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tendent, Our se developperi, aeune circonstanc favorabie. L sectio produit cetae circonstance. Me detourne , auprofit de germes la partie u uide alimentatres, qui aurolt et employe a Paccroissemen d Ver entier de la mome,
de se grosses branches, on volt sorti autour de a Coupe, uia grandisombre de boutons, qui, an cette operation, n
se serotent pomi developpes. L. CETet explicatio quoique rhs-simple, 'est ependant DEquu pas exempte de difficultes. Suivant la notion que 'ai donneed Germes, 'est un animal, ou ainsi dire , en miniature: toutes le parties que les animaux de son es pece Ont en grand , i les a trἡs-en petit. Ost, dans applicatio de cetis ide a cas done ii 'agit it ' a que uelque parties dumerme qui se developpentia et dans e Germe plac a a parti anterieure de chaquoportio , la queue dans elui qui est a la parti posterieure. Que devient dans te premier Germecia queues dans te secondia Elea ourquoi torsque te develoopementis commenc dans queique. unes de parties, ne continu Nil a dans Outes: les utres ΤLEs Emes question ont te a Pegar de plantes: es: Germes queri'on suppos auoi donne naisistanc aux branches contenolent ne plante en petitici en tot de meme de rexd'o soni provenues te racines Les unsis es utres ne se
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CHAP. se eduisent e me senibi , I imagine de causes capabiesd'empecher te developpement de quelque parties u Germe: en effet, e ne pense a qu'on euille admetite de Germes particulier pou chaque organe is multiplier ain tes tres inutilement, an parte de dissicultes plus grandes encore plus nombreuses auxquelles une semesiste hypothese donneroit naissance. LEs caulas que nous herchons, nous ouvon te trouversoit dans Parrangement cla position ura structure des Germes, sol dans es apporis secret de ceti structure ave cesse duCorps o iis dolvent se developper Moit enta, dans diverses
Circonstances exterieures. coniectu- res ut la
LII. DE ces differentes laurces nous tirons don te conjectures vivanteriit in tes Germes destines a completer chaque portion, sont ranges a la te, a milieu, me long de 1'interieu du
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des plantes nous e murnissentis exemple qui est palpRbὶς p., . , a
D parti superieure u germe ne auroit ' developper xv que Pala libres; inferieure te craint in contraire requierione certaine humiditε. Ainsi, de la portio de la bouture qui est hors de terre , sortent les branches de celle qui est enterre , sortem te racines. La differenc sensibi qu'on observeentre la structure de la racineis celle de la lige, donne alia sanceis es differens bestins Llv I est ne spece de Ver long aquatique, en qui la Vera qupropriet de reveni de bouture est efferre dans des ornes P0Vittant
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tion, a reproduction de la εte a liei' ais ceti conjecturene ait que renuoyer plus lol la dissiculte po quoi en effetia thte exigeroit - esse plus de forceis de vigueu de la partd Ver, ou parveni ari' developper , que 'en exige laqueu 3 SEROIT-c parce qu'elle est plus composse is que se valuseau soni plus repties 'Ilis' a dans cesse reponse mu'une lueu de raisemblance , doni on a peine a se contenter I .
