Œuvres de J. Delille

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ARGUMENT.

Adam ni diverses questions fur es mouvemenis colestes Ilresso itine oponse Muteuse, et Miae exhortation de Cher-cher pluto h s'instruire dei qui tui petat oti e utile. I Lyso Uscrit; et, our eteni Raphaiit, ii tui apporte sesprenathres id sies api h lairsation commetit it fiat enteus dans te paradis terrestres Oti eniret ien ave Diei tou-chanida solitudo I obtient ne compagne, et a conte hrange queis furent se transporis encia Ovant. Ilapha dilui fait la-dessus unedeqon utile, et retourne u Ciel.

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ΡΛRA DIS PERDU

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Demandoit sonipoux et Dol,lement modeste, Respecte, en S'oloignant, Ce sublime entretien. Sa tot Cla ante Candeur et son ChaSte maintieti

Aux regariis otichantos''embellissent encore. Elle pari, a revoli de fruit qui se colore, Ses arbustos, ses leui s doux obj et de se soliis; Ello aidei cur naissanco et Meille fleui sieso in s. Aicine elle a paria lesio is se rojOuissent, Lo sagon 'sipaissit, te fleur S'opanouissent, Et semblent, prodiguant les trύsors de leur sein,

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Grate sui digressions and solve high dispute Vith conjuga caresses froni his ip

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Cueillii inhiel plus doux que celui des discoui s. o tempsit minui situ sonties innocentes flammes, Cos suinis platsi1 si 'hymen, Ces douellens des ames, Et des soliis mutuel l 'ochange affectuet '

Et 'innocent Dosir, e Choeur brillant de Graces,

Soti sipoux reste seu aut ros de Raphael, Avide de savoir es grand secret dia Ciel. ii Cher Adam, tu oux ire en a chleste Oute Lui dit 'ange te voelix sont ouabies, saris doute Diei tui momo i 'olivrit e grand iure des cieuX.La, lebour et latuit cos orbes Padi rix

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352 PARADI SE OST B. VIII. v. This to attain, hether heaven moVeir earth, Imporis not, is thou rechon right the est From man or anget the great architect

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Racontent saluissance et a xue totinoo

Ιbes annales dii Ciel, et lesiastes dii temps, Et cur pompe Changeante, et leUI S retour Constants. Mais si a terroriourne, ou bion 'astre dii monde Quoet'importe Crois-moi, dans unoetiuit profondeLaisse curiu'ites youx te ciet di senil de voir Ton sori est ii 'admirer, et non Pa de Sisoir. Dieiid'avance se rit de rechorches futiles Quo tenteront uti our des efforis inutiles; I volt dans 'avonii ies ain imitatevrs, D'uti ciet imaginatre itisenssis CroateUI S, Condit ire dans es cieux des sphores Vagabondes, Figurer de soletis, distribuer de mondes, Changor cent f is leui place enVΟyera OUS COS COI PS Des bord dii monile aia centre, et dii centi ei es bords; Construire, di Construire, embarrasser eur sphores De cercles compli lusis, de mouVement Conti BireS, Et par os aliis efforis illiin art capricieux, Bouloverser te motide et toti menter es Clelix Tandis que a naturo, is marcheidblo Emporte''astronome et se plans aVCC esse. Ton instinc curioux oja me fuit provoli Quoetes fils, comme tot bruteront de SaVoir. Tu vois it 'umini sui pristes masses de lumiore De 'aurore at coucharit par Ourir cur Carriore, Tandis que sevi, tanquille en e grand mouVernent, Ce globe volt potirqui ou ner e firmament.

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Nor glister in g, yma os solid good contain

The swiftnes of those circles attribute, Though numberless, totis Omnipotence, That to corporea substances could addSpeed almost spiritual me thou think'st not uom,

Where God resides, and ere Inid-da arriv d In Edens distanc inexpressibie