Oeuvres d'histoire naturelle, Volume 3

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a' reduire toti a la pure mechanique Gardonsis mille :

n'en refuseron pas ne a Pindustrieus Abeille. ous tui aci, corderons u sentiment mais non de Intelligenor, encore molns de la Geonietrie L Reine affecte eu εtre odorat ou quelque utre senades euires d'une manter analogue a celle donicie ut affectoles Male de a lupari de Animaux je veli dire, que rim pressio que a Reine ait u les eutres , est purementis sique is telle, qu'elle les excite a travail. LEs petit soni apparemment fur u quelque impression sem-blable qui les determine . degorge dans leur cellules Pespecede bovillie, qui est la nourriture approprie a cet age tendre. LEs oeus different en grosseur, a Mere eut senti quel est elui qui est pretis sorti de son ventre, sentiment petat Eue associ a quelqu'autre sentiment qui determine respecede choi de la cellule. Si les ales soni sacrifies , 'est usi vient eu etre hiems o iis exhalent ne deur insupportable aux eutres; ou 'est que es ales soni fur eo quelqu'autre impression qui te irrite Cles provoque.

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gεometrique de cellules, peut 'etre queri simple resultat de Dorganisation de Abeille, plaisu attache a certain exercice de se organes.

s'εtre tenu en arde contre admiration que es Abeilles inspirent is 'avoi chercheo se fatre des dees hilosophuques de leur troail. ais 'it eu plus eludi , it ne letit pas compar qui se passe dans des ois qu'on ait bovilli dans un vase ferm exactement, qui rennent naturellement ne forme exagone a). Cette comparaison, tout auire u 1εme genre, ne repondent Oint a toutestes condition du probleme. Lis x pans de cellules ne sent pas gaux cilis en adeu oppossis qui soni constamment plus petit que es au- tres 3 . es dimension des cellules varient dans un appore determine . a mille des Vers qui dolvento rostre : ce

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29s uir auis, usque e corps de Abeilles es Flindriqu , que Πε - ν Dura cellules solent hexagones, par a meme asson des obsacies reciproques plus te son de chaque cellule est pyramidas il est

in dirai-j encore t les cellules qui servent de beroeauaux Reliis , ni une forme , ne positionis une grande. tres-differente de cesses des utres cellules a . Του cela demontre suffisamment que a constructio desoleau de Abeilles , 'est oin te simple resultat 'une mechanique ausi rostere que a pensem de BurroN, Qquoces Mouches mais e 'apper ἰois que te laisi de amiter de Abeilles, 'a Ha tro ecarte de mon sujet, e mohate ' revenir. CCXCIX ORD1NΑ1REMENT illa' a pas ne disproportio mamque de tallteis de forme entre letale Cla Femelle che les grand Animaux, une des differences es plus rappantes , est celle que presentent les cornes , les defenses, te Mis, ta crete, c. donicia ite des ales est garni qui inanquent en H-tier ou e parti . cesse des Femelles. CHE les Insectes, a contraire , it 'est pas rare de Oir de male qui different utant de leur Femelles

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tio de M. de GEER, qu'il est une ecpece de papilion nocturne, doniae file commeria femelle, est eniterement de-Pourvui'ailes C papillo singulier pro- vienti'une spes de Teigne qui habite fur es murs, qui vi de trεs. petits Lichens qui croissent. Elle se ait unlaurrea de sole qu'elle recouure lau-vent de grain de pierre M Smoires suries Insectes, par M. GRER , ome II, Part. I, page 384 , in v. Les puceronsan'on aussi fisi des ales alles des miles non alles Wils 'ont of fert de plus dans la meme Espece, des Femelle aiieesis des Femelle non au

que leser-luisantauit dans son enlance commeri ne auroit alor recevolales approchesis Male, an euten inserer, comme notre Observateur, que

pas plus en ta deri'accoupter Nous risquon tro de nous romper orsque nou nous pressons de juger de finsia ticulieres de la Nature Au restie ce petit phosphore animal Eriteroi biei d'exerce lasagacite de physciens les rechetaches qu'ils aurolent pou oriet, intereia

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che par cour pedicule , commeo iennent tant 'autres

