De la philosophie de la nature: ou, Traité de morale pour l'espece humaine ...

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elimat rold s'enervent molns que ceu qui vivent dans u climat tempέr les anciens

me C. F

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Nons sommes tentό de metire a ranides contes poetique les luites celebres des hόtos

de Virgile de 'Homere, qui se lancolene

des quartier de Ocher maismadrid, esEcle dernier a vi u nomm Sotillo lancet douete a me pierre pessent quatre quintauc a . Notre marόchal de Saxe Lisit ence genre des traiis de force qui auroienti tonne Achille QTurnus. La memoire, qui estis de nos sens internes se perfectionne ausi aissiment que les

m Theatre eritique de Fehoo. Distonis surda inritissio.

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quant a cla persectio de nos organes, lachimere de ragela'or. Et qu'on ne dis potnt queetous lectilis quem plum a rassembles sent de prodiges;

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UEL QUE parisit que solent nos mPARTIE II. ganes, a faut bien uerae Dottemon insen-sble des corps όtόrogenes le dόtruisent; les aliment destinEs a prolonge rexistencede la machine humsine amenent a dissolution : a nature a mis, terme a labie inla philosophie 'est bonne qu' ne a ra-

vancer.

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' sc parer ourrae concentre , it en isti te plus P,κτι u eorrosi des olsons. Uhistoire naturellemit decouvri une sorte de possibilit aratendtera carriere de rexi teneo, en allentissant a vegέtation descorps eest ainsi que des plantes renser=έes dans de caves, vivent plus long-temps que torsque la chaleur de la terre et leur seveen activitέ 'est ains qu'on conserve plu-seur annόes des insectes seu les enueloppes decla chrysalideri mal ce secret transpori are*ἡce humatne seroit e capable de flatternotre vanites que est rhomme qui uoudroievivre deu cenis an a condition qu'il enpasseroit a molli dans te sommei lόthargique desu, rois in des chrysalides rLe secret de la transfuso du sing, qui

philosophique demicromόgas te san est le