Disserenoeentre lamultiplica tion de hou- rure desVers culle des plantes. Multiplicationis polype par re-
LV. ON observe cette differenc entre la production de bou- ture des animaux, celle des plantes que a premiere se fati recisemen selon la longue corps au lie que celle-ci se ait plus ou molns obliquement a cette longueur. LVI L multiplication des obpesis des utres Vera parrejetto is se ait , comme celle de outure, par de germes repandus dans interieu de animal, qui sy developpent
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Os eu falae lLdessus une question les germes employes, complεter chaque portio dans animal, son iis recisementies memes qui opεrentes multiplication par rejettons ΤΟ peutra penser mais si Pon uouloito trouverisne viserence, esse ne auroit meres moi lie que dans la position. Les germes destines h la multiplication de bouture , seron places dans te mille du corps comme nou Pavons suppose is ceu qui produisent a multiplication par deuon , seront stues surcies cotes du corps, dans Pepaisseu de la eau. LVII. Os ait contre es germes ne objemono laquesse obiection
Es esset, te Foetus est visibi peu de our aprε la o Cephion Ilis don acquis alor u volume plusieur million de Dis plus gran que,'emit son volume originei COMMENT concevoi un εveloppementis subit, si loigne des progression ordinalaec Je reponds, qu'it 'est potnt a surde de supposer, que les tot qui determinent les premiers developpemens v germe different de celles qui e reglenties developpemens posterieurs o que les effets 'une memelo varient dans differens tems. Νous ne connoistans pascisse la nature de et atome o ganis S, .la maniere doni a liqueu seminale agit surraui pou decide fur impossibilit de la chola Νous uoulon jugerde e qui se passe dans le germe lor'u'si commence a se de-velopper par ce que nou voyons ' passer, orsiqu'd est svenu habitant v monde visibie Cependant i est nature depense que es deucetat dolvent tre differens Dah leur
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le secon erat, a contraire, es bres soni endurcies usqu', u certain potnt 3 cet endurcissemen augmente chaque our I 'accroiisemen ne auroit insi se Bire que lentemen , par degres out-a- fait insensibies. De plus, te sucs qui operent, soni plus melanges, plus grossiei moin actiss. Espii, la diversite des heu assignes , ces deu ages peut ὁtre ici 'une grande influenceri te plus ou e molns de cha-laur, e conta plus ou moin immediat de air, es mouve- mens plus ou molns grands, soni de cause particulieres donio conςoit efficace.
Si l'on suppolit que la nature u germe approche de celledes uides 4 Pon se te representoit ous image 'u glabuled 'eau an concevroit que a partie a plus spiriiDeuse, de lasemence, Ourroit occasione dans e globule ne expansion,
o uiae spece de rarefactio analogue a celle qui sui de pactio de deu fluides Pu fur pauim. ΜΑ a cette spece de rarefactio succede biento ici u accroissemen reel, qui est produit par incorporation des particules plus solides de a liqueur seminale Cette liqueur devient insio Pegar du gernae, e qu'estra regard de a Plantide , espece de strine que enferme la graine. UiDί que e viens de pro se fur a nature u germes accorde fori te ave pextrεme delicatesse o pluto la mouiesse qu'on remarque dans outes e parties des Imbryons. semble, que si on pomoit remonte plus haut o les tro veroit presque fluides.
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LVIss. 'u autre cote, ceti con)ecture ourra parotirene a quadre ave la conservation des germes que nous avons supposies repandus dans toute les parties de la amne. Mais it ne doli aso mi plus de dissiculte a concevoi laconservato d'un germe de Despece donicit 'agit, qu' con- cevola celle 'u globule de quelque uide que e soli. I 'eau, par exemple, se convertit en glace, 'eleve en apeurs, entre dans la composition 'un grandisombre de corps , an queries particules constituantes changent de nature 1 .
question a discuter. ous oucheron au principales. Je ne Bis potiatis trait de la generation Je parcour rapidement ceque e vjet renferme de ptus interessant, o de plus dissicile. LX. REΜIERE QUEsTION. ourquo te germes qui se sontinuoduit dans te corps de femelles oumises a lacio de a C plement, ne euven iis ' devel peri, an te secour dela liqueu que te male fournii 3 RespoNfE. Te est ici 'ordre de lamature, que 'interieur
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povi quo les germes quis introdui selit dans es males , nes' dύvelop Pentia iis
RhporusE. Les machines animales on et construites ave unar si mervellieux 'u'elles convertissent en leur propre substanceles matteres alimentatres Les preparations des combinaisons, tesseparations que es matteresis subissent, te changent 1nsensi, blement en chyle , en sang, en lymphe, en chala, en os, C.&c. Ainsi des que la circulation a commence dans le germe,dε D'il est devenu animal vivant, es εmes metamorphosess'operent dans son interieur. a diversite resque infini de particules qui enirent dans a composition des alimensurae nombre la structure, a finesse, te e des differens organes donielles prouuent actio nous persuaderolent facilement la possibbilite de ces metamorphoses, quan nous necles suturion pas a Poeil usqu' u certain potiati LXIL TRoisiEM uuEsTION. Les germes ne sqntroduisent-iisque dans e corps de femelles, o s'il s'introduisent russi dansle corps de males, po quoi ne se developpen iis que danscelui de femelles RhpoNfE L petitesse des germes, leur dispersio dans air, dans ea & dans tous te mixte qui ournissent i ta nourriture de Corps organises, ne laissent aucundie de douter qu'iis ne s'introduisent dans te corps de males en infli grandisombre quedans elui de femelles Mais cellesint etant stules Ououe d'om ganes propres acies retenis . les fomenter Q. les faire rotitre, e 'est que chea esses que la generation eui 'operer.
