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casserent ii verre, poli te diu er , coui perent via habillement en d c, filique hachin et eust a mollie . Si ceuX-c ne on pas usques la , si 'est en dire tro dison a toti lemoin que, dans es Asfaires , iis ne con-noissent poliat es temperamens de si grandus age quoi employ si utilement,pou la perfection de Affaires, poti ioin dre les hostes soignees, pou faciliter es dissiciles It ne connoissent potia ce Re
laschemens , es iustemens, comme la
Nos Farolaches vertueu ne eulent
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se, iis oudroient seire a mesine hose, que s iis ouuernolent, dans ne Republique nouuellement estabiles qui seroi en core, dans a puret de son institution, dc dans a vigueur de se premier ordi es. Iis ne parient que u ouuoi absoles, que de Authorite duraenat, que de laForce de Loii bien que e solent choses qui vieillissent, comm les uires hostes, . quiri af iblissent , et vieillissant. Escoute Caton , qui opine dans la, Caus de Cesar I faut , it-il le char-α ger de chais es ii ne di potiat, I faut
, se dissiciles a executer si a nucur, remportetur a Raison. Plaut continue - , fit , qu illienne laide famatis en peri, soniae qua nous rende conte de sesMNeu annees de Commandementi l faut is que toti se passe, selon es Loix est a
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dire seson mon interpretation , ii aut liar arder oute les Loix , our obseruer es Formalite . Vostre Altesse blasme, te masscure, cetaustere Republicain , quo que amais homine ne ut plus love que luy. Cicoronis estot pas seulement son Ana particulier , ii stoli son Admirateu public. Apres fa mort i si quelque hos de plusque son Oraison funebre tu i stdonna occasion au detix Anticaton de Cesar Ciceroniseanimoin partant confidenament a Pomponius Atticus , uoueque a crtu de cet Homine, qu i admiroittant, stoit inutile a a Patrie. I confesseque et Homine diuin car insile nom- moit-il estot hors d vfage in ne s auolt pasci accommode a a porte de sola te
cles que quandri opinoit at Conscii, Apenseoit Ure , dans a Republique de Platon non pas , dans ille duraevis de
Cimo de Ciceron explique via Vers de Virgile , auque les gens de Ireschola ne
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prennent pas garde , dc qui merite a reflexion des gens de a Cour Dans a desse cription d Bouclier de son Heros oti diuerses figures soni grauees , yant oviurepresenter cette partie de Enfers , qui est habitee, par les Ames aintes, i y ait preside Caton inuec solaveratne authorite, tu donne iurisdiction, fur celeui te de Iustes, de de Bien heureux Secretosique Pios, his dantem iura Ca
Et comine a tradui vii Poete de nos Amis,
prendre I chos Lia letire clamabson des Cesar estoit offensee, par es parroles leti Ennem ne politioit stro beatifie, que leur Cause ne sust condannee. Mais, a mon auis, Virgilo sentendoit n
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cecy, aueccles Cesars Sans dolat i auolt defcoulier a Auguste te secret de s Fiction , qui loti en apparetice , de qui semoque en eisces qui ait oi que a Ver- tu de Caton stoit de lautre Monde, cnon pas de eluy-ci Virgile ouloi diresnement, V viae maniere gure , quilfaloit chercher a Caton des Citoycias out
bons, de toti Vertueta qui falloit lilyseire unicui te tori expres, poti est re digne de tur muc Catonis potauoi trouis uer a place que dans ne Socicte, qui ne se trouue poliat, surda Terre. Volla ei cisci ou il aut que les Catonsaillent pratique leur Paradoxes, de debiter cur Maxime genereus es Ic nous
nes. Qui it amat de Republique compo se de Philosophe , beaucoia molns de
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L Monde a perdu son innocence, Pya long emps Nous ommes dans a corruption des Siectes dans a caducite de a Nature Tout est fotble, out est ma- lade, dans es Assemblee des Homines. Si
