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demetii est, a contraire , de metire a profit les connoi E ' is ances que 'ai acquises fur cette mattere ' repandre, plus de ouru e ne desespere pas Eme de parveni ausi molns a leve en solitude usqu' la rentieme Generationis de ces petit Insectes est insi que e raisonnois no a
multiplioit ourtant an accouplement a L maniere doni M. de Burro indique ous es lait , est
les puce-rons , leur accou. plemens. Observation
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egard uis' pus uisse menaee a sae delicatesse de bis des
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CCCV. 'Α1 ait mentio dans e Chapitre de quelque Disserenoes
Especes 'Insectes , doni lemale est alle , tandis que a Fe zz r
t te quivoque, e dot ajouter, que les Males cies Femelle non-aslε doni e parte, soni essentiellement eis, Qqu'sis ne sont amat appelles a prendre des alles ciusqu'ici es Mesnomailes 'on et observε que che nos ucerons s , je 'en i εcouver que dans ne eule spece de ces Insectes a . est encore ne hos remisquaese, que la grande disproportio de laille qui est enue les Me Wies Femelles: les premier suNtout les nomalles , sontis petits , qu'iisse promenent surrae dos de la Femelle , commerieci'ai racontedes Male de Gallinsectes Solivent pendant ces promenades qui durent unoem , la Femelle est resque aussi immobile qu'une Gallinsecte. Autant esse monue 'insensibilite is de pelanteur, utant lemale montre 'ardeuris 'agilite. I passe des ournere eniteres an prendre de nourriture oout estine lui en action, Qtoujour occuperae a Femelle, si ne
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dan; a belle salson , ovillares suria fili de
fuit que se promene autour 'elleis su elle, ne se taeque ors'u'il ne destre plus. CCCVI. o Lecteu demande ave impatience , a quo sertraccouplement dans de Insectes , qui se suffisant DeuX-mεnies, peuvent propager an son secours ovant que de ouchera cette question , e appellera un ait doni e 'ai di qu'unmot i qui est une des grandes singularites que Histoire
de Insectes ait a nous fiseir. ΡΕNDANT a belle salson Ies Femelle de Pucerons metientali ou des etit vivans , elles soni don alor vivi res vers te mille de l'Automne elles pondent de veritabies oeusis; elles essent dono tors 'eire vivipares, deviennent re res et . e fis cette de covverte dans Automne de 74o 3), qui a te confirme depuis par 'excellens Observateurs. 'aimontre dans mon iure 4 , que es Femelles avent varier leur procedes ors'u'elles on a metire u ou des etits o qu'elles ontra pondre des oeust. 'a decri ces oeust s),les precautions ave lesquelles iis soni depose , e qui precedes, accompagne, sui la ponte. iasin, apres avoi d'abord regarde es oeus comme de Foetus Venus au ou avant ternae, j'indiqua les aison qui me persuaderent ensuite, qu'iis tolent de veritabies oeulis G. J communiqua tout cela a M. de En unu , qui 'empressa 'en endre compte a Public dans te Tom VI de ses
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ΜΑis ne observation interessante, qui 'avolt pas encore et falle orsque M. de REAuΜu compos it te sigiem Volume de se Memoires, me dispense de refuter a conjecture Ces: corps oblongs, que e 'avolgi cesi eris instant de regardeo comme de veritabies oeus , en soni si bien , que M. LYONET, en a v sorti a mois 'Avrit 7 3, de petits vcerons , vans. est de quo M. TRE'ALEY a instruit te ublic dans laeΡreface de so Histoire des olypes il joute menae, que Μ.
S le temoimage de paretis observateur demandoit . tre, confirme, e dirois que 'ai ussi observ de petits vcerons, qui tolent sortis des oeus que 'avois renfermes dans un ou-drier ara finis Novembre a 43 s . Au reste, es uceronsetoient sensiblement plus petito, que ceu doot smeres accouchen vivans, m petitesse des oeus me avolt deja a
Μ. de EER , de Academi de Suedes, donicia sagacite Ι'exactitude brillent dans te beau Memoire γ'il nous a donnes o Ibid. Obs. XIX.
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DAN quelque salso qu'on uvre e ventre 'une emelle, o trouve des oeust si 'est en site, ona trouve des oeuss de petit pret naitre Les etit de vivipares closent dans le ventre de leurmere, es etit de ovipares, pres en/tre sortis Lestetit de vivipares prennent dono dans le ventre de leur ere, un accroissemen quem' prennent a les petits des vipares Les uceron qui aissent vivans se developpentdonc, usqu' uti certain polat, avant que de parotu au Our: ceu qui aissent enfermes dans des oeus , 'etoient pas appelles a se developper si-tot. is tolent destines , conserverrsis pece pendant Hiver ne devolent eclorreisu'a retourde la salson propre a leur procurer a nourriture. Mais e developpemen suppos la nutrition me Pucerons qui naissent vivans, ni don reς dans le ventre de leur ereune nourriture que 'Ont uo recevoi ceu qui demeurentre exmes dans des eum: cette nourriture a opere che les premier u developpement qui ' pu 'opere che les demniers. 'accouplement Uauroit-i potnt ou principale is de
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encore et asse eludies, leur istoire nous reserue des fatis interessans qui restent a claircir. Ceu fur es quelicii 'ya maintenant plus de doute, parce qu'il ont et constates panune longue vite 'experiences 'observations soni bie propres, commerae it Μ. de EAuΜu a , a justifer templo duciem suisse a observe les plus petit Infectes.
