Œuvres de J. Delille

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Et do 'orguoil isi te dolire tronipeur: Storii ambition, clatante folle, Qui roud 'homine inhabile auxim plois de la vie,

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PARADIS PERDU LIV. VIII. 565. O pore des humatiis tui roponit Raphaol

Avocie doux accent qui n'appartient qu'au ciet, Toi-momerus potir montinui in Charme qui leuouche Diei se petiit fur ton front, ii parte par talo uche; L ciet te prodigua se plus rares troSOPS Aussissilen que ton amesil embellit ton coips; D'une main complaisante ii oigna Son OuVrasse, Et vovi ut que dans totion chori Son image. L 'homine vi sur a terre, et 'ange datis es cieux Mais celore Commundes volt des montes Flux; Comine nous tu te fers, et sa main liborale

A 'homine de sus dotis fit une partigale. Parte dono. Quand tu vis a lumiore dii our, Adam, 'oto is bion o in dii coleste si Our;

Ces traitres, furvellisis dans cur solis re de seu Nous inarchons, et, biendoin de a porte fatale, Nous entendo iis e ruit de a rivo infernale. Cum 'oto it potui dii ciet les chanis insito dieiiX, Los danses de labo te, et e doux bruit des elix; 'otoit de fons plaintis , des clamcur lamentabies, Et dii crime solis frant les oris polivantabies.

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Mysulf Pthen perus'd, and limbi limb

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PARADIS PERDU, V. VIII. 567

Nous repartonsi hate, et relatrons au saint lieu Le sol qui termina e grand repos de Dieii

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J allois, e revenois, plein dune dolice iureSSe. Mais qui suis e d ou viens e et comment suis e εῖ De la terre, dii ciet, de mot-monae olorino,

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Tesimbrasses, tes fleurs, et tes fruit te demandent. I dit, salsit in main et Comme si de ait SNous fetidions douccinent les liquidos doseris, De se pie is suspendiis hicine effleurant 'herbe,

Plein de si uiri et de fleui spei pro de Celio c3sse,