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AP Iv. lanches, ordεes 'un heau rouge de carmin is qui se promene sur a Femelle comme sur u terrein pacleuc Savivacit agilite extrεmes contrastent si prodigieulamentavec immobilit .l'insensibilite apparente de a Femelle qu'on seroi tente de te prendre our u Iehneumo qui chercheo deposter es oeus dans a Galle. Un petit imit lo qu'il porte a derriere, Qqu'si incline continuellementvers a Galle , fortifie encore te up ἰon. ais e retenduaiguillo est a parti qui caracteris te male si ne eulque introduire dans ne petite sente place a bout postε-rieur de la Femelle, prEs de longues promenades suri dos de celle-ci , ii parvient a P introduire 'uni a cette ourde masse , de union a plus intime r . L ponte sui de rhs accouplement carcia Gallinsecte estis are, Qtandis qu'elle essemble e molns a n Animal, c'est alor precisemen M'elle 'acquitie des lanctions te plus essentielle . Animal, qu'elle 'accoupleis γ'elle donne natias ance a ne nombreus posteritε.

nent a jourci a pesne n iis commmence a sorti par eueiente doni a parte , qu'il passent mus te ventre u iis se succedent . la me. A melare que lamassinsecte se Vide, lateaude son ventre 'approch de cellera dos, quand la ponte est finie, es deux eau reuntes ne composent plus qu'une es pece de coque, qui enferme deuo trois mille eas a).Deja a Gallinsecte ne vi plus, quoique morte, o laprendroit our ne Gallinsecte vivante, tant ilo a in 'ap. parenc de vi dans et trange Animal.

LE Petit ne tardent aso eclone de , sorti par a

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tite membranes vales , legerement cannelees , artae de deu antennes portees fur si jambes, qui ourent avecune grande vitesse i).IL se repandent 'abor surrae Duilles, plus succulentesque 'Ecorce de branches mais surcia in de Automne iisse retirent sur celle-ci a . sis' fixentis perdent la faculte de marcher Iis 'arrondissent eu a peu se revεtent enfinia forme 'une Galle 3 .L couri Edicule par eque cette Galle paro1 teni a recorce, est a rompe qui et Insecte en ta de pol per te su de Parbre. ΡARMI les petite membranes vales , si en est qui ne paxviennent Ointo acqueri la grosseu des utres Cari'arrondiri Esses 'y tolent oin appellees: ce soni elles qui dolvent donne les ales. Iis ' transforment en Nymphes, en sortent au rintem seus a forme de ouche ). Cettemouch n' ni bouche, ni denis, ni rompe de oeuxsemblent occuper tu place de la bouche. Hi ne pren doncaucune nourriture toute a vie est consacre a P

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sans Vie.

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I interrompi de tem en tem se minoeunes is te reprendensuit avec me nouvelle ardeur. Il est si attache a sonora

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superflue car a renouille parvient fori promptemento se delivre de tous es oeust Pendant qu'iis sortent , lemale cramponne surrae dos de la Femelle , es arros de s liqueur; ce 'est que orsique la ponte est finie, qu4 abandonne a Femelle , prἡs avbir tenue embrasse quarante our consecutist.

rares talens dans a magnifique histoire des renouilles 1 pousse se recherches beaucou plus tot que Observateur Holiandois C demier avolt decouver dans te Male , de teiaticules me prε des eius , des vesicules seminales, Mesvaissem deferens, qu'il croyoit, comme e Pa dit, 'ounirdans e rectum mais it 'avolt oin decouver de parti e terieure de a generation. Cette decouverte tot reserve a Μ. OEsEL a): en portant son attentio fur es vesicules s minales, it ut surpris de ne leur oin trouver 'illae,' venant 1 les considerer de plus prἡs, i remarqua qu'elles coni muniquoient avec u petit corps longuet, charnu, place auhasis a dehors u rectum se ait en iniere de papilis. Ayant ensuit introduit de Pat dans te vesicules, ii vi cette papille 'elever alor il lui ut iacile 'insere dans sonextremite ne sese detores, qui en penetrant dans la vesicule, tui demontra la communication qu'si herchoit B aut consester

restris.

1 inisoria Naturassis Ranarum, c. Norimbergae I s M, enrichi de re belles figures enluminees, in-solio.