Œuvres de J. Delille

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SUB LE IURE SEPTI ME.

Ceci iure commetice par invocatiori Ga mus sacrύe. Queique ians des vers qu'elle reti ferme in liquentes'. poquei laquelle iis furent criis it paroit que Milton api se larestauration, avolt sit rejetii, de troubles politique aux-queis lis'avolt eu quo tros de part datis la retrait et lasolitudo h laquelle te condamnolent te nou velle circonstances illi te a mus δ' conduire uti petit nona bre 'amis, 'en carte les homines licencieux, et ces seminesqu'il appelle dos bacchantes, ennem ies natu relles de Orphhes. Ι est is de voi qu'i di signo it par es mois es hommes et Ies femines de la oui de Charies II. Milion potavolt 'sipargitor cotte prii re personia b cette poquen' itoit tentii 'alter troubter la retra ite 'un pol te vieti et a veiagle, qui ut uni, par 'abandon resque ἡ norat,d a voir tocle secrota ire de Crom veli I rogiae dans tota comor eau uri ton de tristesse et de mύlancoli qui reni lopolite extrona ement intoressant, et tui ait presque pard Oniae se fautes, en saueii de se infortunes Le stilo de cellure est la crύation la balaille des anges est te iij et duli vi e prsi h lent. Virgile, our ne pas uiro h l'unit illaction, quoique a uine de rote ut prύcύd son arrivo hCarthage, nous reprύsent Ensie et fur On rivalle pariane Ompote et acontant hi idon 'ombrasemon de cette capital de la Phrygio et e sicit, aurateu de se proseriter commo ne Parii piincipale do 'action, 'eri est M'ian

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556 REM ARQUE S

i pisode. 'est celte marche que Milion a uiui dans sonposime et, quoique dans Ι'ord re historique i in natu relet sime sicessa ire de commeticer at a bata ille des anges, et mome la crύation, it a jughra propos l'actionprincipale ne sol commencsie de se ire raconter parti aph ab ces grands usinemenis au heu reii habitanisa Eden. Ce sicit ne leur est pol ni trangor; la punitio des anges robelles do it en courager eur fidύlito; a cititur de la

Jamai la Ohsie 'a 1acsi uia plus magnitique tableaia jama is pisode plus sublime, ierax tisi ara iij et , ' em belli uia pol me pique. Si te horos troveri ait nous tui. resse en ira contant a destruction 'une ille, combien

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5M REM ARQUES

Les couve Sous son alle, et Verse dans leti seira Somam crέatrice et son oum divin. Au seu vivi fiant de s ch3leu puissante Le chaos se iaconde, et lamature ensante.

Milion a peint, 'une maniere fori suphrieurera celled'Ovide, la siparation des divers lsimenis dans la orsationdocia lumihre, ilis em prunt de Mois unorat cite avecraiso par Longin comme te modhle dii sublime:

La lumihro tant te premi e bienni de Dieu, 'est avecraison que Miliones fati cέl ibi e particulihi ement par lavoix des anges, comine te prέlude brillant de la ergation.

La siparation de rai et des ondes 'est a peint avecmoin de richesse; l'un 'silsive vers l'sither te a uires descendent surcia terre I le odie pein leurs cour Varisis des couleuroles plus Ohtique et les plus rates Ia hute des cascades, te molles sinuositsi des ruisseaux les auxqui sitirent . traver te monis, et triomphent de totis Ies

celer dans te bassin des mers, forment uti magnifique tableau uno agrύable fratcheur, ne extrome varisito, et des ContraStes charmanis, cara cisii isent la crtation dia hi ne

peindre ave la magnificen e convenable la premi sire mariche, et, our in Si dire, e . but dii solei diri crύύ maisthnύbreucen ore La Iumihre qui pari de son bercea uiul'orient in retono it captive, qui cotari nonde cet astre, en

