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une es ce de compromis avec los aut A. dans te hut de Dire cesser les transactions usura ires. Un auteur fati h cestri et une rem arque qui est d'une application rigoureia se h tout ce qui s'est fati dans notro pays : α Si te gou verno-ment, dit-it, avait fondύquel iu'. tablissement ou les olivriers Ussent Pu tmu Ver des avances, les dispositions de Philippe fur les Preis auraient pu garantir lo peti pie do l'aviditsi dos Preteurs sur gages ; mais ces lois, tolles qu'elles furent Promulgusies, ne purent qu'en courager a des transactions clandestines, et laisser h la merci des Iut A la classe quo lo
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It y a des circonstances critiques on les familles matheureuses siprouvent un hewin absolu et irrctisti hie d'argoni et ii faut, en dύpit de toti tes les prescriptions religieuses et de toute la rigueur des lois, quo ce besoin soli satisfait. Ilest a regretter, sans dolite, quo la dissipation et te dύr glement puissent, avec tant de facillisi, alter Puiser aux
pectable; cette dissiculisi se prsisente a chaque pas dans
regularisant te proti par la saxation du taux de l'intέrat et par la publicita des opsirations.
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i Insigne illud opus primus omnium iste Barnabas Interamnensis excogitavit . . . . Ad inventionis consilium iniit cum Fortunato de Copolis . viro doctissimo; ille vero rem insolitam diligenter expendens, post maturam difficultatis discussionem , statuit opus esse pium et lauda hile. Ne Vero errare contingeret, tutius duxit Aeademiae magistris dubium exhibere. Atqui hi omnes, nemine dempto, cogitatum approbarunt. Coepit itaque Barnabas ea in urbe Hebraeorum detestari insaliabilem cupiditatem, ...
mox pios viros et locupletes cives exhortatus est, ut collatis eleemosynis, cumulum seu montem erigerent.... Non fuit opus hoc misericordiae genus et saerum pauperum levamen diu inculcare : ad primam enim concionem ita liberaliter et prompte suas saeuitates cives eongesserunt, ut montem . eumque omnium primum, erexerit. WADDirisus, Innales Minorum, tom. x V. p. 93.ὶ
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Loin de Dire do ces sitablissementa uia obj et de pluisanteries ou de reprochos, it ne devrait y a voir que des parolos de sympathie et d'admiration mur une conceptionr6ellement providentielle h l'έpoque de son origine. La
sol. 23 verso .ὶ - La denomination fransalse renserine done une traduction incorrecte du mot pietas. - Le noni flamand de cos institutions
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exorbitante de 16 et 1 4 mur cent 3. It y a la mali sire a rύflexions potir la Belgique catholi
Renue Britannique, decembre 841.
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familles riches oni cisi d'ahord diabiles fur la terre classique de la religion, en Italie. Aprhs i 'Italie, c'est la Flandre, conti e renom msie par Ie dsiveloppement de sos richesses industrielles et commerciales, aulant que par la profusiondo ses insitutions de hien falsance, qui, la Premisire, O ganisa uti systhme complet de monta-de-pisitsi, mais avecdes modifications important . Les monta-do pisitsi italiena prsitatent gratui tement auxPau res. Dans les premiores annύ de l462 jusque vers 1490 , des locaux furent Murnis par la munificence des habitanta de plusi eum villes : des sommes furent Vertaes sans
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rsiunion des principati x Dhres de l'Or Ire des Minours potirdiscutor sur la mani hin la plus convenable, la Plus prudento d'ύtablir ces institutions de charitύ : apros de longum controversus, ou finit Par approuver te mode adoptsi par Bernarditi de Foliri, qui consistati a exiger, dans totis tesmonis 4 Dicter, un lsiger intsitat potir Dais d'administration δ. Dans une i siunion, tenue en 1498, ii fiat reconnuque totis les monis-de-pisitsi di igsis au dsit, ut, et pro tant gratui tement, sita ient monacsis δ' uiae ruine comptoto; it fut
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A cotέ et en dehors de ces detix grands systhmes de mont d piέtsi, ii s'en est formsi uno osphce particul thre participant de la nature des uns et des au tres et constituantune fusion des deux systhmes appliqusis en Italie et en Flandre. Ces montis s'appellent mistes. La, te sonds fur loquel on proinit avx indigenis silait en partio donnsi par lacharitsi des fidhles, en partie em prunisi h int6rsit, soli a des particuliers, soli a des villos. Teis furent quelques mont de-pisitsi sirigos en Belgique ; teis furent alassi les derniersmonis elabiis en Italio, enire a uires celui de Vicence qui
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iaisaient les premi ere fonds qu'ils mu valent reprendre et mur tesqueis on leur payait uii intiret et par&is ces particultem nlavalent pas la facultsi de reprendro les fonds etl'intsitat annuel que l'administration de cos monis leui payait sitait via ger, ou bien passait avx hέritiem. Ces monis cappetaient respectivement redimibiles, irredimibiles, Da cabiles et non racabiles. - Ouelquelais, au lieu d'argent,les monis prolatent aux indigenis des fruits dii sol ou des matthres premiores potir l' industrie , telles que graines, tarsiales, vins, etc., et Chacune de ces institutions limit sonnom de sa smcialit6 mona tritici, mons farinoe, mons
Frane Dei Papasam, Palavini jurisconsulii, de monte quem pietaιiε appellam deeiris. Venetiis. Tres-rare.
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attei gnati l 'age de 18 ans, i 'administration du mont tui constituati une dot de dix fois la valeur de la mise primitive ; si la fille 'atteignati pas cet age, te mont conservatile tout et ne devait rien aux parenis furvi vanis. Nous verrens plus luin te plan proposε par Sylvestre Scarini, en 1586.