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PARADIS PERDU LIV. V. 4l7Viens donc, Charmantilla et prendSin nouVel Ssor; Toti destin dria beau petit flembellii incor Goute aveo molle fruit doni a beaui si 'invito, Et puisse toti boni eurigatur ton morite Est cessi tot d 'habiter colle troite prison
Son Coloris mellait, soli parsum me siduit Malouche impatiente aussis ot e dovore. Alors de nouueaux sensiti moi emblenticiore Je me sens ente ver datis 'espace des airs de montes fores me pie is 'admire 'univers, Et sa vaste silendue, et se Pompeii speCtacles
Mais enfin e te vois te prestigeri'ensuit, Et lebour a chasso es eri cur de a nuit. Eve hie in a mis finite sicit fidi te, Sonipoux ui roponit, presque aussi triste qu'elle , O ma plus dotice mage, o ma chore mollio,
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Je te cratiis mependant d'ou me vient cotis PolyNon, te mali eleutioint habiter aveo tot EVe, Onimur est pur; mais apprendo Connoitro Comment notis a formos e Diei qui nous fit naitro Tout ontre dans 'esprit par a porte des sens
I 'imagination desit et dis serenis
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PARADIS PERDU, LIV. V. 2l Et dria levi siouton prodiguen au maliut es parmuis que e soli reni erma dans leui sein is Adam assure aliis sonipolas tremblante. A ces tendi es a Cent de a VolX consolante
Il recueille ces pleurs doti fruit dia repentir, Interprsites illunimur dolicat et sublimo,
Qui conuolt les remoriis, an contiolire e Crime. Totis detix sortent contenis, et evant leur ei Ceau,
D'abord dii oui maissant admirent e tableati. Le soleti, fur son char domi-plongsi dans 'onde, De ses felix en glissant effleuroit noti e monile, Eclairoit 'orient, et, surae beau Si our Tout hi illant de rossio, ii proludou au our. Τοus detix, agenouillos, si leui micu tutolairo Prosentant de leur voelix e tribui ordinaire, tis chontent 'sternet te ciet utend leui s chanis,
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Ahiii , hi hine this universa frame,
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u olla dono ton OuVrasse, Dieuluissant, donti monile est a brillante imago, C monde mei vellieux mai mo insincor que toti Mon ame en i 'admirant, si simit illian aint offroi. Ah qui petit exprimer te grandour immortelles, Tot qui bien au-dessus des sphores oleria elles, Si lotia de nos regariis, sit ges eu haut de Cieux Dansi monile sensibie, en alia hi illei nos 3 oti Queique Dibi rayon decla divine essen re, Dea bonisi sans borne aliasi que talia iSSance 'esti votis d'en parier, Ous, anges de Clartos Votis que Dieii Oit toujour debouti se coths, Qui, dans un Our sans nuit, 'en ironiae Sans O si De cantique d'amourit . 'hymnes d'alogi esse. Cieux, terre cothbre Ce mattre OuVerniti, Centre de 'univers, son principe et a finio tot qui des clarios de latuit lumineus T in utres a deriaiore et allu Pndiel Se . . Qui viens fermer cur marche, et plaCes toti et olivs utre latuit movi ante et te herceau dubour,
Colobro ' tornol, doni a matri fait holore
Cette tendi e lueur, promicos de 'aurore l. Et tot ramo ad a. is et 'inil de 'univers, Sol quo toti char bi illant sorte dii sein des mers, Soli que dii haut des oleuctu domines e mon IC, sciit queries felix movi aut rodescendi Di dans 'onde,
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PARADIS PERDU, LIV. V. 125 Soloil tot qu'il em pruini de s vive splendeur,
Et tot modesto mur dii grand astre dii our, Qui sembles e chorcher, 'oviter tolii Mour orbesiti celanis, qui satis changerie place,