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3 8 ' III. 9.33 9 ' Quatriem Ennsade.
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Le ut de ce travat est de fiXer, aulant que possibie, la position de Enneades Sur uia poliat de etail, doni
pourtant, bien elucidε, etterat quelque lum iere su despassages dissiciles et fur ensemble u system si 'equivalence entre actio et contemplation. Plotin distingue actio et action, roirlsi et Irpuel :la distinction 'est a nouvelle mais i tui donne au molns ordinat rement Un Sens nou Veau, en lanctionde se propres dees surda θε pia. J'a parte ille urs )de la θε pia, en eludiant 'extas et union a Dieu. Si ' reviens, 'est a n oint de ue tris disserent et parceque tot in volt dans a c contemplation , non se ulement comm Aristote 'acte par excellen ce, de ou- te les activites a molia mele de passivite, ais aput SSance meme qui engendre. Si te que dans cette conception Synthetique des hos es, Petre en tantinu 'et re, - oute cloison serat artificielle , est a laciois contemplation et action. Cette doctrine se en contre ave de concluSionS
Desi d. Dis dans a philosophi de Plotin. h. VI. Id. h. II.
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ACTIO ET CONTEMPLATIONlectio et actio sont unies par de liens essenti eis, rien 'e tonnant que a contemplatio sol acla Dis sa- culte de connait re et ou Vol de produire. Etait -ce theorie to ut nou Velle et proprein Otre aut Eur Q semble hien qu 'elle 'et ait pas et rangere a certaines secte gnostique contempora ines de Plotin f θ, che elles comme che tui, echo de 'ense ignem ent cides speculations de Pepoque Au temps lontainsdria, Platon e avait donne ne bauche dans la theo
Pinfluenc de a doctrine peripatetici enne deI 'Acte pur, en opposition a materialis me stoicien our qui ou te actio elai corporello ), Plotin a de vel oppe, et to ut Son system e re ς oit ne coloratio ideat iste es Et res veritabies sont les Ide es o Intelligibies qui sontaussi Intellige nces comme te mode 'agi est enrapportisve te mode 'et re, actio verit able est Pactio propre de 'esprit, done a contemplation la est te principe de to ut generation. Quant a Pactivite pratique ou 'exerce te corps et o ii 'epulse, te age lame pris o to ut a plus a regarde de to in avec ne dedaigneus es indulge nce. Le problhme de Pactio et de a contemplatio est po- Se en un accourci 'allure paradoxale auri iure tuiti δ-
meme beaucou de eine a partager Cette theorie, contraire a latradition platonicienne. Apres lusieur discussion avec meliusu autres disciple de Plotin il se uendit.
S 'ac cordent a reconia ait re comme manifestant Speciale
modeste tra vallis' est e somm qu 'un essori ou la comprendre. Si Pon et abiit dans e texte ne equi Valence entrerroig et IrptiTTεiV, fatalement ora abo utit a ne contradiction, Car 'un cote, e qui agit out en tante aison s est et contemplation , et de aut re, St contemplation , e qui, 'est pas action, ais aison )M. N. Bouillet traduit t. II p. 2I3 Pui Squ 'elle prodiιit sit 'agit de a Nature en deme urant immobile enelle-mem et u 'elle est ne at Son, elle Si ne contemplation. . . uisque a aison 'est a Une action, elle est ne contemplation 'est a dire, si e comprend bie n. a Nature est ne contemplation, parce qu'etant une aison elle troduit, et ourtant a ratSon estu ne contemplation juste ment parcequ 'elle 'est pasune action: a contemplation e ut Onc et re ne et pro-
ir Ce qui ei est raison, nous errons tu loin que, Selon Plotin tous es tres soni re contemplation G iis soni aussi en unsens o en autre, et actionis Equi valence bigarres, emble-t-il, entre des tres concret et des abstractionS. I saut se Souvenirque Our u neo-platonicien tes dees talent non 'abstratis irreel S, ais de vivantes hypostases, auxquelles participent leSetres de ce monde, qui ne soni intelligibies, intelligenis, actiis, ucomme iis di fatent aison, contemplation, Clion, que parcequVlS recolventis reflet u monde superieur. Sur e monde Ou κοσμος νοητος, intermedia ire dans a ierarchie lotini enne entre e Premi e principe absolumen simple et immuable et les ames qui dejaα inclinentis plus ou molns vers 1 mattere, voir es iure que Porphyre a roupes dans la me Enneade.
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action, di fait Plotin et i Moulai meme out fabrication estis assa ibi is semen de a contemplation Le
et la e contemplationis devientis monstre contradic
I sera difficile de tradu ire es mot aut rement que par de peripnrases, et, aut de vocabie asse Zm UanceS, force sera de nous contenter de dec rire les operations
qu' iis figurent pluto que de te definir il convientpourtant de les distinguer, a te problem doni ils 'agit ici, te problem des apporis de actio et dela contemplatio che Plotin ne e ut me me a et reclairement os sans ne eludes realable de Vocabulaire,
INTRODUCTION 5 de 'interet purement exicographique, ne elude demolsci et Pexpose des dees et de a philosophie des En-neades a ce oin de Ue. 'on ne 'attende pas a voir, a la fi de eo ravati,toute les notion distribuees en caster hie ordonnes; j dois reconnait re qu'en egsayant de determine te sensdes mois e ne uis pas arrive a a classificatio rigoureus que 'aurai de si ree. I a fallu, pres avoi fixel seri propre a Plotin, appeter, a risque de embler remetire e problem en question, que e Sens 'eStpas te se ut les distinctions an non Cees 'etant pactou-jOur observees, et par fuit re non cer a la satisfactionque procurent a l'esprit des notion claires Tro declari ici sera it ne resomption 'infidelite. 'estimeque ceti complexit et e apparen ces incoherentes dolvent se retrouver dans out elude objective de En-neadeS.
