Études historiques et critiques sur les monts-de-piété en Belgique

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sematne qui fuit, sans que leur octroi constitutis conuenne au- cune disposition a cet ἔgard. Les inconvέnienis de l'έtablissement des Lombards augmentent chaque annge, parce qu'il se crέe entre eux et les habitanis

Hongrie auec te magistrat de Gand, ainst que de toutes celles concernanti'enquete en question . se trouvent aux Archives de la ville de Gand , Ouden petuwen boue , registre B. solio Ilo ad 223.

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dans leur demande de suppression de la table de piat. Dans cette dέsense, it commence par protester qu'il n'a jamais violέ les dispositions de son octror Ou congd doni ii joini unecopie h son dossier, asin qu on en juge aprsis lecture satis de

cetin pthce. Volci comment Parenti di Pogio sute successivement, en sorinom et au nona de ses associ&, t existence des principaux abus

ment ou secrhiement ou aut trement qu'il semblera a S. M. auplus osseant. Lesque is deputez en seront tenuz tenir registre et

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laysser suyure au proprieta ire lexcedant sapro payement du capital et cmys permia) moyennant de donner auxdictΣ deputripour leur salta ire deux gros par chacune livre de gros, mulsi quele propriέtaire deum demander cet excedant en dedans les 3 moista vente Dicte ς en eas de negligence que ce reste sera distribuhau probi des povres de cette ville ou a ultronent ainsy qu'ilplarra k S. M. Et par ce on voyt que ledici remonstrant ne prέ-tend avoyr plus que son capital et croys octroym par ladicte

. Cecy ne sera potnt ainsy trouπέ avoyr estέ laici, malis ita onthien accoustumέ en prenant deux gros de Flandres fur la livre par sepmaine. Si tes impignoranu layssent entrer uno seconde sepmaine, quila loni prins pour lentiere Sepmaine comme aeuix nest dessendu, ains permia de prendre te croys par sepmaines et non par journ ἐes, parce que la Paine est egale, et fouventes iΣsoni grace dune partye du cro . Manimoins ledici remonstrant est content de prendre te crus a rate de temps et a ladvenant de deux gros par sepmaine, aprea lexpiration de la premiere

3ο Crainte de relations imp intimes enire les Lombari et les bitanti de la pille r. P ur έviter semblatile supposition te remonstrant est content a inutos heu res et principallement a la concession de loctroyde S. M. dexprimer et de nommer par noms et furnoms tou qui ont pari et portion auxdicta OctroyΣ et non ceder a aultres non est ant de leur nation, fur telle pat ne qu'il playra ιν. M. .

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lNTRODUCTION. O Meeptation Tobeta gemant aia culta, etc. 2. Dici ledici remonstrant que Combien par leur octroy ne leurest laici fur telles gaiges dei sense, tOutessotΣ se aJt on eu a ce re-gard et se soni enquia par quel moyen tes impignoranta estolent parvenuE a telE bienZ. Neanimoin f pour contenter tesdicta desquatre membres ledici remonstrant est Content avoyr expresse ordon nance prohibitive et pέnale, que sur gaiges estant notoirement de tragiise, comme calices, ampulles, casu fles Ou aulcunssemhlatiles non duysans si non pour te service de lesgli se et non prester sur tela; ne Soyt que gens de soy, comme margii seu re, maistres de la fabricque ou aut tres constitueE en office de lesgliselapportent Ou facent foumsante credence que les gaiges nesoyent defrobra desdicto esglises. ω

elles appartiennent, car la pluspari se mectent par ti erce - mainsans que les proprietatres se monstrent Ou aulcunes iE vo ut lentestre nommeet. Neanimoins ledici remonstrant seroit content quelon face dessense penale que sa table ne pourra dei ivrer argentsur gaiges apporto a leur comptoir de quelcun desso uta te algede dix-huici ou vingi ans, mais que ce jugement de te alge so3tremtZ au remonstrant ou a ceu lx tenans son comptoir, veu quilest difficile de juger les alges a detix ou trois ans preZ. Reservsique te pere Ou mere ou aut tres ayant commandement diceuix mineurs Pourroni Consentir aux tenans ladicte table que auiant de solet quilEles enuoyent avecques gaiges on leur pOurra Prester, ou si lon Miche meilleur expedient servant fur ce potnt, it se rein

serve a votis messeigne urs. π

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I TRODUCTIOI. 6' Aereptation beta provenant de poti et de lametatas :a Ledici remonstrant declaire quil n 'est en luy de scavoyrcognoistr8 les gaiges defrobera et pour ce que les impignorantEpour la plus pari ne destrent estre nommeZ, it nest en euix depou voir enquerir doni iis Viennent. Pour ce ii ne scauroit trou ver expedient pour a ce obvier si non de remectre cecy h leur conscience quant ilZ auroni sorte presumption contre les impignorantZ qui ne soni parvenua a bon tittre, comme S uventessolet par leur moyen tes hienet defrobeZ soni cognud et sal tZ restitueraux proprietat res. . rQultat de to us Ces pourpariers et de cette enquδte sui

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eo que les nέcessitἡs du temps leur permitent de satre. Person-nellement, iis furent victimes des mesu res prises pour entraver

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A co seul nom de montine-pieto uno foule de prsiiugesse dressent. De toutes Paris des voix, tantot malveillantes, tantot consciencicuses , s'silhvent contre cette institution, doni te plus grand dotaui, aux yeux d'un grand nombre de ses premi ere dύtracteurs, fui d'otre un monument hi torique de la haute sollicitude de la religion pour tes

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siderer comme dea institutions de bienDisanis. Celui quive ut histori tuoment juger i 'idύe Promiore des monta-d piύtsi, doit dono l 'acceptor tolle quelle fui primitivement formulsie. Dans des questions de cette nature, on ne Peut potui partir d'tine base imaginairo oti complor sur Un rctultatim possibio. C'est une do utile ut opto h laquelle les doctrinos progressives h l'ord re du jOur ne nous Ont que trop habitu sis, mais qui rύpugne a des espriis pratiques, a des homines d'expsirience. It vatilli ait mi oux, sans dou te, que les richesprsitassent aux Pau res, sans inti iret aucun : qui te conteste pri 'es co pas te prompte que t 'Evangite nous donne 'p

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nio sollement te mal ou rove te retour a une perfection

i Dom Martin ineligion des Gaulota , lome i. p. 20i l nous apprenit