihre. Elle mettait dans son tot totis cetix qui n' a valent rien, et s inquisitant Peu Potir elle de leur nombreni de leur exigetice , elle leur disait que ses hiens sita leni h eux ;elle les installuit chea elle ; elle s' obligenti 5 les noui rir, et i sigi ait
mal si te danger de teis principes, te clergύ sui rester riche aumilieu de ces missit abies et satre respecter Par elix ses richesses et son autorith. Sans dolate que dans uia pays dsipet pisi par labarbarie et dύcimsi par des guerres et des mala lies continuelles,on Potavait trouVer plus aissiment place imur totit te monile ;mais ce qui savorisait te plus te respect de i Eglise , ce qui constituali usiritablement sa force, c 'sita it la sol de ses seuples ; et
et article de sa constitution : Boati qui lugent, ne les consolati Pas molias que Sa charilsi.
Decadetice de la societo ecclosiastique.
25. En signatant les principales causes de la popularitsi duci ergἡ en France solas les detix premihi es races , i ai laissἡ d 'axa iace
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ti si leur y rhgnent a la place dii tumulte et des passion S populatres. DePUiS que les communes se soni forna sies, les holeis de ville et les places publiques lui ont, potir alia si dire, enlevsi la moltiύde ses attributions. Depuis que in servitude a sitsi aboli e , on acesssi d'y courir potir y recevoir te prsisent de la liberisi. Depuis
' DeS fragmenta hiendus de coite premiore Partie Ont hisi publiἡs datis te Bulletin dela Soethth de l' Histoire de France.
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26. Anciennement i 'sigii se Νotre-Danae, comine la Plia partiles cathsidi ales de France, formait une esphce de principauisi, rivale des gran is si ess de la conroiane. Quoique subordonnsie kl'ύglise de Sens, et ύlevsie seu lenient depuis l622 au rang demsitropole, elle a totiio tars sitsi une des plus illustres de la chrύ-tientsi , et ii'a jamnis cesssi d 'avoir uiae grande influence datist 'ordi e civit, aussi bien que dans l' ordire eccisistastique. Elle enfut re levabie k la prύSenee des rois, qui sirent PreSque totas de Paris in capitale de leur royaume ; h la csil sibi itsi de Ses Pastetars , satiat Marcel , satiat Germain, satiat Landri, Angilbert, Solas lapi emisit e race; Gosset in , solas la detixi hine; Puis, Sotis la troi si hine, Guilla ume de Mont sori, Elienne de Sentis, Pierre Lombard , Maurice et Eudes de Sully, Guilla uine d 'Λuvergiae, Elienne Poncher, etc. I lle en stat aussi re levatile is Γ ύtendue de ses hiens et de ses privilύges, ahi nombre et a l' importance des maisons religieuses placύes dans sa dύPendan Ce. I 'sivoque de Paris semble avoir surpasssi eri dignitύ les plus hau is barons de France ; car ceu X-ci sita ierit solamis enuers tui hune obligation, qui nous parati a iij oui d 'hui fori humiliante, hoelle de te porter jus tu'h sa cath si trale te jour de son inauguration. C'ύtaient non-seulement les si res de Montmoretici, tesco nates de SatnNPaul, les conates de Bretagne, mais monae te roide France, qui recevalent oti devalent recevoir humblement Sur
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Cependant la dignith de t 'sivoque, si siminente qu elle fui,
sita it lotia de tui coni rei' une autorith indύpendante et Satis Controle. Au Contraire, elle te placati dans tine sit uation sori Com- 'lexe , oh il avait deux mait res h satisfaire et uti rival h nasin ager. Ses mattres sitaient te roi et te pape , t 'un au temporet,l 'autre aia spirituet ; et, comme les limites des detix pota voti ssitatent solavent flotiantes et solavent contestsies, it se troilvait nύcessat rement impii lusi dans leurs confliis. Son rival siluit lech apitre celui-ci, api sis avoir occupύ d'abord uiae place sciri modeste et to ut ii fuit Subordoniasie aut rhs de lui, sitait parvenia, en hie dant ses attributions et ses Prsi rogatives, a se crύer D ne
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PREFACE. par ii 'autres sivoques, et se maintini dans plusleurs si ises, momeen Gaule, jus tu' uti uni' si hele, sans recevoir de dύ vel oppe mentS,au Contraire en S' aliarant de plus en plus. Le concile assemblba Verit, en 755, par ordire dia roi Psipin, se pinignit de la conduite de Ces homines, qui, a Prsis s' oti e con Sacrsis . Dieu, gardaient leurs biens et res usui ent de vivi e sotis i 'autoritύ sipis opale. il leurenjo ignit d 'observer soli la rhgle des moines, soli la rhgle des chano ines, et it 'obhir h leur ὐvoque'. Cin 1 ou si x ans plus tarii, teschanoines requirent de Chrodegand ou Rodeganti, sivoque deuet . , rane rhgle en irent quatre articles, tirsis en grande partiede colle de satiat ne noti. C'. tali une solidation Plutot qu 'une rύ- sor me; totales is elle n 'engendi a Pas encore les Chan Oines a PPelsis Psiguli ers, canonici regulares, ceu x-ci D'ayant ἡtsi institusis Ju'ati xi' si hele, dans les conciles de Rome de s059 et l063. Charie magne insista potar que totas les eccisistastiques fiassent ou moines ori chano ines'. Sotis te rhgne de son fils, te concited Aix-la-Cha pelle, de 8lT, Promulgua, en Cent quai ante-Cinuarti cles, tan rhglement potar la conduite des sivoques et des cleros tiriis tant des sic riis des Phres et des canons des conciles, que de