votis oule donc ouuerner cureus ement , si votis volite trauaille ait biende Estat , aue succes , commodeZvous au deffaut , d a impςrfection de vostre mattere. Desfaitς votis de cette Vertu incommode, doni vostre Siecte nestpas capable. Supporte ce que votis nessaurie reformer. Dissimule les fautes qui ne euvent stre corrigces. Ne ouchegpoliat a des Maii qui des couuriron sim-puissance de Remedes qui descrieront a Medecine , qui rendron ridicules le Me-decitas. Respecte ces fatales Maladies, quison enuoyee d en aut , de uri se re-marque quelque hos e destranger, lam- connu uuandae doli de Diei paruis,il aut u i face eur a limain des Hom-
la boniae laetires, contente , s il su
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ronne Mais ne perdeL pasci Cotironiae,pour n ouloi conseruer rhoniacur Hadignite. Ne votis attacllegia de telle sorte a cet Honnes , auuage , rigoureux: philosophi lues que votis ne te quitieZ, si a necessite rexige de votis, Our Vn au-tre Honne te plus humain, plus oux , plus populatre. ouuencZ-votis questa Rai-1bn est beaticoli molias pressee, dans la
Politique , que dans a Morale , qu elle a1on estendue plus large, plus libre, fans
comparati ii , quandri sagit deciendreles Peuples heureux , que quandri ne a
git que deciendre gens de bien te Par
ticuliers Ilis a de Maximes, qui ne sonti as usi es de cur nature , mais que leurus age iustitie I de Remedes sales; C son potiriant de remedes Dan cessalutatres Compositiosas, i cnire u sanghumain entre de sordure, autres vitaines choses Mais la ante est 4ncore plus belle, que totiles cc choses ne sint i-laines Le ventia guerit ci quelque rencon-
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ire, , en e cases , te ventia est pas
Messietars les Catons, ne si ea a trophonneste , ni ros iustes. Ne decerneg potnt de priste de corps contre e Coupa bl , qui a viae armce, our se defendrede vos Sergens tin titin, n en attes poliat via desespere Au non de Die ne force polia ce nouuca a Cesar, a passercle Rubicon a se en ire Maistre de a Patri , a dire es paroles remarquabies en regardant les oris dine balaille, qu l
de si grandes choses , on m eust doniae des Commissatres , si te ne me fuste serui demes Soldat reusse este condaniae , simon Innocencei eust este arme : On me mena*oit de chaisne de prison. Onm'eus hiare avx Barbare , si a Causen eust ste ciuili forte, qu elle estot bon
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de voi via Suiet , qui traiit aucque sonPrince. Mais ouuent paretis Prodiges ne petiuent stre expieZ, que parcia distimulation in par indulgetace. Quandii nepetit donater es sortes de Monstres , ili aut effare decies apri uoiser. S i ne tient
qua doniae a vi Victorieux, qui est γme , via Aueu des hos e passees , potirluy faire posse les armes ne uous opinias
say leucitatres is , haec quelque sorte dindignation , ne Letire de Iean Mathiel Giberti avesque de Veroniae, Dalaire u Pape Clement septicsme. Et te est adresse aii Nonce de son Maisse
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tre , upres duino de Hongri Et par, cette Letire, Plu tes moigne, ueste Pape, destre extremement a reconciliation du, Royaume de Boheme, aue teriaint lege; is Mais que tu , Dalaire , reuolt Via tres, gran empeschement , qui petit conabat', tre rexixem des de a Satiatete , Cest, qu i n est pastae a grande iri de la di- , gnite de Eglis , de echercher , ni es, Rois , ni es Royatimes a que, dans ne, Affaire de si grande reputation , or ire, ne destias estre renuerses, ni alien sean- , , ce violes Que potir et effet, ii seroit a, propos de trouuer uelque moyen , qui o- , bligeast les Boliemes a commencer es pre- , inter cet te pratique , C a seire les auan D ces': Que se presentant a Cardina Cam-
, seront receus a bras ouueris , ais quo, ne se presentant pas , e Legat ne cutis poliat alter auraeuant 'eu , ni te luge, sollicite les Parties Miri faut leur accori, de ceriu'il demandent, ais quil ne faut, pas leur offri ceriti iis ne demandentias.