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LXM QIATRIEME .EsTION. Les germes etant repandus ensi grata nombre dans les Corps organisses, comment ne 'en
developpe-Nil qu'una a Bis rarement deo, dans te semetiles de diverses speces rR PoNfE. ous ne connoistans pascies organes qui rassemblent dans te femelles le germes destines a y multiplier respece. La structure de ces organes est eui-εtre telle que actio de
la liquem seminale ne se ait senti . a sol qui', n ou deux
germes seulementi ΜAI quan Ies hostes semient autrement, quan o su poseroti uerae uide semina agit en me tem sur plusleura germes, ilis' auroit aucune absurdite . admetire que inusin'ei soni as galement affectes. 1 Celui ou ceu qui te soni leptus se developpent avantage da circulation ceses uires Ou-Vemens vitavcs' operant ave plus de Orco, te uide nourri- Cier ' porte en plus grande abon dances les uires germes moin nourrisis biento affames essent de croitreis ne propagent pomi respece. LXIV. 1 on me demande ce que deviennent ces germes
infortunes 3 e reponds illis'est pas impossibi que leur pamties elementatres se rapproclient par evaporation des lac qui
avolent penetre dans te mailles, inue es germes ne se uou-vent alta dant e meme tatis iis tolent avant queri liqueur seminale ut agi fur M. APRhs out combie de graines qui ne produisent polii deplantes combien 'oeus donici ne fori potntra'oisseau Lala
pQuiquoi parmi tant de germea qui s'intro. duisent danales femelles,n' en aet-iique Mucontrois qui
gerines croissent avant la secondation mais iis ne croissent pactous galement
Ii Dacici des gradations doni nous ne connoillans a las termes Les germestes plus developpes soni apparem mentceu fur estquel le fluide seminal agit avec te plus 'avant e.
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tes Germessune memeespece sontis iis ous seni-
rere est si riche qu'elle ne regarde Ointra es petites pertes;
ce qui ne sere pas our ne fi sert our ne uire. LXV. ONΘIEME 11EsTioN. Les germes 'une Eme spece sones iis ous Duc se lables ne different-il que par les organes qui caractetissent te exessis Nil niseu uiae Lversit S analogue , celle que nous observon enue les individus xl'une me spece de plante o Sanimal ΤR poNfE. Si nous considerons immense variete qui regne dans lamature, te dernier sentiment nous parostra te plus probabie Oest mut-ette molim du concour de sexes que de laconfiguration primitive de germes que dependent les variεtεsque mus remarquon entre les individus 'une meme spece .
LXVI. J'AvouERA cependant qu)il est de traiis de resset blance entre les enlansis ceu auxquel iis dolvent te our que e ne suis potes en cote parvenu a explique par hypothes que e propose Mais ces traiis ne son iis potnt quiv ques Ne commettons-nous potnt ici te sophistae que les scholastique appellent non causa, pro causa: ne prenons mouSpoint our cause e qui 'est a cause per bossu au ensant ossu on ei conclut aussivo que Peniant ient sabosse de so pere cela peut ire rat, mais cela peu aussi et Dux La osse deI'unis celle de autre euvent dependre dedisserentes causes, ces cause peuvent varie de mille manieres. LE maladies hόreditatres Ouffient molns de dissicultes. Oncon ἰoit facilement que des ac vicies dolvent alteterra constitutionis germe. Et si es memes parties qui soni affectEes dans te per o dans la mere te soni dans Pensant, cela vient