CCCVIL DAN un tronςon de Ver, dans unoron ἰon de Polype la productioni'une nouvelle εte, d'une nouvelle queue, ne parot pas plus dependre 'une fucondatio par accouplement, que les differentes productions 'une bouture ne parotia sent dependre u concour de a mussiere des etamines. Ainsi la productio de rejettons 'un Polype , omine celle des branches 'un Arbre, ne paroissent pas non plus suppose cette sorte de secondation it tot don asse nature de presumerque les olypes 'eau douce multipliolent sans accouplement. Μ. TREMALEY, qui es a vivis ave tant de soliis, 'attention , assure aussi qaei ne te a amat vusci'accoupter que Delque recherches qu'il ait Dites, ilis' rim decouver qui indiquat he eu aucune sorte de copulation. I nous donne
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ches, que e ne uis me dispense de metu ici laus tes eux
- peu conclure , di ili , ines experiences sun. te principe de la secondite des olypes: , Qu'uN eune Polype , depuis qu'il est separ de saMeres, 'a a bes in de la compagnie 'un utre Polypepou se multiplier. QuE,Eme avant que deri'en separer, illa te principede la secondite, uisque de lor i multiplie. - ' Qus si 'est lamere qui tui communique e principe, pendant qu'i tui est uni , ce 'est oin qu'ilo ait aucune
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mau doni es speces alent et plus multipliees ou plus geni ratemen repandues , que celles des polypes. utre legrandisombre δ' fisseces de ces Inse te qui habitent les eau douces in quin ultiplient prodigiensement, o en de- couvre encore de nouvelles Especes jusque dans es infusion de differentes matteres , oit Egetales ait animales. Voye les crit de M. RIsBERG SPALLANEANI , furiae Animalaules des infusons uis a te plus en re te on des mers est apisse de polypes iis y forment meme par succession de tenas , des couches 'une grande patLsturci caris sat auiourd'hui , que les Coraux, te corallines, es pore , es madrepores , les Litophytes quantited'autres corps marini, ne sontinue des amas de Polypes Voy. Ouvrage dem. ELLI , Iurris cor ines , Sco consulte encore Article CLXXXVIII, &la soleo. c'est meme probablement des debris o de la decompositio de cescorps marins, que soni sormes ces lita
immenses de Gyps, deposis parua merdanara'interieu de montagnes, Wque nos Agricoles modernes avent Dire servit acia fertilitation des terres. ouaces olypes , sol ceux 'eau douce, sol ceu de mero doni a multiplicatio est si excessives, paroissent se
appersu, qui ut seire douter de leuthermaphrocissime. Illa est de mεme des Animalcules des infusions , doni les EL
peces soni tres-diversifieesci on 'en conuolt encore aucune qui ait offertinevrai copulation O doit en dire au-tant de Vers permatiques , doni ea Especes sent aulsi tres variees. Consulte la grande note qui est a finisu Chap. VIII de arare Part. Ainsi, te nombre de Animau qui multiplient an te concours des exes, est probablement plus grand que elui de Animau donesta propagation 'opere
seconde e consequences relatives ai'histoire de lameneration.
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Prives deIexes pendant ne grande parti de cur
absolumen depourvus de sexti pendant la plus grande partie deleu vie et soni ou les Insectes qui subissent de metamomphoses. Τandis que Instet est laus a forme de Ver o laus celle de Chenille , it 'estra proprement parier, nimale, ni Femelle mais it sera Me o Femelle lor'u'il aura pris saderniere forme celle de I Iouche o de apilion Oest fouscette derniere forme que Insecte est appelle a perpetue tres. pece. 'a prouue dans le Chap. X de a Partie, que lesiam ties propres au apillon, sont enfermees originairement dans celles qui constituent petat de Chenille. 'ajoutera ici uerae Papillo prend out son accroissemen sinus la forme de Chenisse. Il est meme de Especes qui ne rennent, ne euVent re dre de a nourriture, que laus eur premiere formes de quel Insecte est devenu Mouche ou apillon ilis' plus e in des nourrir illa ait, Our in dire , a provision 'asimens pendant γ'il tot Ver ou. Chenille cela est si rai, qu'ilest εme destitue, ous a derniere forme, de tous te Omganes Xterieur relatis a la nutrition.
Μ. de Burro a insere ui Chapitre qui a beau cou de rap-por ave celui-ci, Qqu'il a intitule , arietes dans a Gen ration des nimaux Ilis ait mention des Insectes qui 'ontpoint de sex pendant uiae parti de leu vie .sa maniere deraisoniae sur e sujet, est si eloigne des idees re ues, que monLecteu me pardonnera , si e transcris ici te passage en e tier , Je eu parier, it-il G, de Insectes de leur met , morphoses. Imme paro1 que e changement, celte spece deis transformation qui leur arrive, 'est qu'une productio nomis velles, qui leur donne latuis lance 'engendrer; c'est a moyen, de ceti production, que les organes de la generatio se deis veloppent, Wis metient en ta de ouuoi agis caraa