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fait soti palais et Son temple totas es astres in rieur quiviennent l' pulse dans leurs urnes d'or, te solei prenants Ourse commem nigros our par Ouri fairillante car-rthre, oui Suivant Sur Son char victori euela nuit qui 'ensuit en repliant se voiles, offrent ut tableau digne desollaeis qu'il reprosente la lune, plus modeste et plus timide vient forme ave cet astre clatant te contrast leplus almatile; et es eu astres accompagnέ de leur Or

couleur qui tui convietinent, et toti te la variύto de a nature animi e Tanto Milion, comme ii grani peintre, prύsente te animaux en roupe, tanto en sit a Che quoi ques ians plus inigressanis; 'est in si que dans la pein ture

desiiseau i se plai h nous repri senter te plus instodietix de totis, te ossi gnol, qui charme te siletice de la ui et qui semble inviter la uti hci'arroter ourri'eniendre Ondistinguera dans io tableau Ia petrature dia cygne, dumos et dii paon iis tolent, de totis te volatiles, es tu remar-quabies par leur instinct, leur plumage et leur beaut6. Le ixihme ou est consacro la croation des quadruphiles Milton a mi dans e tableaia uti grande varist6:les uias '. chappent, Out forna sis, de la terre les uires soni sortis Dinoiti et lutient encore contre te sol qui tes retierit; 'est dans cetio altitude qu'ave via goti infitii illa pein ledio montrant facia molli de son corps, 'indignant des obstacles qui reti erment l'auti e molith, et talu Dant a te ne de a risse tranchante Ce coul de pinceat estvraiment admirabie. armi es animaiax, te uias soni distingusis par leu lsighreisi, te autres par leui iesant eur; le

pesamment de la terre a masse colossule les uias vivent

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Oti par leur altitudes au moment de leur DaiSSance. Milion compare quel quos tins de ces animata qui 'ύ- chapponi et rejetant la terre autour 'eux, la taupe quisor de la terre Cette comparat son Paroit anque deso ut la taupe qui dans ceci our ait eli motiae parti de lacri atton, ne devolt pa oti e uia obj et de comparat sona elui ai dono renducia places laquelle elle avolt droit comme

Milion, dans et te numeration, 'est bie gard si 'oublier te serpent, qui biento va devenir 'instrument etl 'organo deci'ennem dii genre humain. 'est Uu es passages es plus ingsinieu de ce chant; et quoiqu'il ne luid Onne potnt en cor te cara thre de a Gohan colo, i lepetiit comme facile his ii riter, et annon antinuelques is uti instinet 'inimitii controci homine Bapti ab en avertit

Adam , et finit par CeS mois

Apri s lairhation des animaux, Milton pein admirabie-ment e monde notavellement rosi, tonu de sola stat. jouissant de sonaon heur, et e silicitant de On existenco. Ave que arci pri pare a naissance deI'hom mel aias luila nature est impar alte, et i malaque ii monile ori plus bel ornement Letortrait 'lu'intra e de l'hom me est cotiri, mais sublime ii est 'image de Dieu; 'est par tui quo loci et Veii communique ave la terre, et re evoir hom- mage decia cisiature, qu'il lui permet de partager ave ladivinito. Un des trait les plus pro soni f. 'ost te privilbsellia' resu 'hom me de communique ave te ciet par apri hi C.

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caractsiri se id ignitύ, je dira presque hi divinitii de 'homine;

inciis e tui est au-dessus de ioutiloge c'est lato inture dii Croateur montant et remontant vers e Ciel, contemplarit dii haut de son Sanctua ire, ave un il de complaiSance, lacrύation nouvelle, et s'admirant dans l'initure de se matris; la Datur en tibi e les plansites, es tolles, es soletis, lerali citant fur son passage se rύpondant en Choeur, et sol mant uia vaste concer duci'harmonio de Ouscies sit simonis. I 'hymne que les anges Charitent ii salio ire est plein dii plus csileste enthousias me, et termine magniti quem ent te grandinia ure decla crύation. Milion, 'une manibre non molns heureus ni Oinshrillanto, a pei ut a sole que colὐbrent dans te ciet les espriis immori eis; et leti se Otid antique ne te chil au premi erit en chaleur, ut en magnifice ce. Si e Charit poli volt avo ii quelque dola ut, o foro it elui de retarderri' action; mais par soli sui et i est i h l'subnement principat 'tinomaniore si heureuso, qu' indoit oti e regard commemii do, plus beaux de l'otivi age.

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PARADIS PERDU.

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TII ARGUMENT.

Adam inquires concerning celestiat motions is dolabitat lyanswered, and exhorte to earchisatherohings more worth of knowledge Adam assenis; and stili desimusto delain Raphael, relates to him ha he remembere lsince his own creation his lacinii paradise his aikwithmo concernini solitude an fit society his sit stmeetin an nuptials with Eve his discourse illi theange thereia pon; ho, after admonition repeated de-