Cette compilation, salte en grande partie Par Λ malaire, diuere de ili glise de Meta, h la demande et fur les livres momes det 'em Pereur, qui la sanctioiana, i tali uia redueit ossiciet destin si arena Placer les ora Vrages origina tax Pour les Protres qui ne les pos-ssida ierat pas ou qui ne invalent Pas s'en servir; mais ce n ύt ait poliat uiae rύsorine, et te moment D 'sitait pas venia de rύsor mertes chanoines, attendu qu iis observatent en ore leur rhgle gύneralement . Comine nous en avons la pretive dans les articles
Concil. k mons , c. H; ilans Perra, Perin. , LL. I, 65. V . avssi GPitui. Theo-LL. I, 26; dans Bal. , I, l73. . nis Villia , a. 805, c. 9; dans Bal. , I, o Clerici. . . . ut vel Veri monachi sint, 422, c. 8; dans Perta, LL. I, 132. . vel Veri canonici. - ii l. a. 789, Dans Mansi, XIV, l47-246. c. 75; dans Bal. , I, 239, c. 76; dans
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indivissiment, satis distinction de mense sipiscopale et de mense Capitula ire, et les revenias continuhrent d 'hire partagsis fulvant
Le rhglement d'Amalaire, appli lusi h toutes les hglises de l'em l ire des Francs, y fui quelque temps en Vigueur PUi S, aprhS RVΟir sitsi transgresssi successive ment . peu prsis par chacune d 'elles, illinit par sitre abandoniasi presque parto ut au xia' si hele. La discipline concernant i 'administration exthrie ure de l'ύgliseayant hisi fortement sibrant sie Par la chiate de l'autorith centrale, fui bientot corro inpiae par l 'invasion et te insit ange des principes et des institutions de la fhodalith. 'sivoque, devenu grand sei-
relles, qu 'un potivo i r Purem erit 1 odat, et cev x-ci possύdhrent,pour aliasi dire, leurs hiens fhodalement'. Entrainhs par l 'esprit 1' appropriation, qui descendit alors des plus hautes aiax plus hasses classes de la socisitsi, et se rhpandit dans totite la France, iis se salsirent des soniis ecclύsiastiques doni les revenias Servalent
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Lx PR FACE.a leur enti et ien , et, lesayant assi anchis de la juri diction ύpiseo-Pule, Pompirent facilement les liens de la vie commune.
Des biotis de l'bgli se de Paris.
28. Nous ne connaisSons que fori imparsa item ent les POSSeS- ions de ili glise de Paris solas la premihi e et mo me sola S la Se- conde race. Il n' est Pas do uteiax qu 'elles ne fiassent ii hs-considύ- rabies, quoique noti e Cartu latre n 'en indique que detix potat' les temps antύrieurs h Chartemagne, savoir la terre dela Celle, dansle Mettinuis, ali dessotis de Montereati, et la terre de la Celle dans
plo me du imi Chil deberi, qui tes mentioniae, est te Seut document nasirox ingien que notas P utSSions Prodia ire ici, et enco reii 'esNil pas illune parsa ite authenticiisi . Les possessions de l'ύgli sede Paris solas les rois cariovingiens soni relatsies dans dix-huit
non compris les abbayes et les cures Di te cloitre de NotreManae avectes mai fons qui en dύpendatent, ni te Grand-Pont de Paris, axec testerrains et les mouitiis volsitas, ni tes di olla persus a la porte dein ville. Lesactes de noti e Cartula ire des sisicles posti rieurs notis
i' ordire des temps, mais satis di passer te xia' si hele, les terres Stai Vantes, SaVoir, dans les enutrons de Paris ' :
Voy. les notes critiques de Brἡqui V, Di 'L, p. 52. Il est question, dans Gregoire de Tours s Mir. S. Mart. , II, 12 , d une Oilla situsie dans te pays de Tours, et a partenant a l ogli se de Paris dia temps de satiat Germain, son ἡvἡque.' La Table chronologique, imprimce alasin dii tome III, en indique dix-neus;
sin dii xi' si octe. Ie ne citerat pas mos autoritHS ; On les connaitra iacilement, soli a laide de Γ dcx chronologicus dii tome III, soli , t aide de P Indei norialis dii tome IV. - Lesprincipales terres qui salsatent parite de la
mense capitulaire avant la sin dii xii' stocle. soni mar iubes illiin asthrisque.
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de Paris; elles sorat entrύes successive ment dans Son domat ne, et Plus leui S en soni sorties api sis uia certain laps de temps. Notis ferons observor en oratre qu elles ne comprenatent gύnsiralement
lia 'une partie dia territo ire des villages doni elles portent lenoni, i 'auti e partie ab ant ἡtsi possύdi e par illata tres multi es, soli occisistastiques soli latqueS. Mais nous jugerons inierax de la richesse territoriale de i sigii sede Paris solis in seconde race , et particulibrement durant leix' si hele, si notas notis en rsis rons sur ce Potnt ala concile d Aix-la-Chapelle, de l'an 8l , doni notis avons dria parisi. Nous yavons Via, en esset, que les sigilses de Premihi e classe, commed evait oti e celle de Paris, possύ latent uia revenia de Prbs de huit cent mille francs de notre monnale .L'ύglise de Paris jouissait, en outre, d 'tine fotile de re enu Sillian aiatre genre, doni ii sera pari si totii h l 'heure.