Études historiques et critiques sur les monts-de-piété en Belgique

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ci ce de leur profession φ. - Une sola reconnus et nommἡs parte gouuernem ent, iis ne po uvalent transmetire leur table qu'avec te consenternent de I autoritέ 7. Us ἡtaient tenus de conserver tes

urarii manifesti nee ad eommunionem admittamur, nee Christianam, si in hoc peeealo deeesserint, aecipiant εepulturam suLBATORI . - Voyradu reste, fur ce potnt. tous les aut eurs ecclesiastiques.

l'on shvit contre les manifestos usurarios, qui tenenι signa et haberi ame mos eι fenestras per quae quod sinι usurarii divulganιur. Queis hiatenties signes ' Νous ne sommes pas parvenu a te dεcouvrir. y Cetto primulion n'a eth introduite que sort lard. Encore en 644. Charies-Ouini aeeorda au Lombard de Gand la permission de etaer a qui

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harus.

tembre 1468. Nullas Lombardus .... potesι libros geholarium, ε ine G-prearo eonsensu reetoris, albi comparare, emere aut pecuniam aliamve

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une distinction. Les person nes Isisόes par Ces usuriens sont-elles connues, ces biens dolvent leur sit re restituέs ; ces person nessont-elles mortes ou inconnues, it saut consacrer ces biens inpias ecclesim causas et in publicas ρviali necessitates '. Innocent III, dans une letire au roi de France Philippe- Auguste, avait dri 1 dsici dέ que les biens des usuriers publica et lai

rem in pignus super iis mutuare, aut alio quovis modo eos impignoratos retinere, sub poena eonsiseationis principalium doenariorum aut aliarum

rerum pro eisdem libris daturum Codex Belgicus, p. 270 . y Boxuoare p. 158ὶ ei te un decret des Ord res de Hollande qui va plus

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toine Succa et ses compagnons, l'em phreurleur promet, s iis sontleur testament, fussent-iis illagitimes ou hastaris, de ne pas demander de main-morte, ne austra Molat fur leurs biens. S iis meu-rent sans avoir sait de testament, si ne ρourrons, dit-il, semblab&meni rien demander, alas permectora que Duradicta biena solent conpertia selon m coustume dia Leti doni ita soni natissa, non obstans quelmnques drolata, usances et mustumes ala contraire 3. Potar dgdommager les Lomhards dii mέpris au quel iis sevoualent en Exer ant un mέtier si odi eux aux populations η, on

det te litteras testimoniales sigillatas ). Cette reconnaissa nee so u leva des scrupules parce qu 'elle semblait impliquer une es-phce de complicitέ avec les usuriers; c est la ce qui donna lieu hIa consultation des docte urs de t universitέ de Paris 131j doni

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INTRODUCTIOA. te duc de Brabant, dans les nouueaux privilέges aecordέs a laville de Loilvain promet de ne plus forcer dorsinavant les ἡch

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rience et de force, rέprimati leurs excἡs aveo d'autant plus dehonheur que la grande cause de l'usure, la raretέ du numgraire, disparaissait insensi blement par te dέvel Oppement du commerce et de l' industrie. Longiemps cependant les Lombards et c'όinitura des gri ess qu on articula it contre e ux) exporthrent de notabies quantiths de numέraire, de manthre a en prolonger la raretέ. Nous venons de voir comment i 'administration s'est essoriae de dόtruire les opsirations clandestines des usuriers et de quelles prέcautions elle a entourg l existence des Lombards que la nέ- cessitέ salsait tot grer. Il reste a voir bri ἡvenient comment elle asu rέgler et diminuer successi venient te taux de l'intέret.

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rsit de deux semaines. Dans les deux eas, les Lombards salsa tentce que les aute urs du temps appellent un compte de semctines

hard s.

i Cei sedit. porth a pei ne de confiseation des hiens des contrevenanis, fulrendu par Marguerite de Parme Plaee. van Vlaend. , et deel, hi. 52sὶ .

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avis, te magistrat en pora is Louoa in consulter auae docteura i equa Ddicta nequeste mur scapor se par mison et conscience ει ρOummient conseiater de ballier ledici octror. Dans une premihre consultation, ou l'on inuoque t 'opinion des principaux thsiologiens, i Universitέ de Louva in prouue que lemagistrat peut tolόrer les Lombards quasi connirentibus Oculis. Delix des signatat res de cette premihre consultatiori en rέdi.

ghrent une seconde, destinεe a lui servir de compigment etd'appui Bassurgs par l'assentiment du premier corps scienti iique dupays, les ἔchev ins de Gand consentirent sans dou te au rsitablisse-ment des Lombards, pilisque nous tro uvons aux Archives de laville de Gand 8, un acie dii 13 aosit i538 par tequel le prince ac corde a Parenti di Pogio, noec ses complices, i aut orisation delenir , Gand une table de prἡt pciur douZe ans, a condition qu'aulieu d exiger par semai ne trois gros par livre de gros, monnate de Flandre, iis ne prendroni plus que deux gros. A en croire tes

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INTRODUCTI .droici autant que roticher notis must et nosdicta successetira tant ur la gande de nostre conscienco qua austres Dates causes, amnamur nous et nosdicta holas et successetira aboli et mia abolissons et mectons a neant ρar cesricles piasentes et en quictora et dracham

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mires de mondici Migneis et in re et de inus, que en murine lemulagement des ρoores subjecta; et ne se domi tollerer sotionis ne permerire a dicta Preschetira de eulae mestre des lettres et despectes des princes en Dura sermons publicques, Potir esse r les sim pias subjecta a munmunes et commotions I mais se Dura sueristio mullent remonstre a nous et aure lora des pilles ou telles et sem-