Œuvres de J. Delille

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d Hector, et e ne soni pa de armes mortelle qui petivent te lui arracher siti e ni contraire, 'ninus unbesoin pressant de e socour divin et, si l'on eniX-cepte son dernior conabat contre Trirnus, ille Couri, dans te reste dii potimo, aucuti danser qui exisse uiae alassiluissante Protection.

et 'lu'on tui venit our-h-tour, optiis plusi cur si sicles, D'est More connii que de Philologues et des om- meritate ur de Prosession 'est parmi,ux uno Grande

question de Savoir, si, en supposunt 'abordiae fragmont 'Hύsiodo, o bouelieres Hercule a torio modi te, ou 'est 'lu'une imitation de colui d Achille. Non me

noris en Iusserotis Oint dans cette discussion trop

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u Au centre est uri dragon terribie, doni la parole nepetat exprimercia fureur. Sesaeuchagariis brillent commedes iam pes ardentes Salueule cruelle, Sanglante, Si Cmplie de dent doni la blancheur contrast avec te seu de sesmachoires. Au-dessus dii front de ce monstre, a Discorde foufflant dans es in ursci'ardear dia Carnasse, gare Ceuxqui seni affronte te fit de Iupiter, procipite leur ames dans te sonabre royau me de Pluton leurs os soni desssichiis, leur corps tendus surcia potissi hi e soni a patiare des vers. O volt les guerrier se provoqueriti combat, et uir d'une Coui se rapide Le vallaqueu Jes potii suit learo utile, la Tei reur, te eurire, te uinulte, a Parque fatale exercent leur fui eurs L'unalesso est tendi sui te chami de bata ille uti aiatre fuit an blessures le cadaure de elui-cies entra inhior de la molsio La tuniquo de la Discorde est tein te dii sani des morteis sola regarii est a si relax, se CriSportent l'es o dans es ames Pi h de ceti furio, douZelotes de serpent hideux dissipent les phalanges armi e quioseu affronte te stas do dupiter te bruit de leur denis letiacas de leur horribies machoires se sipandisu lo in tan-

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. Un utre cadi e orere ii 'oeil tonia. la angi ante moli edes Lapithes armiis de long s javelois. Clini e commande les Lapillies Autoni de tui combaiton Dryas, Pirithoiis, Hoplite, Exadius, Phaleriis, Prolochus, Alopsus, si is 'Ampi chus, Tirtars sitis rei eloti de Mars Thiis e sit illi si e sem-blabi aux immori eis, totis 'argent, ala artiuiros d'or LesCentaures marchent contre es horos, guidi s par te si and

Psirim. de otiri altis; totis 'argent arm sis de massuos d'Or; iis emblent vivanis Lus detix troupes 'silan contri' uti suri' aut re les titis armos de longs avolois, te aut res de lourdes assues. Aia centre des eu armi es le l. gors coum stor de Mars, 'o massis, attondent os ordi es de cur mattre Monto sui fori char, e terribi Mars di poti ille lesva incus, solatient i ardeui des ain queui s. a tunique est

te into de satis inagite dans se main uti long a vel ot cla Torreur,''Essi ibi 'accompagnent. 'aut re part larille de Jupiter, a di esse qui pri si dei''assem bii se des nations. vit-

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350 APPENDICE

togone, Ouxerte de son clatante arnaia Ie agite dans sesmain te pesant avolot. Un casque d'oro trois pans, rille sur a tote; la terribie gide est suspendii ii son paule. Minerve marchela grand pas, Oufflant dans lyam de Lapithes 'ardeur quies anime. ti Plus Io in on assiste ait festin Sacrsi, auxianses Isighres des immorteis L fit de Iupiter et de Latone, ait milieud 'eux, pince et te cithare 'O don te Sons Clatant per

te portent une psi δ' uti noli acie est Solatenue Sur Ono paule par in vaste baud rier Sonlevo par se serpent , latote de Gorgone monstro horribie, potivantable est dans se mains. Un mervellieux siseaura'enveloppes de frangesd'or V soni attachi es Lemasque de Pluton coitu rem totes

Une Diae obscure 'e vironiae L fit de Danao, l'inti sipide Perssie fuit polivani si h labii des hideuses Gorgones quileiovi Stiivent, qui son es fori our 'atteindro; 'aciei retenti dia fractis de leui marche rapide raedour sis nomenis

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aifus Deuedragoris pendent de laici titure de chaque o gone iis se courbent, Se rePl Oient, ardent leur languesaiguos la colore renis Cur dent Plus actives, cur re-gard plus assi elix la Terreur,ci's polivante, planent suria tot de Gorgon CS.u Dan unae ad re plus levo detix arvisies sed iurent uti san-glant combat Ceux i d. fendent leui S phres, leui Mensanis, font effori ou repotisse rennem de leur mura illes; ceux-lii poti livro au illasse et te Citii uissante GrandDombre de guerrier soni tendus an vi sui te hami de bata ille; 'aut res plus Ombreti combattent Vec fui eur. A sommo des our de ceti grande cito, de fommos Gollirent leui s oues, clieni des cris persants. Quoiquein sensibi es, es figures semblent respirer, an est vive 'expression que I'adroit Vulcain a si leui donner Accabios solis leto id do an , de vieil lard sortent ei mille des portus dela ille assi gde, rem blant potar leur e fanis, levant ver te cie leur main suppliantes Cependant les guerrier combattent Les Parque ait regari lotiche, ait te intli vide, gi insant e denis faronches, angi anteS, inaccessibles, Clotho Lachi sis, tropos la plus petite des trois,maisci'ainite, et a plus cruelle , se disputent te satis des guerrier que atra in homicide a moisso iani s. On volt cos Furies tondi e fur es tessos leur Ongles crochus, Pri cipiter leur amos dans e si Oid i OVau me de Pluton, Se rassi ster dia satis des morteis jeter cur corps lo in 'elles, et seliator de renti ei datis la moli e Ili' est aucti nil sit qui ne sol l'ol et de leurorua uti ii vale. Se rigardant avec defleuXhassariis, Olles 'em brassent, SQ errent, se disputent leui proiepalpitante La Tristesse livide, dessochi e consumite par lataim est prhs 'olles Ses oues soni terreti Sos; e sani endi conlecius in ii terre se dent cla luent; la OuSSibre Ou-Vre es paules ses lux ori mouill s de larines. v Non to in 'ol. vo uno vaste cito. Sept Ortes d'O V Ont adaptύο sui dos seu iis solidos se Peuples soni dans la j Ole,

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552 APPENDICE

levo leur tuniques, potiriendro te sein decla glὐbes conde;

palis d'argent se seu illes emblent agiti es se grappes lasurchargent. Iciis foui te aisiti dans la clive lain empli testu tres Chaque troupe anse, dirigi e par uri habiles ut fur. Des athlbtes 'exercent aiax diar conabat dii coste et de lacinite. Des chasse urs une metite nonat, rei Se POuΓ-

sui vent te liὐvre timide, aux ted ii sors, qui fuit evanteux. De bardis cavaliors se disputent a victoire La saligue est pein te datis leurs et X.

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M 'aut res motitsissu des lini sint rei ulu les guules tessa ut rapides de cur Coursier enisi verit os chars, osmoyeuodes rorae retentissent. Deborat, iis presserit o du

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Tous les grand de rotat, dans de pieux balaqueis,

Et cacher aux royens cet objutriu'elle adore. Vest tot divin Bacchus, que a dotaleur implore; Pour tot sotii, de s filio ollo ordon est' hymen; Poti tot de Lavini uia thyrse ornesia main