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crivant les different stades de la e proceSSion , X- pose se ide es fur a mani e re doni es tres 'en gen-drent et se produisent les hins es aut res, Sur e qu 'Onpeut appeter cla contemplation creatrice . Un hapit releur sera consacrae plus o in.
si On ait que Porphyre, dans a QVie de Plotin . donne laliste des ivres qui composent les Enneades, en vivant Pordre ansleque ila on et rediges. vita Plotini. c. IV. V. VIJ. Bien qu'iln 'ait a juge bo de suture ui-meme et ordre dans son edition,il eut ire utile de ' referer our iuger 'ilis a Vraiment, Om- me o Pa dit, des variations dans a doctrine.
s. D est de Die dans a philosophie de Plotin h. IV.
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don iis se ratent u reflet Formes de Choses, uni fiant a mattere ais ux-memes encore disperses, i leurserat essentiet 'eire multiples et Ii Si necessat re quece logos noli 'agit u logos de univers soli la
i doli ren ferme en sol ne disserenoe, oΥος Vbici popo τε rpo αυTOV ITi. . III. 2. 16 I. 2 6πι- ).Il aut se appeter ourtant que par ne con Sequen-ce de a degradation progressive de et res, a perfectio de hac un doli se trouver a n degre Superieur en ceu qui te precedent, a n degre inferi eur enceu qui e sui Vent, a cause donnant toriour a sesesset quelque choSe de a persection. Tous es et resse essem blent dono . en uelque aniere otOV et en uelque aniere aussi te no qui convient a Punconvient auX uires, a grand detriment de a precision clis Sont ous plus ou molns logoi.
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rai Son VI. a. I II. 323 32 , in , Intellige iace et les Idees, 'Ame et les ames, 'ord re u mondo, es formes de choses, to ut e qui est determinant ide
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rvisa ; 'est a mani e re a lui de rester ave sol. JamaiSi recueillement 'est 'ennem de a contemplation. De e qui precede on e ut dedui re que che Plotin, te mot ε pia, comme te moto6Υος, en vel oppe out ledoma in decla speculation et traduit, ave plus ou mo in Se 'exactitude, ous es modes de a pense e de la reflexion, du rai Sonnement... 2. Doux ocoption tu mot θε pia. Une remarque 'impos enco reci e mot Si employe tanto pou signifier actio de contemple et tantot pou designe Petre qui contemple: 'est dire u 'enu sens il est abstrait, en aut re concret.
A sens abstrati, ε pia 'applique a to ut e spe cede connaisSance, depuis es grossieres apprehen Sion Sde organes Sensorieis, limitees a ne apparen ce qui est oujours une illusion, usqu'aux ues le plu penetrantes deci 'esprit, penetrantes a pomi de se ais irde 'essen ce meme des choses, usqu'a mode Specialde connali re qui se passant 'intermediaire, est intui-
sans distinctio de sui et et 'o et θε pia Zῶσα, υθεωρημα io To v λλ III. . in mais ussi de a Nature, qui implique ourtant ne dualite, tant a lalais contemplation et o et contemple εστ δε ε piat ui θε pima III 8 3 obj et distinc du sujet et en tui OiOV V λλ . Vec ne complaisance a pei ne justisable en principe, Plotin a plus oua meme te plus infime logos, a forme visibi des et res in organique S, dernier reflet de la grande clum ieres divine, item que
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La0ε pia est v mode d 'activite. u 'on se appelle letex te qui nous a servi de poliat de de pari, III 8 XXVII),
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Pautonomi qui se en contrent dans es actions cis TaiςΠphξεσiV, ne Se apportent pas a Pactivite et pratique , ni a 'acte exteri eur, mais a Pacte interieur, a laten- see a a contemplation de a vertu me me o τε ai
est des actions recommandabies par ceriu'elles condui sent a terme heureu de a contemplation. - Bouille traduit te acte est illicite , 'est restreindre indument extensio universelle de a proposition. Plotin 'interdit a telle ou telle action, aisto ut et actio ν . . a Sen Special qu 'il reconnait a motirpstffic: 'est e sens qu' i convient de determiner. Dans e contexte ii 'agit u sulcide qui est con damne, parceque ame, a moment ou elle se separe u corps 'est pas alor Sans RSSion παθης commeelle evrait Petre elle agit en esset o par chagrino par colere, et elle em porte ave so cette impu- rete. 'action qu 'on pose ous e cou de a passiones Une 7rpstet ... action 'une me Serve, olla e qui est interdit G ε arlbε Πp6TTεiV, arret 'un ascetisme exigeant doni te de si de purificatio ne connait pas
N. Bouili et Les Enneades de Plotin. t. I. p. 4I. f Sur cette purificatio ou d0ap Iiς voir te dest de Die dans la philosophie de Plotin h. V s. I. a XIX)6- I. 56β. Un resultat de a purification doni a contemplation est te ut ultime