Oeuvres d'histoire naturelle, Volume 3

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cela dans u grand our. Μ. OEsEL ne dout dono pas que la papiae doni si stagit. ne sol la parti qui caracteris lemate Je uis confirme le

i que is Mais monte in is dos de a Femelis , repand a liaqueu sur is aeuise Wi Moutes quV a o breve e fuit plus clune Dis B a admirabiemen exprime dans a Figure a dela Planche m.

LEs ceu du rapin sont secondes de la Eme maniere. Le rapaud aquatique ah cramponne surrae dos de se ει melle, retient les oeus enire se paties de derriere , usqu' ce qu'il le ait arroses de s liqueu seminale is tandis qu'illes en arrose, it se donne te meme mouvemens que te hiendans te coit Les oeus forment un hapetet 'enviro deuxpieris de longueur: με que te ale a secondε les oeusscompris dans iratendue 'un ouce, i lache ceti portio duchapetet, en salsit ne utre ave se paues, qu'il arrosepareissement. Consulte les Figures iis a de la lanche XVII.

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Queiques et peces de

ε Dic age. o. Bus terrestris, dorsi tuberculis exviperato , Miluis

mago ne soni pa entre se cornescimai elie sint au-detans de la cornedroite, unoeu au dessus dii mille ducol. n. ADAusoma observε des Especta Ia parti sexuelle est dans la corne

sortis

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titue te sexe L seconde classe enferme les Coquillage que Auleur

3 Dic age s 4 de la Definition

des partiex.

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cis Diu an nomire ora done eonfirme ne regis qui jusu'a nos

dites qui nepeuvent se suffire a euX

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bres avolent admis existenc de semblabies Animauc, fur despresomption asse plausibies , ais armi es speces γ'iis avolent mises au an de ces ermaphrodites singulier , ils'en tot trouve dans tesquelles u Observateu plus exactavolt decouver depuis, des ales, des Femelles, D'il avolt vii 'accoupter Les Gallia sectes, doni 'a beau up parte dansce Chapitre, en tolentis exemple emamuable. De Insectes qui ne euvent change de placeo qui se leni faire corpsave la lante o iis soni fixes, tolent dans u cas qui es rapprochoit hie des vitres, D'on juge se multiplierosans accouplement. Oetoit don encore ne nouvelle aison ourdouter de existenc de Animau qui se lassisent Deunmεmes, cyetoit u nouvea motis our ne se rendre que fur es experiences le plus directes, te plus demonstratives Ce furent de semblabies considerations qui porterent en I AI, uti habile Naturaliste, M. BREYNIus , a proposier aux hysiciens le r

, A indubitate demonstrari possit in rerum atura , genus, aliquod Animalium vere Androgynum, id est, quod sine, adminiculo Μaris sui generis, ova inis a se ipso Decum, data parere , adeoque solum exis a se ipso genus suum, propagare possit r Genus animalium ejusmodi Androranum, ηοute Μ. REYNius , licet a multis iisque primi ordinis Naturae Com

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Ivitis statuatur, a ne ne tamen , quod equidem sciam , ita mon atum fuit , ut non multa, eaque haud levia, ei po torusci dubia. CCCIII. ΤΕ etoit Ρεtat de Histoire aturesse relativement la questio si s uvent agite de Androranes; Qtelle tollen Enera la disposition des spriis, orsque pentrepris, it

Solution duproblemephysique. Suhe

generations elevdes ei

solitude,

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csi Ap. IV. a me ata de laire par de detest de ceti expε iencera seu mon illustre mi, M. de REAureust, qui a juge digned'etre communique a a lavante Compagni doni ii initu de principau ornemens se Sur, diNil s), u laisi queles observations de M. BoNNET ferolento Academies, e si tardat eura lui lire facietire u i Juillet, dans laquelle

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neus, 4 e 'avois pas e des aisons de presume γ'ellespourroient servi a des comparaison utiles Ces nou velles e periences attes ave u sol vraiment scrupulauc, satisfirent Neinement Academi Royale de Sciences, m de REAu- πυκ .l'approbation doni iis te honorerent, ne lais it pas. heu de douter, que e problem de . REYNIus eu et hie res tu. J songeois don , laisse reposer aes eu , fatigues par Patiention Outenue que 'avois donne , de si petit Insectes

letire que ce Elebre Observateur 'ecrivit de amaye, te arJanvier i s exprimo ainsi. 'a forme depuis is mois de Novembre, is esset releve plisein generations de Dite de Pucerons solitaires, our,irciliis feroierit Didours Palement de petiis Dan des eas i Holnse des circon lances ordinatres ia o permis de mut tenter. I me diois, qui ait sis a couplement ne fert potnt a phimur Generationi ii aut vove que e qui ait tot bien gratuit; mais it partoi de M. REM

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E semen demontre par es nouvelles experiences, que sicla secon dation des ucerons tot due a accouplementaecret doni me partoit M. REMELE , et accouplement sem oti a molns a cinq Generations consecutives Oetoi deja, grand prodige a digerer , que de Arrieres peti fit sussent rendus seconds par leur inqu'ayeui ou eulement par leur risayeui, cie vois quemon Lecteu n'hesit pas . prefererra'admetire que les ucerous se propagent an aucune sorte de copulation. Je ne crus pasneanmolns en avoi fait asse pou detruire u simple oupi on cit ut et a desirer ou mes eux, que e ne tui ussepas donn aulant de olds cie 'aurois pas vjouraehu a Ggrette de te avoi tro fatigues, Clariendre amitte dem. TREΜΗLEY 'auroit pas a partager avec moi es justes regredi. J elevat dono encore usqu' la dixieme Generation de uce-rons solitaires, 'eus a patience, e evrois dire la folle, de resse de tables des oursis heures des accouchemens dectaque enεration 1 . endant que 'ecris ceci , 'ai ou lesyeux Observation VI de la premiere parti de mon Traiis, Sc 'avoue que e ne pulso lire sans tonnemen ce qui fuit a . Si malo des experiences oussees ausi tot que cesses doni

is fert a molns a neu Generations consecutives , e semitis admetire ne hos egalement loime des regles ordinati, res , si meme la derniere ne Petoit beaucou plus 41'onis ne croi pas cependant, que e dis ceci ou me dispe se de reprendre es experiences , de de les tendreis unis plus grandiso re de Generations on se uomperoit mon

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